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LES CIVILS PENDANT LA PREMIERE GUERRE MONDIALE

Publié le 13/11/2011

Extrait du document

Introduction

La guerre dans laquelle la France s'engage en août 1914 n'est pas la guerre courte à laquelle chacun s’attendait. Elle s'avère être une guerre de quatre ans de combats au prix de terribles sacrifices des soldats; Ces derniers côtoient la mort au quotidien dans l'enfer des tranchées, ce qui vaudra à cette guerre le surnom de "Grande Boucherie" Mais l'épreuve est aussi douloureuse pour les civils restés à l'arrière, confrontés à d'importantes difficultés matérielles, les violences exercé sur eux et à la crainte permanente de perdre un proche.

C'est donc bien l'ensemble de la population française qui connaît, entre 1914 et 1918, la terrible expérience de la guerre. 

« hôpitaux qui accueillent chaque jour des milliers de blessés.

Elles assistent les médecins qui opèrent sur le champ de bataille.

Certaines sont marraines de guerre : elles écrivent des lettres d’encouragement et envoient des colis au x soldats, qu’elles rencontrent parfois lors de leurs permissions. Les personnes âgées vont être employées dans l’administration ; Les enfants deviennent responsables du soutien moral aux soldats en leur écrivant des lettres surtout durant les périodes de fêtes. Sur le plan financier, la guerre coûte très cher, l’Etat doit donc trouver de l’argent.

C’est pourquoi ce dernier va emprunter aux États-Unis et va également demander aux Français de souscrire aux emprunts nationaux.

Cette demande est soutenue par une campagne de propagande. De plus l’Etat organise des réquisitions et des rationnements ce qui entraîne la souffrance des civils restés à l’arrière.

Les ont également participés à la Première Guerre mondiale, en fournissant aux Alliés des soldats, de la main- d’ œ uvre et des matières premières. Vivre avec la guerre, c’est vivre dans une « culture de guerre » au quotidien, en faisant attention à rester solidaire et à ne pas faire sombrer la population dans le désespoir. B) au quotidien avec un fort sentiment nationale Vivre avec la guerre, c’est vivre avec la mort.

En 1914 et 1918, il y a chaque jour 900 soldats qui meurent au combat.

Les familles restées à l’arrière sont également touchées.

En effet ont compte au lendemain de la guerre 700 000 veuves auquel s’ajoute 1 400 000 orphelins.

Le risque pour les autorités politiques est de voir monter le pacifisme, c’est pourquoi sur les avis de décès n’est pas précisé le lieu du décès afin de ne pas rendre comte à la population des tueries qui se déroulaient sur seulement quelques régions.

Beaucoup de Français vont alors se réfugier dans la religion afin d’y trouver une raison d’espérer.. »

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