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Bouche.

Publié le 17/10/2012

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Bouche. Il existe quatre types de papilles gustatives, chacun n'étant sensible qu'à un seul type de goût : l'acide, le salé, le sucré ou l'amer. Les papilles spécialisées dans la détection de tel ou tel goût sont essentiellement rassemblées dans un même secteur de la langue. Les papilles sensibles au goût sucré sont situées à la pointe de la langue, celles qui reconnaissent le salé sont situées sur l'avant des côtés, et l'acide sur l'arrière des côtés ; enfin, celles qui sont spécialisées dans la détection de l'amer sont rassemblées à l'arrière de la langue. Lorsqu'une substance gustative d'un aliment entre en contact avec une papille gustative, cela déclenche une impulsion nerveuse transmise au cerveau. Le trajet suivi par l'impulsion nerveuse varie en fonction...

« Bouche Bouche, nez et pharynx/ Cavum oris, nasus et pharynx Les papilles gustatives, logées dans la muqueuse de la langue, sont constituées de corpuscules gustatifs en forme de bouteilles, reliés aux filaments des nerfs gustatifs.

Lorsqu ' on veut percevoir pleinement une odeur, on prend une inspiration plus profonde, qui attire l'air au troisième étage des fosses nasales, ce qui permet de mieux distinguer des odeurs discrètes.

On peut distinguer de 2 000 à 3 000 odeurs.

Mais lorsqu ' on fume ou que l'on séjourne longtemps dans un air vicié, les facultés de perception olfactive s'amoindrissent: les pollutions ont pour effet de détruire les cellules olfactives.

L'air inspiré L'air que l'on respire doit subir un traitement qui permet, entre autres, de le purifier .

Les cils situés sur le passage de l'air retiennent les plus grandes particules, puis , à l'intérieur des fosses nasales, un fin mucus arrête les substances plus fines.

Ce mucus se dessèche en permanence, il est poussé avec les impuretés qu'il a piégées vers l'extérieur du nez, grâce au mouvement des cils vibratiles.

L'évacuation de ces impuretés se fait lors des éternuements ou quand on se mouche.

Différents muscles contribuent alors à créer une forte pression dans les poumons et les voies respiratoires .

Lorsque cette pression est relâchée, l'air est expulsé par le nez, emportant dans sa course les impuretés massées sur son passage.

Avant que l ' air inspiré ne descende aux poumons, il doit non seulement être purifié, mais aussi réchauffé et humidifié .

C'est essentiel­ lement le rôle de la muqueuse nasale .

La subdivision des fosses nasales en plusieurs compartiments permet que l'air soit en contact avec une grande superficie de muqueuse .

De plus, il se produit une turbulence, une sorte de tourbillon, qui provoque la circulation de l'air dans le nez.

La muqueuse nasale contient de nombreux vaisseaux, ce qui permet de bien réchauffer l'air lors de son passage.

La muqueuse produit également une sécrétion qui humidifie l'air inspiré .

La voix Le rôle de l'air n'est pas uniquement d'alimenter le corps en oxygène, mais aussi de permettre la parole .

Lorsqu'on doit parler ou chanter, les cordes vocales se rétractent et se réunissent, empêchant l'air de passer dans le larynx.

L 'air fait alors vibrer les cordes vocales, qui produisent un son de base.

Le ton de la voix varie énor­ mément d'un individu à l'autre.

La voix utilise plusieurs caisses de résonance : la cage thoracique, le pharynx, la cavité buccale, les fosses nasales et les sinus.

La résonance produit des tons secondaires qui s'allient au son de base.. »

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