Devoir de Philosophie

Français : humanité/Animalité dans le rapport de Brodeck

Publié le 09/02/2012

Extrait du document

 

Nous allons vous présenter notre exposé, nous avons travaillés sur les thèmes de l’humanité et l’animalité dans le Rapport de Brodeck. Afin d’étudier cela nous verrons tous d’abord comment s’exprime l’animalité des personnages dans brodeck, en effet comme vous avez pu le constater il y a beaucoup d’animaux, beaucoup de comparaison d’humain avec des animaux, de métaphores...Nous verrons aussi que cette animalisation des personnages et en lien avec leurs déshumanisation, en effet dans le roman les personnages sont souvent plus proche de l’animal que de l’être humain, principalement a cause de la guerre.

«  Brodeck se compare lui-même a des animaux, a un têtard chapitre 2 « je me suis senti comme un maigre têtard perdu dans une grande flaque d’eau » et a a un cabrit «j’ai bondit comme un cabrit » chapitre 4 Enfin parfois, c’est tout le village qui est directement comparé a des animaux, ainsi p 187 le village est comparé a un troupeau est page 365 Orschwir se décrit comme étant le « berger du troupeau ». A différents endroits brodeck se décrit comme étant une proie : P 365 Brodeck se qualifit également de souris et décrit les autres villageois comme étant des chats. A un autre passage, au chapitre 1 Brodeck se compare a un gibier et compare les villageois a des chasseurs « je me demande si je ne me change pas peu a peu en gibier avec tout une battue a mes troussent et des chiens qui reniflent » En plus de ces comparaisons physiques, nous pouvons dire qu’il y a une certaine animalisation des personnages dans brodeck en effet les humains se comporte comme des animaux a plusieurs passages du roman  P 15 les villageois ont encore « la tête plein de sauvagerie et d’idées de sang » fait penser à un animal sauvage.  Par exemple dans le chapitre 2 lorsque Brodeck arrive dans l’auberge après le meurtre de l’anderer il y a « un brouhaha, un bruit de bête de somme qui prend du mou dans ses brancard et grogne un peu d’aise »  P 128, la vieille Roswilda est décrite comme une vagabonde qui fouille les poubelles, cela fait penser a un chat, un animal sauvage...  Chapitre 35, p 332 « schloss gratte a la porte comme un animal ». »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles