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Conscience inconscient

Publié le 10/04/2013

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conscience
CONSCIENCE / INCONSCIENT Philosophie : « philo «à amour , « sophie «à savoir par le biais de l'usage du logos (raison= discours rationnel) et pas du mythe /religion. Le sujet ( =subjectus, « jectus « : ce qui est placé ; « sub « : en dessous/ subordiné à quelque chose ou à quelqu'un ) Sens grammatical et logique : c'est celui qui mène l'action, support qui mène une identité permanente qui ne changera jamais, depuis la naissance jusqu´à la mort. Sens moderne : un individu pensant , conscient qui peut raisonner, responsable de ses actes et donc libres. Contraire aux objets ou aux autres êtres vivants, nous sommes priviligiés et appart par notre conscience. Sens politique de sumission : l'individu n'est pas libre sinon summis à quelqu'un d'autre et à ses lois. Nous sommes des sujets assujetis (soumis) à plusieurs facteurs qui nous entourent qu'on ne connaît pas ou très peu qui nous ne permettent pas de décider par nous mêmes et donc de ne pas être libres. Spinoza : « Les hommes se croyent libres par ignorance des causes qui déterminent leurs actions « Sociologue Bourdieu : « Nous naissons déterminés et nous avons une petite chance de finir libre. Nous naisons dans l'impensé et nous avons une petite chance de devenir des sujets « (sociologie lié par être un étude des personnes dans son milieu économique et politique) Chapitre 1 : La conscience Étymologie du mot : en latin « cum « à avec ensemble ; « scientia « à connaissance acompagné de savoir. Conscience morale : le savoir de certains valeurs, du bien et du mal , trasmises par une petite voix dans notre intérieur. Conscience psychologique : (phychologie : étude de l'esprit) connaissance /apprentisage intérieur que le sujet a de lui même et de ses actes, introspection. Rélation intérieur :La conscience me permet de regarder en moi mes pensées, désirs, sentiments.. de s'auto-analyser pour adquérir une lucidité de moi même et obtenir un sentiment de soi, d'une personne en soi. C'est une sorte de jardin secret dont seulement nous on connaît. Rélation extérieur: au travers des sens on agit a avoir des perceptions donc d'enregistrer des choses du monde extérieur, mis en relation avec le corps. Conscience spontanée : être attentif, éveillé Conscience réfléchie : se penser et se voir à soi même. L'acte de doublement, jusqu'à introspection( « spectro «à regarder ; « intro «à à l'intérieur), est spécifique à l'homme : les autres êtres vivants ne peuvent pas. Certains animaux peuvent se reconnaître dans un miroir (ex : éléphant ) mais la conscience qu'ils ont d'eux mêmes reste â l'extérieur : contemplation physique. Les hommes sont radicallement différents au reste du monde. Les trois religions centrales monoteistes donnent une place unique à l'homme. Mais la conscience est-elle très puissante ? Limites : - la conscience est un être qui se développe par le biais des sens et de la société (influence du groupe..) - elle est produite par des choses qu'on ignore, des fantaisies, illusions, une idéologie qui nous ne laisse pas voir le monde comme il est sinon complétement renversé. - nous ignorons l'influence de l'inconscient sur notre vie de tou...

conscience

« Rélation ext érieur:  au travers des sens on agit a avoir des perceptions donc   d’enregistrer des choses du monde ext érieur, mis en relation avec le corps. Conscience spontan ée :   être attentif,  éveill é Conscience r éfléchie  : se penser et se voir  à soi m ême. L’acte de doublement,   jusqu’ à introspection( « spectro » à  regarder ; « intro » à   à l’int érieur), est sp écifique  à   l’homme : les autres  êtres vivants ne peuvent pas. Certains animaux peuvent se   reconna ître dans un miroir (ex :  éléphant ) mais la conscience qu’ils ont d’eux   m êmes reste  â l’ext érieur :  contemplation physique . Les hommes sont radicallement diff érents au reste du monde. Les trois religions   centrales monoteistes donnent une place unique  à l’homme. Mais la conscience est­ elle tr ès puissante ? Limites : ­ la conscience est un  être qui se d éveloppe par le biais des sens et de la soci été   (influence du groupe..) ­ elle est produite par des choses qu’on ignore, des fantaisies, illusions, une   id éologie qui nous ne laisse pas voir le monde comme il est sinon compl étement   renvers é. ­ nous ignorons l’influence de l’inconscient sur notre vie de tous les jours, d’un   certain nombre de forces qu’agissent sur nous. è  Notre libert é est mise en question. Â me  (du latin « anima ») : d ésigne traditionnellement le principe vivant qui permet   de distinguer un corps anim é d’un corps inerte. Aperception  : mot forg é par Liebniz, facult é de prendre conscience des   perceptionsm de s’en apercevoir. L’aperception supposant une connaissance   r éflexive, le terme  à été repris par Kant pour d ésigner la conscience de soi. B éhaviorisme  ( = comportementalisme) : d ésigne au sens fort un courant radical de   la psychologie qui affirme que la conscience n’est qu’un « mythe, une interpr étation   erronn ée des faits ». Cogito  (latin= je pense) :d ésigne le principe fondamental de la philosophie   cast ésienne. Le cogito est souvent associ é à l’id ée de l’autonomie de la conscience. Coscience de soi  : Dans l’usage courant : sentiment que l’on a de soi. En   philosophie : dimension propre  à toute conscience d’ être la conscience d’un moi qui   se saisit aussi comme sujet de ses propres repr ésentations . Possibilit é de se mettre. »

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