Comment se mesure et s'exprime les principales inégalités de richesse et de développement à l'échelle mondiale ?
Publié le 04/01/2012
Extrait du document
Un espace mondialisé
Introduction : La mondialisation est l’intégration croissante des différentes parties du monde sous l’effet de l’accélération des échanges, des mutations des transports, etc. En effet, jamais les flux de biens de services et de capitaux n’ont été aussi diversifiés et intenses qu’aujourd’hui. Paradoxalement, si elle contribue à homogénéiser le monde et à différencier les diverses parties mondiales. On trouve ainsi au nord les donneurs d’ordres comme aux Etats-Unis et du sud, on trouve les « bras « comme la Chine ou plutôt même aujourd’hui, les pays ateliers d’Asie du sud-est (ex : textile). La mondialisation prend appuie sur quelques grands centres d’impulsion de l’économie mondiale.
La mondialisation repose aussi sur des individus, des réseaux ou des états à d’autres échelles que leur propre territoire. On parle de réseaux internationaux lorsqu’on évoque une entreprise présente dans plusieurs pays. On parlera alors de FMN (firmes multinationales).
Problématique générale :
Comment se mesure et s’exprime les principales inégalités de richesse et de développement à l’échelle mondiale ?
«
Def : Il s ’agit de l’ensemble des placements et des investissements effectués à l’étranger sous
forme d’action, d’obligation, le bon du trésor.
Les entreprises n’hésitent pas à investir à l’étranger, profitant des coups d’exploitation plus
faible et d’une main d’œuvre bon marché dans les pays du sud.
En effet, c’est la logique
spéculative qui domine, c'est-à -dire que les entreprises privilégient les placements de capitaux
à cours termes.
En effet, aujourd’hui les places boursières sont reliées et peut comme en 1997,
en Asie, ou plus récemment en 2008, être la conséquence d’une grave crise.
Depuis les années
70, on note une explosion des IDE (investissements directs à l’étranger), principalement
dirigée vers les pays industrialisés du nord et plus particulièrement ver s les Etats-Unis et
l’Europe occidentale.
Pourtant, certains pays émergeants profitent d’un intérêt grandissant de
la part des investisseurs étrangers comme la Chine et le Brésil notamment.
Ce sont les états qui après la seconde guerre mondiale, décident de libéraliser l’économie.
En
effet, la politique protectionniste de l’avant seconde guerre mondiale est jugée responsable de
la montée des extrémismes en Europe.
Pour se faire, les états décident de baisser
progressivement les tarifs douaniers grâces aux GATT (general agreement on tariffs and
trade).
Ils souhaitent s’attaquer aux obstacles des normes nationales, techniques et sanitaires.
Ex : le vin français et voitures japonaises aux Etats -Unis
En 1995, l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce) remplac e le GATT.
Ils veillent à
résoudre les différents commerciaux entre les états membres et aussi il veille à préparer la
libéralisation des échanges, c’est -à -dire (sans obstacles) de services et de capitaux.
Cependant, l’OMC est accusée d’accentuer les disparités de richesse et de pouvoir au profit
des pays les plus riches.
En effet, si on observe la localisation géographique de ces grands
organes économiques internationaux, on peut observer qu’ils se trouvent tous aujourd’hui
encore implantés dans de grands pays développés.
On trouve ainsi l’OMC à Genève, l’OCDE
(Organisation de coopération et de développement économique) se trouve à paris, le FMI et la
banque mondiale se trouvent à Washington.
On peut encore ajouté à tous ces organismes le
G8.
C’est le regro upement des 8 plus grandes puissances économiques dans le monde.
On y
trouve les Etats -Unis, le Japon, l’Allemagne, le Royaume -Uni, la France, l’Italie, le Canada et
la Russie.
Ce G8 dispose des décisions d’ordre économique et contrôle l’endettement de pay s
plus faibles économiquement ..
»
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