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La Chine : le milieu naturel ?

Publié le 27/02/2008

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chine

« un appel enflammé à la lutte contre l'impérialisme colonial. • Le soutien de l'ONU.

A l'Organisation des Nations Unies, avec l'approbation de l'URSS et des Etats-Unis, la France est condamnée à plusieurs reprises pour sa politique africaine. • Un affaiblissement militaire.

La défaite de Dien Bien Phu en Indochine (1954) incline la France à faire des concessions aux mouvements nationalistes indigènes. 2.

L'échec de l'Union française en Indochine • Une interminable guérilla.

Au milieu d'une population souvent hostile, et dans les régions d'accès difficile, l'armée ne peut venir à bout d'un adversaire insaisissable et d'autant plus efficace qu'il est soutenu à partir de 1949par la Chine communiste. • Un impossible compromis.

La France tente de maintenir sa présence en accordant l'indépendance au roi nationaliste anti-communiste du Viêt-Nam (1948), mais cette manœuvre ne désarme pas le Viêt-minh.

L'arméefrançaise doit continuer à combattre pour soutenir un régime incapable d'assurer lui-même sa défense.

En 1953,Paris accorde l'indépendance, dans le cadre de l'Union française, au Cambodge et au Laos. • La fin de l'Indochine française.

Elle survient après la défaite essuyée à Dien Bien Phu (mai 1954) et la conférence de Genève qui mettent un terme à la présence française en Indochine.

Le Laos et le Cambodgedeviennent complètement indépendants, de même que le Viêt-Nam, partagé entre un Viêt-Nam du Nord dirigé par Hochi minh et le Viêt-Nam du Sud pro-occidental. 3.

L'indépendance de la Tunisie et du Maroc • En 1955, premier pas vers l'indépendance, l'autonomie interne est accordée à la Tunisie de Bourguiba qui devient totalement indépendante en 1956. • Cette même année le Maroc accède à son tour à l'indépendance. 4.

En Afrique noire: une décolonisation réussie • Au départ : une loi de 1956.

Elle ouvre la voie à l'autonomie interne des colonies en instituant des assemblées locales élues au suffrage universel par un collège unique et les conseils de gouvernement, amorce de pouvoirexécutif. • En 1958 : de Gaulle fonde la Communauté.

Elle est acceptée, après référendum, par tous les pays d'Afrique noire (sauf la Guinée) et par Madagascar.

La formule établit la totale autonomie interne de ses membres maispréserve des domaines communs : politique étrangère, défense, monnaie. • 1960 : de Gaulle accorde l'indépendance.

Répondant au vœu de la totalité des membres de la Communauté le général leur octroie aussitôt une indépendance complète. III.

Le drame algérien (1954-1962) 1.

L'échec des efforts de la IVe République • Au départ : une situation bloquée.

L'acharnement de la France à défendre l'Algérie française contraste avec la décolonisation pacifique de l'Afrique noire.

Cette attitude s'explique par l'importance et l'influence de la populationeuropéenne (les « Pieds Noirs »), l'intérêt de l'Algérie au point de vue stratégique et économique surtout depuis ladécouverte du pétrole au Sahara. • Des efforts de pacification.

La France envoie des renforts militaires pour assurer le maintien de l'ordre et traquer les insurgés, sans parvenir à neutraliser les maquisards. • Vers une solution négociée.

De guerre lasse les hommes politiques cherchent une issue à des combats toujours recommencés et à des violences de plus en plus incontrôlables.

Des contacts secrets sont pris avec le FLN au Caire. • Un veto des colons et de l'armée d'Afrique.

Les extrémistes d'Algérie, partisans fanatiques de l'Algérie française refusent d'avance toute solution négociée.

Ils sont soutenus par des généraux que l'échec en Indochineavait humiliés.

Le 13 mai 1958, la révolte d'Alger contre Paris est à l'origine de la chute de la IVe république et durecours au général de Gaulle qui accède au pouvoir. 2.

De Gaulle dénoue le drame algérien •Les hésitations du général.

Porté au pouvoir grâce à la révolte des partisans de l'Algérie française, de Gaulle n'entend pas les suivre jusqu'au bout.

Il cherche d'abord à gagner les masses musulmanes, à rallier les rebelleshésitants, tout en poursuivant la "pacification" militaire.

Finalement, en 1959, il opte pour l'autodétermination del'Algérie.. »

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