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Escapade dangereuse

Publié le 23/09/2012

Extrait du document

Une escapade dangereuse Prévu depuis plusieurs mois, le jour de mon départ arriva.  J’arrivai à la maison après l’école avec une très grande excitation.  Je me préparai à aller manger au restaurant avec ma famille et mon amoureux pour ma fête, parce que, je partais le jour de ma fête de 17 ans.  En revenant à la maison, j’ai embrassé mon amoureux longtemps et lui dis que j’avais déjà hâte de le revoir. Ma mère venu me porter à l’école, où m’attendais l’autobus jaune qui allait nous transporter, le groupe et moi, à l’aéroport de Montréal.  Il faisait extrêmement froid cette nuit-là.  Mais cela me dérangeait peu puisque je partais dans un pays du sud pendant deux semaines faire de l’aide humanitaire. Un rêve que j’avais depuis mon tout jeune âge. Ce pays, qui baigne entre deux mers, m`attirait énormément et je tenais à le découvrir. Le Nicaragua est soumis...

« travail, un Nicaraguayen c'est fait piquer sur le menton par une immense abeille.  Il se mit à pleurer tellement il avait mal.  Ensuite, une série d'abeilles sont sorties de la ruche qui si logeait sur une branche de l'unique arbre qui régnait au bord de la rivière.  Des milliers d'abeilles grosses comme vous ne pouvez-vous imaginer.  Elles étaient raillées comme des tigres, prêtent à attaquer tout le monde qui se trouvait sur leur territoire.  Les Nicaraguayens se mirent à crier de pleins poumons  «En la agua !» (Sautez dans l'eau!).  Prise dans la boue, j'avais beaucoup de difficulté à me déprendre et les abeilles se faisaient un plaisir de venir me piquer.  Elles me faisaient tellement mal que j'avais de la difficulté à respirer.  Je devenais de plus en plus molle et je commençais à perdre la carte.

Je n`avais jamais ressenti une douleur aussi pénible de toute ma vie.

Chaque piqure était comme si je me faisais littéralement transpercé par une aiguille.

La douleur était si vive que j`étais incapable de crier.

J'entendais mes amis crier de désespoir autour de moi et cela me faisait vraiment peur.  C'est lorsque je commençais à sentir les abeilles entrer dans mes oreilles et mes narines.

C`est alors qu`un Nicaraguayen me prit dans ses bras et m`apporta dans un lieu sûr.

Il me conta alors que les abeilles ont toujours effrayé les villageois.

Il me conta alors une fameuse légende qui circulait et terrifiait les Nicaraguayens.

«Les abeilles sont attirées par la sang des humains.

Il ne faut guère approcher de leur ruche. Selon Mohiba Naden, un Nicaraguayen, qui est également un prêtre, a toujours été convaincu que les abeilles étaient supérieures à nous.

De plus, il était sûr que ceux et celles qui commettaient un péché ne mourraient pas en enfer, mais ils se feraient plutôt, dévorer par les abeilles.» C`est à cette instant que je me suis dit que nous étions sur leur territoire et les abeilles agissaient en guerrières.

Leur seul but était de nous empêcher d`aller dans la jungle, leur «royaume».

Pourtant, nous étions à l`opposé de celui-ci.

Je me suis alors promise de ne plus jamais empiéter sur le territoire d`un autre et de me renseigner la prochaine fois que j`irai en voyage pour éviter que la situation se répète.

Il faut croire que nous n'étions pas préparés à une telle fin brutale.  Ma mère me disait toujours «Les petites bibittes ne mangent pas les grosses», mais cet événement m`a fait réaliser qu`elle avait tort.

Depuis cette incident, j`angoisse lorsque je vois une abeille près de moi et je prends mes précautions.  . »

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