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Kant et les Lumières (commentaires)

Publié le 12/01/2012

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J’ai placé le point essentiel des Lumières, la sortie des hommes hors de l’état de tutelle dont ils sont eux-mêmes responsable, surtout dans les choses de la religion, parce que, au regard des arts et des sciences, nos souverains n’ont pas intérêt à exercer leur tutelle sur leurs sujets ; au reste, cet état de tutelle est, en même temps que le plus préjudiciable, le plus déshonorant de tout. Mais la manière de penser d’un chef d’Etat qui favorise les Lumières va encore plus loin et discerne que même au regard de sa religion, il est sans danger d’autoriser ses sujets à faire publiquement usage de leur propre raison et exposer publiquement au monde leurs idées sur une meilleure rédaction de ladite législation, même si elles sont assorties d’une franche critique de celle qui est en vigueur ; nous en avons un exemple éclatant par lequel aucun monarque n’a encore devancé celui que nous vénérons.

Avant tout, il ne faut pas oublier « l’esprit des lumières « de Kant paru dans une période plein de critique, une des réflexions est plus féconde de Kant qu’il s’interroge sur la signification de l’Aufklärung. Son œuvre s’adresse à un peuple populaire qui nous montre deux importants qu’il voulait dévoiler : Importance philosophique et importance historique. Enfin, comment peut-on comprendre et de quelle manière s’agit-il ? Qu’est-ce qu’est vraiment « les lumières ? « Qu’entendons-nous l’état tutelle par le mot l’Aufklärung ?  Alors, si ces lumières c’est la sortie de l’homme de l’état de tutelle dont lui-même responsable comme dit, Kant. Donc, peut-il l’homme est capable de penser tout seul, et de quelle condition ? Nous allons nous étudier en premier temps le point essentiel des lumières puis nous analyserons en second temps les difficultés pour reconnaître ses variées aspects.

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« A quelle raison l’auteur privilégie l’exemple des questions religieuses ? Parce –que, selon Kant, c’est là que l’obscurantisme se manifeste le plus fort.

Pour ainsi dire que pour réfuter une pensée, une liberté de conscience illimitée en matière de relig ion.

Il est la raison pour laquelle Kant voulait éviter ce risque en distinguant usage privé et usage public de la raison.

Kant démontre que, « au regard des arts et des sciences », les maître qui nous gouvernent n’ont aucun intérêt à jouer un rôle de tut eur sur leurs sujets.

De ce côté, cet état de tutelle est nuisible à la propre pensé de l’homme, elle l’empêche penser librement , c’est le plus honteux et avilissant en disant « cet état de tutelle est, en même temps que le plus préjudiciable, le plus désh onorant de tout.

» En effet, l’auteur nous montre ensuite l’important et le rôle d’un dirigeant dans la religion, dans une entreprise etc.

qui favorise les lumières vont plus loin encore.

Il n’est absolument pas de danger, au contraire, il permet à leurs sujets de faire un usage public de leur propre raison, et d’exposer publiquement au monde leurs idées avec une meilleure conception, même au prix d’une franche critique le plus vigueur.

Autrement dit, il y a aucun domaine peut être dérobé, soustrait au lib re débat public de discussion même dans la religion.

Mais en fait, qu’est -ce que signifie les termes « public et un usage public ?» Il est donc un terme clé des lumières ; il désigne la communauté qui, sous l’impulsion de la liberté à la pensée, se compose comme une distance libre à la discussion et une réfl exion non soumise à l’autorité de quelqu’un.

Puis l’usage public est un terme fondamentale dans « qu’est-ce que les lumières ? » Mais il nous faut distinguer entre deux termes que Kant a utilisé « usage public et usage privé » de la raison.

Parce qu’elle d éfinit les règles d’une liberté de la pensée dans un état.

L’auteur veut distinguer pour ne pas les mélanger en utilisant.

Donc, que l’on fasse la part de ce qui assaisonne de l’obéissance et ce qui dépend au libre usage de la raison.

C’est -à - dire il faut en même temps obéir à nos gouverneurs, se soumettre à la discipline, à la loi, à l’autorité religieuse, et ne raisonner qu’après.

De ce côté, il est in dispensable de ne pas oublier dans le domaine où l’individu exerce une fonction déterminée dans la soci été, ce qui n’est exigence de penser en accord avec soi -même.

Alors, « penser par soi -même » est la première pensée du sens de l’entendement sain ou bien de la raison sain, qui doit libérer de l’hétéronomie, des tutelles en tous genres et permettre à notre pensée de se conquérir en propre.

D’après Kant, cette pensée se dit de l’activité de la raison et non pensée scientifique, cela veut dire de l’activité de l’entendement qui subsume sous des règles des divers domaines.

Pour nous éclaircir cette idée, l’auteur prend comme exemple d’un affranchissement de la pensée, un accès à l’autonomie, préjugeant un acte volontaire pour nous désigner que ce sont d’abord et essentiellement une initiative individuelle c’est -à -dire « penser par soi - même » non soumis la pe nsée d’autrui.. »

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