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Commentaire Les Contemplations, Victor Hugo : « vieille chanson du jeune temps «

Publié le 09/04/2012

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hugo

A l’époque Victor Hugo était jeune est tellement ignorant que celui-ci n’as vu aucunes des tentatives de sa prétendante, il le reconstruit dans le souvenir. Cette reconstruction est faite dans le titre par l’antithèse « vieille « et « jeune « qui donne un effet de  mémoire défaillante de l’écrivain. De plus on voit des changements de temps verbaux, des indices temporels dans les vers « Mais je ne sais plus de quoi « vers 4 et « Depuis, j’y pense toujours « vers 36 ces deux vers sont au présent se qui donne un effet de retour dans le passé comme si, la promenade venait juste de se terminer. Alors que tous les autres vers sont écrits au passé et à l’imparfait. Les dix-sept ans de souvenirs aboutissent à un poème.

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« de n’être point vu par une personne qui passerai dans la forêt puisque le parasol les cacherai et le grand bois sourd détournerai tout bruit.

Enfin la nature est aussi accueillante avec la métaphore « les mousses de velours » au vers 22 car l’effet produit est que la mousse est douce au touché comme pour l’oreille.

Mais aussi celle-ci est confortable et luxueuse puisque le velours coûte cher et qu’on le trouve surtout chez les bonnes familles à cette époque.

Rose essaye part tous les moyens de séduire le jeune homme Si les yeux de Rose brillent comme nous dit le vers 14 « ses yeux brillaient » c’est parce qu’elle veut séduire le jeune homme.

C’est pour cette raison que, sous prétexte de cueillir une « mûre » ou de se rafraichir elle montre son bras et son pied dénudés.

L’auteur utilise un procédé lexical avec l’hyperbole « Leva son beau bras tremblant » pour nous dire à qu’elle point son bras était beau pour lui.

Mais aussi le langage du corps est souvent mis en avent avec « belle » vers 35 dans son physique (la blancheur de son bras, son teint qui donne un regard très positif par rapport au début du XXe siècle), aussi dans sont attitude « droite ».

Ensuite la jeune fille est très émue comme on le voit avec « son bras tremblant ».Par ailleurs la nature est très reliées à Rose avec le nom de Rose et les fleurs de la « rosée », « les rossignols » qui sont tous les deux de beaux éléments.

Les éléments naturels lui donnent l’occasion de révéler son corps comme « leva son beau bras tremblant...pour prendre une mûre aux branches », « Rose défit sa chaussure...et mis, d’un air ingénu...son petit pied dans l’eau pure ».Enfin elle apparait ici comme une nymphe des bois (dryade) et des rivières (naïade). L’auteur pose un regard ironique et attendrit sur un souvenir de son enfance dans lequel il ne joue pas un rôle glorieux. L’auteur dès années après à de nombreux regrets comme on le voit avec l’imparfait qui allonge le temps. « Dormait dans les grand bois sourds», « je ne vis qu’elle était belle ».Mais aussi avec l’identité des oiseaux au vers 11 et 12 « J’allais ; j’écoutais les merles » qui sifflent donc qui se moque de lui et « Et Rose les rossignols » qui chantent donc effet du lyrisme.

Il y a aussi des tournures restrictives au vers 33 avec « Je ne vis qu’elle était belle » au vers 29 « Je ne savais que lui dire » ce qui montre que le jeune homme remarque tous ces éléments bien trop tard la promenade est fini depuis bien longtemps.

Par ailleurs les vers 32 et 35 souligne la déception de Rose « Et soupirer quelquefois », « Soit ; n’y pensons plus ! » le discours est rapporté au style direct avec une antithèse au vers 35« Soit ; n’y pensons plus ! »Et 36 « Depuis, j’y pense toujours » Rose ne veut plus y penser alors que Victor Hugo aujourd’hui dix-sept ans plus tard y pence encore.

La fin de la promenade est marqué par le chiasme des deux premiers vers « je ne songeais pas à Rose », « Rose au bois vint avec moi » et les deux derniers « Soit ; n’y pensons plus ! dit-elle », « Depuis j’y pence toujours »le vers 35 à pour sujet Rose comme le vers 2, et le premier ainsi que le dernier est consacré aux pensées du jeune homme.

Parallèlement au début c’est Rose qui désire le poète pour aller « au bois » avec lui à la fin c’est le poète qui « y pence » et c’est pour « toujours » au vers 36.

Le « nous » présent au début du poème disparait à la fin.

Victor Hugo jette un regard ironique sur lui dès années plus tard. Le poète jette un regard ironique sur l’adolescent qu’il a été avec un autoportrait moral sans complaisance au vers 5 avec cette comparaison « J’étais froid comme les marbres » celui-ci n’adressait aucun mot ou geste à sa compagne de promenade.

De plus le jeune homme ne voyait aucuns gestes que Rose faisait pour le séduire comme le montre l’anaphore « je ne vis pas son bras blanc » au vers 20, « je ne vis pas son pied nu.

» au vers 28.

Le poète se moque de lui et la dérision se mêle à la mélancolie comme le montre le vers 36 « Depuis, j’y pense toujours » Il se. »

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