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(écriture d'invention)Lors de son procès, Thérèse doit raconter au juge la scène que vous venez de lire mais elle veut le convaincre, lui et les jurés, de l'entière responsabilité de Laurent dans le crime commis.

Publié le 20/01/2013

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Sujet : Lors de son procès, Thérèse doit raconter au juge la scène que vous venez de lire mais elle veut le convaincre, lui et les jurés, de l'entière responsabilité de Laurent dans le crime commis.       « Nous allons maintenant procéder au témoignage de Mme Raquin. Messieurs les jurés je vous rappel qu'elle a avouer être l'amante du meurtrier de feu Mr Raquin et qu'elle était également a l'origine de cette idée de sortie sur la Seine. « « Merci Mr le Juge. Tout d'abord je tiens à vous rappeler que je suis la première victime de ce meurtre ! Même si notre union était le souhait de mes parents j' étais très heureuse d'être mariée à mon cher et doux Camille... Puisse-que je le dois, je vais vous raconter ce jour où j'ai perdu l'être cher. C'était le 3ème vendredi du mois d'octobre. Il était 18 heures et comme tout les vendredis Laurent était venu diner à la maison. Le temps était plutôt mauvais mais depuis le début de la journée j'avais fort envie d'une petite balade en barque le long de la seine. Je demandai donc aux deux hommes de m'accompagner dans ma sortie ; se promener seule le soir est toujours dangereux pour une femme, ils ne purent refuser. La balade enchantât Camille qui avait toujours adorer l'eau. Déjà a ce moment je remarquais que Laurent, quant à lui, avait l'air inquiet. Vous savez, il était effectivement mon amant depuis quelques années, cependant, c'est lui qui est a l'origine de cet adultère, je n'ai accepté que celui-ci car je m'entendais très bien avec lui ! J'avoue que cette décision a été une erreur, je pense que Laurent a du trop s'attacher à moi au point d'en être jaloux de Camille... « « Poursuivez votre récit s'il vous plait « « Bien. Nous avons commencé à naviguer au fil du courant entre les îles et les coteaux. Mon petit gilet ne suffisait plus à stopper le froid ambiant ; un peu raide je commençais à regretté la sortie pourtant tant attendue. De plus la brume nous empêchait de voir correctement le lieu, donnant au paysage un petit aspect inquiétant. A mon grand soulagement nous avons alors commencé a entendre le chant de canotiers. Le son agréable et un peu étouffé suffit à me redonner un peu de chaleur ; je les situais derrière une ile, vers la droite. Je me suis ensuite tournée vers Laurent, il était de plus en plus crispé, j'allais lui demander ce qui n'allait pas mais avant que j'ai pus ouvrir la bouche il se leva et se dirigeât vers mon cher mari pour l'enserrer. Ce mouvement quoi que inhabituel ne me choquât pas tant que cela, je restai immobile à les regarder. Camille riait, ils me faisaient penser à deux gamins se chamaillant dans la cour de récréation. Mais soudain le geste pourtant innocent pris une tournure toute différente : Camille l'air épouvanté luttait contre la pression exercée par Laurent, il épelât difficilement mon nom, à deux reprises. Je compris alors ce qui se passait. La grande main de Laurent l'attrapa alors au cou, j'étais terrorisée, pourquoi faisait-il ça ? Je m'en veut tellement de ne pas avoir pu réagir ! Mais j'étais comme pétrifiée et mes yeux suivaient la scène avec horreur, refusant de se dérober à la réalité qui me faisait face. Camille m'appela encore, dans une dernier râle. Je sus que c'était la fin, pour la première fois mes yeux se refermèrent et j'éclatai en sanglots, tremblante, frémissante, je me senti mourir. Mr le Juge, messieurs les jurés, j'aimais sincèrement mon mari et je vous pris de croire que Laurent et le seul et unique coupable. La jalousie a du le faire perde la tête mais je ne l'ai en aucun point influencer dans cet acte de mort. Comme je vous l'ai dis je suis la principale victime de ce meurtre, je n'ai jamais regretté ce mariage et je n'ai jamais souhaité sa mort. «

« suffisait plus à stopper le froid ambiant ; un peu raide je commençais à regretté la sortie pourtant tant attendue. De plus la brume nous empêchait de voir correctement le lieu, donnant au paysage un petit aspect inquiétant.

A mon grand soulagement nous avons alors commencé a entendre le chant de canotiers.

Le son agréable et un peu étouffé suffit à me redonner un peu de chaleur ; je les situais derrière une ile, vers la droite.

Je me suis ensuite tournée vers Laurent, il était de plus en plus crispé, j'allais lui demander ce qui n'allait pas mais avant que j'ai pus ouvrir la bouche il se leva et se dirigeât vers mon cher mari pour l'enserrer.

Ce mouvement quoi que inhabituel ne me choquât pas tant que cela, je restai immobile à les regarder.

Camille riait, ils me faisaient penser à deux gamins se chamaillant dans la cour de récréation.

Mais soudain le geste pourtant innocent pris une tournure toute différente : Camille l'air épouvanté luttait contre la pression exercée par Laurent, il épelât difficilement mon nom, à deux reprises.

Je compris alors ce qui se passait.

La grande main de Laurent l'attrapa alors au cou, j'étais terrorisée, pourquoi faisait-il ça ? Je m'en veut tellement de ne pas avoir pu réagir ! Mais j'étais comme pétrifiée et mes yeux suivaient la scène avec horreur, refusant de se dérober à la réalité qui me faisait face.

Camille m'appela encore, dans une dernier râle.

Je sus que c'était la fin, pour la première fois mes yeux se refermèrent et j'éclatai en sanglots, tremblante, frémissante, je me senti mourir. Mr le Juge, messieurs les jurés, j'aimais sincèrement mon mari et je vous pris de croire que Laurent et le seul et unique coupable.

La jalousie a du le faire perde la tête mais je ne l'ai en aucun point influencer dans cet acte de mort.

Comme je vous l'ai dis je suis la principale victime de ce meurtre, je n'ai jamais regretté ce mariage et je n'ai jamais souhaité sa mort. ». »

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