Devoir de Philosophie

Liberté

Publié le 16/05/2013

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PHILOSOPHIE Notion 3 : « La morale « La liberté -> Morale -> Devoir Pbm liberté = Quelle est la cause de nos act°s ? Pk ns agissons ? A 1ère vue, liberté = faire ce q me plaît (sens commun). Faire ce q me plaît ? contraintes = affects, plaisir = obligat°s crées p./ règles ds 1 milieu (p./ lois), forcer qq1 à agir contre sa volonté. Corps / Esprit. Phrases en vrac : Surdéterminat° = caractère d'1 conduite déterminée p./ plusieurs causes à la x. Convict° intime = croyance ferme propre au sujet. Contingence = q pt ne ps ê, ou ê autrement. Affects = Emot°, état affectif qui, selon théorie psychanalytiq, accompagne 1 pulsion. Spontanné = q l'on fait, q l'on produit de soi-mm, sans y ê contraint. On suppose qu'on est libre, qu'on vit ds 1 monde de contingence. Imputer = attribuer (terme juridiq). L'acte libre, c'est de dire nn = résister à notre inclinaison. Est-ce q qd ns agissons ns afissons sous l'influence d'autres déterminat°s q ns mm ? Conscience = suppose libre-arbitre. Libre-arbitre = choix & décis°s déterminées p./ individu, faculté en ns q ns permet de ns déterminer indépendament des déterminat°s extérieures. -> Suppose q notre esprit ait 1 capacité d'act°, de reflex° & de décis°s. INTRO : Opinion commune = pense liberté cme absence radicale de contraintes. -> Ainsi, ê libre serait faire ce que l'on veut, ce q ns plaît. Ms 1 telle def masq en réalité les difficultés réelles de la not°, & ce pr 2 raisons : D'abord, cme le souligne Spinoza (? 17ème s.) « être captif de son plaisir est le pire des esclavages « = on pt ê captif de sn plaisir, de ses affects. -> Les analyses sur la not° de désir ont montré cmb la vie affective se pense hors de la volonté de l'individu. -> Ainsi, je px me croire libre d'agir, alr q je suis mû (= poussé à agir) p./ ma pass° (q ne me laisse enfait aucun choix). -> Autremt dit, si liberté doit ê pensée contre la contrainte, encore faut-il envisager q de telles contraintes ne soient ps seulemt extérieures, & peuvent ê inconscientes. -> Rompt avc sens commun (ê libre = faire ce q me plaît). -> Je px croire q je suis libre sans l'ê. Ensuite, pck 1 telle déf pense 1 liberté spontanée cme 1 évidence. -> Je suis libre pck ma volonté = déterminée p./ rien d'autre qu'elle mm. -> Or, on pt s'interroger sur 1 telle évidence = ne faut-il ps plutôt envisager la qt° de la liberté d'1 pt de vue dynamiq ? = j'ai tjr à me libérer. -> La liberté suppose 1 arrachement = effort. A partir de ces rq, on pt tirer certaines conséq, q st autant d'interrogat°s : -> Tt ds Nature renvoit à l'enchaînenmt de causes & d'effets, q st eux-mm causes d'autres effets. (Cause -> Effet -> Cause -> Effet -> Cause -> Effet ... etc) -> Ns ne serions qu'1 maillon de cet enchaînemt de causes & d'effets. Or, p./ sa volonté libre, l'individu aurait le pouvoir d'ê sa propre cause. -> Contre cela, il s'agit d'interroger la posit° de Spinoza (? 17ème s.) q vt montrer q «L'Homme n'est pas un empire dans un empire «. -> On conçoit l'existence à partir de certaines déterminat°s, ms pouvons-ns libremt ns y soustraire ? -> Lois de causes à effet q régissent Nature st aussi applicables à l'H. Tt ce q ns faisons = produit d'1 cause, & nn d'1 libre-arbitre. -> Amène à sortir de l'illus°. De +, q l'H soit libre ou déterminé renvoie égalemt au pbm moral : -> Cmt tenir 1 ê pr responsable d'1 acte (qu'on lui reproche ou nn), si l'on admet ds le mm tps qu'il n'...

« ns déterminer ind épendament des d éterminat °s ext érieures.   Suppose q notre esprit ait 1 capacit é d'act °, de reflex ° & de d écis °s.  → INTRO  :  • Opinion commune = pense libert é cme absence radicale de contraintes.   Ainsi,  ê libre serait faire ce que l'on veut, ce q ns pla ît.  → • Ms 1 telle def masq en r éalit é les difficult és r éelles de la not °, & ce pr 2 raisons :  – D'abord, cme le souligne  Spinoza  ( ? 17ème s.) « être captif de son plaisir est le pire des esclavages » = on pt  ê captif de sn plaisir, de ses affects.   Les analyses sur la not ° de d ésir ont montr é cmb la vie affective se pense hors →   de la volont é de l'individu.   Ainsi, je px me croire libre d'agir, alr q je suis m û (= pouss é à agir) p./ ma pass ° →   (q ne me laisse enfait aucun choix).  Autremt dit, si libert é doit  ê pens ée contre la contrainte, encore faut­il  → envisager   q de telles contraintes ne soient ps seulemt ext érieures, & peuvent  ê   inconscientes.   → Rompt avc sens commun ( ê libre = faire ce q me pla ît).   Je px croire q je suis libre sans l' ê.  → – Ensuite, pck 1 telle d éf pense 1 libert é spontan ée cme 1  évidence.  Je suis libre pck ma volont é = d étermin ée p./ rien d'autre qu'elle mm.  →  Or, on pt s'interroger sur 1 telle  évidence = ne faut­il ps plut ôt envisager la qt ° →   de la libert é d'1 pt de vue dynamiq ? = j'ai tjr  à me lib érer.    → La libert é suppose 1 arrachement = effort.  • A partir de ces rq, on pt tirer certaines cons éq, q st autant d'interrogat °s   :   Tt ds Nature renvoit  à l’encha înenmt de causes & d'effets, q st eux­mm causes →   d'autres effets.   (Cause   Effet   Cause   Effet   Cause   Effet … etc) → → → → →  Ns ne serions qu'1 maillon de cet encha înemt de causes & d'effets.  → • Or, p./ sa volont é libre, l'individu aurait le pouvoir d' ê sa propre cause.   Contre cela, il s'agit d'interroger la posit ° de  → Spinoza  ( ? 17ème s.)  q vt montrer q   «L’Homme n'est pas un empire dans un empire » .  On con çoit l'existence  à partir de certaines d éterminat °s, ms pouvons­ns libremt →   ns y soustraire   ?   Lois de causes  à effet q r égissent Nature st aussi applicables  à l'H.  → Tt ce q ns faisons = produit d'1 cause, & nn d'1 libre­arbitre.  Am ène  à sortir de l'illus °. →. »

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