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Lecture analytique jezabel

Publié le 26/04/2017

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Lecture analytique 4 : LE FACE À FACE, chapitre 22 (p.196-197, de la l.95, « Je vous ai assez attendue », à la l.139, « une bouche qui voudrait mordre. ») Introduction : Jézabel est un roman écrit en 1936 par Irène Némirovsky romancière russe d’origine ukrainienne, née le 24 février 1903 à Kiev et qui sera tuée au camp d’Auschwitz le 17 aout 1942. Ce roman met en avant une femme qui se nomme Gladys Eysenach, qui est accusée d’avoir tué son amant Bernard Martin. A son procès pour meurtre, elle s’est particulièrement montré abattue et anéantie mais grâce à sa beauté elle a su saisir l’attention du public lors de ce procès. Après le prologue judiciaire, le flashback permet de suivre le processus qui fait d’une adolescente lumineuse une mère monstrueuse, puis une grand-mère criminelle. Ce dernier face à face opposera Gladys à son petit-fils Bernard Martin, malheureux orphelin, cette scène soulignera donc la dernière rencontre entre ces personnages. ...
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« - › coté tragique de la fatalité, il prédit la fin et elle tue son petit-fils qui relèvent du parricide (assassin d’un proche) II – Gladys, une femme inoffensive - Lors de cette scène, Gladys ne se défend presque pas, elle croit pouvoir résoudre les problèmes que avec l’argent, alors que Bernard Martin ne veut pas d'argent. └ > « Vous regardez mes robes (…) et vous voudriez me les arracher pour les porter à Laurette.

» → allusion a Laurette alors qu'elle est morte, on ne peut avoir de pitié pour elle. └ > Gladys utilise un vocabulaire lié à l’argent → énumération d’objets de luxe : « robe, fourrure, bijoux » - Son silence pourrait être interpréter pour une menace → On pourrait croire qu’elle a acheté le revolver pour se suicide ou tuer Monti et Suzanne.

- Gladys utilise le pathétique : → vocabulaire du malheur → questions « Pourquoi ? Bernard, pourquoi ? » , supplications. └ > Cela ne provoque aucun effet sur le lecteur car nous savons qu’elle va le tuer et qu’elle ment. Conclusion : Ce face à face aurait dû porté sur le passé avec un registre pathétique et nostalgique ,mais il s’est passé le contraire.

Bernard Martin qui n’a pas eu de bonheur lors de sa jeunesse, un bonheur volé par Gladys, à annoncé le réquisitoire de sa « grand-mère » durant ce dernier face à face ,il n’a pas hésité à monopolisé la parole et à révéler toutes les choses que cachaient Gladys.

Insensible face aux accusations de Bernard Martin, elle est complètement resté inoffensive et silencieuse lors de ce face à face, un silence qui pourrait être synonyme de menace.

De plus ,grâce à cette scène, le lecteur peut toujours semblé avoir une image péjorative de Gladys.. »

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