L'Hypnose
Publié le 09/03/2004
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bettawloltllles, mettent l'accent sur les facteurs socio-cultu rels.
Les psychanalystes insistent sur le rOie du transfert et l'aspect érotique de la relation hypnotiseur-hypnotisé.
Entre ces écoles opposées, certains psychologues ont tenté un rapprochement.
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Si fugaces et difficiles à mesurer qu'ils soient, la réa lité des phénomènes hypnotiques n'est plus guère contes
tée.
Il est d'ailleurs facile de les produire chez plusieurs animaux.
La transe, qui peut atteindre divers degrés de profondeur, comporte une relaxation physique complète, des phénomènes de calalepsle, d'aneathêsle, d'amnêsle et des hallucinatloM.
5 L'hJpnoeft mtdlcale est employée à des fins séda
tives, analgésiques et anesthésiques, pour certaines affec tions psJCboaomatlques : troubles du rythme cardiaque,
angoisse cardiaque, asthme, obésité, ulcère gastro-intes tinal, troubles urinaires, impuissance, frigidité, dermatoses
(verrues), chirurgie dentaire.
Elle est efficace èontre cer tain• nêvro8e8, mais déconseillée dans les psychoses.
La tenue à Paris, en 1965, d'un congrès de l'hypnose médicale, a marqué une certaine réhabilitation, en France,
d'une technique psychothérapeutique à laquelle quelques spécialistes n'hésitent pas à prédire un avenir brillant.
De
leur caté, les médecins chinois semblent donner une
place importante à l'hypnose, notamment dans certaines
interventions chirurgicales..
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