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L'engagement en littérature

Publié le 13/02/2013

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La morale en littérature : Contre la morale en littérature Baudelaire : La poésie ne saurait avoir de finalités didactiques ou morales sous peine de n'être plus poésie. « Si le poète a poursuivi un but moral, il a diminué sa force poétique, et il n'est pas imprudent de parier que son oeuvre sera mauvaise «. La poésie ne peut pas s'assimiler à la morale car elle n'a pas la Vérité pour objet, elle n'a qu'elle même. Il y a une « humeur poétique « qui s'oppose à la « froideur «, « l'impassibilité « de la morale. Elle a néanmoins une fonction spirituelle qui est d'élever l'homme en l'orientant vers une transcendance, à laquelle sa nature imparfaite lui empêche d'accéder, et cela par la perception du Beau. Le principe de la poésie, c'est la ...

« ­ La fonction did actiqu e du th é âtr e con si st e e n s o n analyse du réel , il a donc parti lié avec les autres secteurs de la connaissance comme l’histoire et la sociologie.

Cependant le savoir proposé doit être assimilé pour devenir source de plaisir : le jeu théâtral qui prévient l’ennui du spectateur.

Osmose du divertissement et du didactique, le plaisir est provoqué par « la jouissance des sentiments et des idées ».

Sallinger. -le théâtre est destiné à corriger les vices des hommes : la leçon est mieux retenue quand elle se fait par le rire, la raillerie étant toujours plus efficace que les reproches bien-pensants.

Molière, le Tartuffe : prend un pers auquel on lui oppose un homme de bien, s’évertue à montrer son hypocrisie pour faire réagir le spectateur.. »

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