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Le Chien et le Flacon

Publié le 24/06/2013

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LE CHIEN ET LE FLACON Charles Baudelaire - Le Spleen de Paris Allégorie : Le chien :le public Le flacon : l'excellence I - Apologue Caractéristiques : Le titre fait penser au fable de la Fontaine "ET" signe d'opposition Apologue : Un apologue est un court récit en prose ou en vers qui contient une morale. --> C'est un récit. Rythme ternaire : "Mon chien, mon beau chien, mon toutou". Toutou : hypocoristique Anaphore du possessif : Le chien appartient à son maître Le public appartient à l'artiste --> Ironique : personne n'est propriétaire de son public Gradation descendante : - on commence par le qualificatif esthétique, puis gentillesse - hypocoristique = qui fait contraste avec le vouvoiement = nous place dans une ambiance mièvre (pas baudelairien) Vouvoiement = ironique pour le chien et pour le lecteur "Excellent parfum chez le meilleur parfumeur" = Superlatif absolue Superlatif relatif On a commencé par le visuel mais on fini par l'odorat Chien odeur ≠ Homme qualificatif, civilisation II - Rythme "Mon chien, venez" = molle "Mon beau chien [...] pauvre bête = notation pathétique = il le traité d'indigne On passe d'un pathétique qui s'applique au chien à lui-même : "Ma pauvre vie" = rapport implicite cause à effet instable petit à petit. R > vibrante. } espèce I > i vibrante. } d'allégresse Phrase longue = B crée un faux suspens - ordre du chronologie très stricte - discours superflue La morale implicite : la liberté - pers interne au texte - le chien ressemble au public On passe au modélisateur d'incertitude au modélisateur de certitude. - il ne faut jamais représenter une ½uvre délicate/ un parfum délicat au public = il faut présenter des ordures - FAUT = OBLIGATION Délice et délicatesse = inversion des valeurs (pour les excréments) Des ordures soigneusement choisis = démagogie, ce que le public aime. Morale faussée : Ça ressemble à un leçon mais B pose une impossibilité. III - Injonction de jouir Le chien doit jouir du parfum "approchez et venez respirer..." . Cependant le chien n'est pas snob, il ne fait pas semblant Le chien commence à avoir peur, puis il n'est pas content = le public a peur au départ et après il a du dégoût. = incompatibilité de nature chien ≠ humain = le génie fait peur = incompatibilité de nature, le public est autre On passe de mon chien (tout seul) --> vous (pluriel ou politesse) - vous = singulier collectif - il ne faut jamais = impersonnel - seule notation personnelle = triste vie Ce texte dit absolument tout du rapport : - l'artiste aime le public, il en a besoin pour créer - le public aime aussi l'artiste - ils sont attachés au même coin de la maison - mais la fin tragique : les 2 indissociable - on termine par "il faut" Conclusion Illustration de l'incompatibilité de la situation parfaite de l'image du créateur et public indissociable et impossible à la fois. Le créateur est incompatible avec le public

« - on commence par le qualificatif esthétique, puis gentillesse - hypocoristique = qui fait contraste avec le vouvoiement = nous place dans une ambiance mièvre (pas baudelairien) Vouvoiement = ironique pour le chien et pour le lecteur "Excellent parfum chez le meilleur parfumeur" = Superlatif absolue Superlatif relatif On a commencé par le visuel mais on fini par l'odorat Chien odeur ≠ Homme qualificatif, civilisation II - Rythme "Mon chien, venez" = molle "Mon beau chien [...] pauvre bête = notation pathétique = il le traité d'indigne On passe d'un pathétique qui s'applique au chien à lui-même : "Ma pauvre vie" = rapport implicite cause à effet instable petit à petit.

R > vibrante.

} espèce I > i vibrante.

} d'allégresse Phrase longue = B crée un faux suspens - ordre du chronologie très stricte. »

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