Explication de texte L'Avenir d'une illusion

« de vivre plus aisément en communauté puisqu'elle présente des règles que les individus sont censés respecter afin d'améliorer leurs rapports entre eux.

Par exemple, en France et dans la majorité des pays le blasphème est interdit, cette règle contribue au repect mutuel de l'individu.

La culture serait donc nécessaire à l'être humain, grâce à elle, nous avons institué des lois, une certaine conduite nécessaire à la structuration de la société et la création des forces de l'ordre, de lois, de règles par exemple y contribue. Sigmund Freud dans cette première partie, définie la culture comme supérieure à la nature de par "le savoir et le pouvoir" qui permettent entre autre d'assouvir des besoins humains mais aussi comme indispensable pour l'homme puisqu'elle lui facilite en quelques sortes la vie en société.

Nous allons maintenant voir en quoi ces deux définitions dépendent l'une de l'autre. Dans la deuxième partie de ce développement, Freud nous informe que les deux faces de la culture humaine décrites précédemment dépendent l'une de l'autre.

De la ligne 7 à 9, Freud nous explique bien que la deuxième définition de la culture est dépendante de la première dans le sens où les rapports qu'entretiennent les hommes sont influencés par des biens tels que l'argent.

En effet, si la population vit à son aise et que celle-ci n'a pas de problèmes d'argent, les individus ne devraient pas entrer en conflit.

Cependant, si la population vit en période de crise et qu'elle manque cruellement d'argent, le pire pourrait se produire et les individus seraient capables de s'entretuer pour obtenir les dernières richesses existantes.

C'est donc pour cela que des lois ont été instaurées comme les condamnations pour meurtre ou pour vol, bien que cela n'empêche la pratique de ces crimes, cela permet néanmoins de les réduire considérablement. De plus, de la ligne 9 à 11, Sigmund Freud explique que pour satisfaire des pulsions, l'être humain n'hésiterait pas à se servir de quelqu'un qui pourrait travailler à sa place ou tout simplement lui servir d'objet sexuel.

Evidemment, cela entraverait considérablement les relations entre individus c'est pour cela qu'il existe des lois contre l'esclavage et le viol par exemple.

Ici, Freud nous démontre donc que la première définition qu'il donne de la culture dépend de la deuxième. D'autre part, de la ligne 11 à 13, l'homme est décrit comme un ennemi de la civilisation (qui est en fait synonyme de culture) à cause de ses pulsions qui sont parfois dévastatrices et qui du coup peuvent être nuisibles à la culture qui, elle, aide à l'épanouissement de l'être humain, permet d'aboutir à une certaine liberté intellectuelle et physique.

Mais l'individu peut se servir de ces acquis de manière néfaste, par exemple,. »