Boileau, Satire IV :

« A de fois au public vendu son … (pucelage sous-entendu). » L'humour transgresse les tabous de la mort et de la sexualité et c'est ce qui fait du satiriste un auteur redoutable.

Le p'tites notes de bas de page :En partenariat avec les bouquins de français, de latin et le Monde. Horace : Poète romain, -I av.

J-C Fils d'affranchis.

Etude de Grammaire, de Philosophie et de Grec. Il doit à son intelligence et à son talent d'écrivain de devenir l'ami de Mécène, le « premier ministre » de l'empereur Auguste et le protecteur des lettres et des arts.

Il devient scribe et rencontre Virgile vers -38. Œuvre : les Satires , les Odes , les Epîtres où il mêle littérature et critique politique. Rabelais : Figure importante de l'Humanisme, de formation médicale et religieuse (courant littéraire du XV ème et XVI ème ).

Il est l'auteur de Pantagruel et Gargantua .

Dans une langue qui fourmille de néologisme et de trouvailles diverses, il y met en scène des géants à l'appétit démesuré, pour la nourriture et le sexe autant que pour la culture et la réflexion critique ; aux prises avec la société de l'époque, ses guerres et ses conflits, ces héros associent l'obscénité et le grotesque aux Idées Humanistes. Pascal : Né en 1623 à Clermont-Ferrand, très tôt orphelin de mère, Blaise Pascal est élevé par son père, mathématicien réputé.

Cette éducation hors du commun porte vite ses fruits : à 17 ans, en 1640, le jeune homme publie un Essai sur les coniques qui fait sensation dans le monde scientifique.

Et deux ans plus tard il invente la machine à calculer… Voilà qui ne semble guère le destiner à devenir l'un des génies littéraires de son temps.

Mais en 1654, au cours de ce qu'il appellera la « nuit de feu », il a la révélation de la grâce divine.

Jusqu'alors, il n'était qu'un croyant comme tant d'autres, et la religion ne tenait pas une grande place dans sa vie.

Désormais, habité par une foi plus exigeante, il se tourne vers le jansénisme de Port-Royal.

Mais les jansénistes sont sévèrement critiqués.

Pascal prend alors la plume pour les défendre : ce seront dix-huit Lettres écrites à un provincial , souvent intitulées Les Provinciales. Leur succès foudroyant doit beaucoup au style admirable de Pascal, rare alliance d'une ironie incisive et de ferme éloquence.

Un écrivain, un des plus grands de son siècle, est né. Pascal commence alors à travailler à une vaste apologie du christianisme, dont il rédige des fragments.

La mort, en 1662, ne lui permet pas d'achever son œuvre.

Ces liasses éparses seront rassemblées et éditées pour la première fois en 1670, sous le titre de Pensées.. »