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La liberté absolue de conscience

Publié le 18/07/2011

Extrait du document

conscience

la LIBERTE ABSOLUE DE CONSCIENCE,

 non plutôt sur les 3 mots LIBERTE. ABSOLUE ET CONSCIENCE. 

 Je vais donc tenter  en séparent  les 3 mots tout en restant dans le symbole.

Dans un ordre différent de la phrase mes qui pour moi me parle plus ;

CONSCIENCE

LIBERTE pour finir. ABSOLUE je dirai Vérité Absolue.

 

  • Ø La conscience est la voix de l'âme, les passions sont la voix du corps. Jean-Jacques Rousseau 
  • Ø Pour moi la liberté Absolue va de paire avec la définition de Vérité. 
  • La Vérité de l’homme est au delà de ses apparences.

Qui masque ses fautes se voit, en fin de compte, démasquer par sa conscience. William Shakespeare

 La CONSCIENCE portée par un individu sur son ENVIRONNEMENT ou sur AUTRUI, peut se situer sur plusieurs niveaux.

Ces divers niveaux correspondent à diverses zones activées dans notre CERVEAU.

Suivant les zones sollicitées, notre conscience des choses varie, en profondeur et en aspect, allant de L'ILLUSION à la VÉRITÉ.

Pour la société, une heure est une heure. Pour un individu ce n'est pas les mêmes choses. Une heure n'a pas la même intensité si elle est rattachée au PLAISIR ou à la SOUFFRANCE.

Au niveau personnel, ce qui est perçu, ressenti ou imaginé par un individu, ce dont il a conscience, est nécessairement vrai, puisque c'est sa seule réalité possible.

Si je suis moins investi par ma tâche et plus intéressé par mes FF , (sans toutefois m'arrêter sur quelqu'un en particulier), curieux des gestes, des allures,  des comportements, ces autrui prendront plus d'importance dans ma conscience. Je verrai non plus des ombres, mais des F dont je me sens le semblable.

Si maintenant, je flashe (pour dire les choses simplement) sur l’intervention d’un F en particulier, mon attention va se focaliser sur cet autrui. Cette obnubilation va du coup éteindre les autres autrui, l'importance de mon travail ou la beauté du lieu. Je vais à ce moment-là investir ma conscience plus instinctivement vers cet autrui ; je vais attacher mon regard mes oreilles à l'intérêt que je pourrais porter sur lui.

Sous l'emprise d'une pulsion, d'une passion, les AUTRUI et le lieu n'ont pas bougé mais ma CONSCIENCE va les percevoir différemment.

 la CONSCIENCE de l'individu est subjective, elle dépend du caractère et de l'histoire intime de chacun (pêcheurs de baleines et adeptes de Greenpeace n'auront pas la même conscience de ce qu'est un cétacé). La CONSCIENCE « normale » varie en fonction des humeurs du moment et de l'intention portée aux choses (observer un lion pour le peindre diffère d'une observation scientifique).

Tous les divers niveaux de la CONSCIENCE ORDINAIRE sont construits par le sujet. Sujet - selon la terminologie de Maine de Biran -  c'est à dire l'individu qui agit volontairement sur lui-même et sur le monde, l'individu mû par des INTENTIONS, des DÉSIRS, des VOLONTÉS, des AFFECTS, des INQUIÉTUDES, des SENTIMENTS. Autrement dit, tous ces degrés de conscience sont élaborés par tout l'arsenal des facultés individuelles et personnelles qui pousse l'homme à l'action (constructrice ou destructrice, « positive » ou « négative »). Notre pavé de mosaïque ou tout simplement nôtre position dans la Loge.

Au contraire, la CONSCIENCE ORDINAIRE, celle qu'un individu peut avoir d'un tableau de Van Gogh, d'un arbre ou d'une personne, est quant à elle subjective, elle varie d'un individu à l'autre.  

Conscience extatique                     

Dans l'état d'EXTASE, la CONSCIENCE serait une conscience au sens biologique du terme, c'est la conscience avec un grand C, la Conscience générique allant avec chaque corps humain.

Une Conscience basique dépourvue de trait de personnalité, sans vision subjective, sans interprétation individuelle. C'est la Conscience de l'Etre humain physiologiquement parlant, vidée de tout ce qui fonde sa PERSONNE morale, juridique, intellectuelle.

Vide également de ses TENDANCES AFFECTIVES, de ses inclinaisons, de ses PULSIONS, en somme de tout ce qui fonde son animalité secondaire, tout en conservant les instincts premiers de survie : (boire, manger, dormir).

Ce tribunal que l'homme sent en lui est la conscience. Kant

 

La liberté Absolue    

    Dire que l’homme est libre peut se prendre dans un sens très relatif. Libre, oui, mais par rapport à quoi? Par rapport à la société, par rapport à son passé, par rapport à son milieu, son corps? Par rapport à une contrainte. C'est une manière assez négative de penser la liberté. D'un point de vue plus positif, en quoi consiste la liberté? Est-ce que la conscience est en elle-même libre absolument?

    Si c’était le cas, il faudrait comprendre comment l'individualité trouve sa place dans un univers dont la science mécaniste nous montre qu’il est très largement déterminé. Les nuages ne se déplacent pas « librement » dans le ciel. Ils vont et viennent conformément à des courants. Les animaux ne se comportent pas « librement » dans la nature. Ils suivent les lois de la Nature que leur commande leurs instincts.

    Même si nous disposons d'une liberté, de toute manière, il faudrait encore savoir quel usage nous pouvons en faire. En quel sens peut-on dire que seul l’homme dans la nature dispose d’une liberté ?

 

La liberté de vouloir

    Considérons le problème sous un autre angle, celui du vécu conscient : qu’est-ce qui atteste l’existence d’un libre-arbitre ? Le libre-arbitre est la liberté en acte, il est fondé sur la disponibilité à soi qui permet à l'homme de faire des choix. Nous faisons une expérience claire de notre pouvoir de choisir. Nous éprouvons ce pouvoir en présence de plusieurs possibles qui s’offrent à nous. Nous percevons en nous une volonté libre, réfléchie, maîtresse d’elle-même et nous avons même un sentiment vif de notre liberté et de notre indépendance. Cette expérience consciente se suffit à elle-même pour attester de la présence de la liberté en l’homme. « La liberté de notre volonté se connaît sans preuve, par la seule expérience que nous en avons ». Autrement dit, la preuve de la liberté, c’est la liberté elle-même en acte, telle que nous la rencontrons dans notre expérience.

    1) Cette liberté de fait se fonde sur la liberté de vouloir ou de ne pas vouloir qui appartient au moi de manière très intime. Mais encore faut-il que cette puissance soit exercée comme il faut. Pour que nos actes soient libres, il est important que l’action soit spontanée, mais aussi qu’elle soit délibérée. Reprenons l’instruction du Grade : C’est un homme libre, également ami du pauvre et du riche, s’ils sont vertueux. L’instruction du grade me fait bien comprendre que pour être un homme libre je dois également avoir les avis du pauvre et du riche. Il ne s’agit pas seulement de dire que nous avons les coudées franches et une latitude de mouvement pour agir, mais surtout de se demander si l’esprit est libre dans l’action. Or c’est bien cette liberté que nous perdons quand nous sommes submergés par les émotions, reprenons l’instruction du Grade : Vaincre nos Passions, soumettre nos volontés et faire de nouveaux progrès en Maçonnerie. Quand nous suivons une suggestion inconsciente sans nous en rendre compte, quand la passion nous pousse là où elle veut aller et où nous ne faisons que suivre

    L’homme libre doit conserver sa lucidité devant le réel, son pouvoir de délibération, car s’il perdait toute lucidité et tout pouvoir de délibération, il perdrait du même coup sa liberté. Tout se joue donc au niveau de la disponibilité à elle-même de l’intelligence. Où bien je me soumets aveuglément aux mobiles sensibles de la séduction du plaisir, de l’attrait du désir, ou bien je ne me laisse déterminer que par des motifs intellectuels qui résultent d’une considération juste et saine de la situation d’expérience actuelle.  Toujours l’instruction du Grade : Ou avez vous été reçu ? Dans une Loge juste et parfaite. Pour que je puisse juger sainement, il faut que mon intelligence garde son indépendance, observe un retrait et ne soit pas asservie au domaine des sens. C’est là une exigence élevée, mais ce pouvoir est peut-être en nous. C’est pour Descartes une évidence incontestable : « il est évident que nous avons une volonté libre qui peut donner son consentement ou ne pas le donner quand bon lui semble, que cela peut-être compté pour une de nos plus commune notions ». La volonté s’appartient à elle-même, parce que la conscience s’appartient à elle-même.

 

. L’acte gratuit et la liberté

    Une fois admis l'hypothèse d'un libre-arbitre absolu, on dira que la liberté est capable du meilleur comme du pire. Le « sentiment vif » de la liberté peut devenir une sorte d’ivresse devant l’indétermination des possibles. « Je peux faire ce que je veux, rien ne me détermine, je suis libre ». Ne pouvons-nous pas parfois avoir le sentiment que nous pouvons choisir n’importe quoi ? Ne pouvons-nous pas donner à la volonté n’importe quel objet ? A la limite cela peut vouloir dire qu’il y a dans la conscience une telle disponibilité qu’elle peut agir gratuitement, sans motivation.

       Mais nous pouvons chercher plus près de nous, avec une moindre provocation : quand nous prenons une décision écervelée « comme ça », sans raison, « je choisis cela, comme çà, après tout je suis libre de faire ce que je veux, de faire tout ce qui me passe par la tête ». Cette attitude se rencontre dans la vie quand nous disons « faire n’importe quoi ».

    Alors apparaît quelque chose d’étrange et de monstrueux : le jaillissement de l’absurde. L’absurde de la liberté se donne avec une sensation enivrante de vertige. Comme si la vie était suspendue au dessus de l’abîme et que nous nous donnions au jeu de l'absurde d’un choix gratuit. Cette sensation de vertige traverse bien des textes de la littérature existentialiste, dont La Nausée de Sartre. Si l’existence n’est vue que comme une déréliction absurde, alors elle est gratuite et sans raison. Elle n’est que l’improvisation perpétuelle d’une liberté qui se recréée à chaque instant, surgissant de rien pour aller vers quelque chose qui est son projet et son but. L’homme qui dispose d’une telle liberté doit, quand il revient sur lui-même éprouver ce vertige : c’est terrible, je peux faire ceci ou cela, et rien ne me donne une direction, toute décision est gratuite. D’où l’importance la encore une fois l’instruction du grade qui nous dit : Que faut il pour qu’une loge soit juste et parfaite ?en nous parlant de Liberté d’expréçions .on nous répond 3 la gouverne, 5 la compose, 7 la rendent juste et parfaite.

    Un esprit lucide est suffisamment conscient des situations d’expérience de la vie et de leur urgence pour ne pas se permettre le luxe d’un vertige métaphysique. La vraie liberté selon Sartre sera non pas dans le choix, mais dans le projet, et le projet de notre existence nous replace dans une intrication si étroite avec le Monde que nous sommes condamnés à porter la complète responsabilité de nos actes : « nous sommes seuls sans excuses. C’est ce que j’exprimerais en disant que l’homme est condamné à être libre\".

« Donnez-moi la parole.

Je ne dois ni lire ni ecrire, je ne puis qu’épeler. Dites moi la 1 lettre, je vous dirai la seconde »

D. Liberté et conscience

    1) L’expérience consciente est une provocation qui nous met en demeure de répondre de manière intelligente à ce qui est, au lieu de chercher à nous dérober. La mise en demeure est la vigilance. La conscience en vertu de son intentionnalité, se doit de se diriger vers l’actuel. Tout acte est l’expression d’une intention d’agir, ce qui signifie qu’en réalité, la conscience n’est pas vraiment déterminée par des causes, mais plutôt mue par des motivations qui visent l’action actuelle. La causalité est une logique qui porte surtout sur la nature et ses processus. Dans l’ordre de la conscience, ce qui est moteur, c’est la motivation. L’esprit n’est pas une boule de billard réagissant au choc provoqué par une autre boule. La causalité mécanique s’applique bien à l’ordre de ce qui est matériel. D’ailleurs, comment une chose pourrait elle cogner contre une pensée ? Cela ne veut rien dire. Puisque la liberté se situe essentiellement dans la sphère de l’esprit, elle doit être pensée en termes de conscience. C’est ainsi qu’elle se présente à nous dans l’expérience. La liberté se comprend à travers la texture des motivations que la conscience est susceptible de viser, comme elle se comprend dans le rapport du sujet à ses propres motivations. « Demander et vous recevrez, Chercher et vous trouverez, Frappez et l’on vous ouvrira. »

    Même si je n’étais pas libre de mes choix ou de mes décisions, il n’en reste pas moins que je peux toujours en prendre conscience, je peux prendre conscience de mes motivations en les mettant en lumière. Avec les 3 lumières de la loge « j’ai vu le Soleil, la Lune et le Maitre de la Loge. » Tout ce que je suis, tout ce que je fais, s’inscrit dans ma conscience.

    2) Là où je suis le moins libre, c’est là aussi où je suis le plus dépendant et cette dépendance est d’autant plus vive qu’elle est inconsciente.

 

La vérité absolue ne se verbalise pas, ELLE SE RESSENT.

Au sens large, la conscience peut se définir comme l'ensemble des images, des idées ou des sensations générées par notre esprit est perçue par lui.

La conscience est donc : « la connaissance qu'a le FM de LUI-MÊME, d'AUTRUI et de son ENVIRONNEMENT».  En travaillant avec les outils de son grade.

Elle peut être vécue effectivement ou imaginée (comme la CONSCIENCE générée par nos rêves par exemple).

Dans la VIE profane, les CONNAISSANCES engendrées par notre CONSCIENCE, constituent un panel allant de la PURE ILLUSION jusqu'à la VÉRITÉ la plus haute selon notre philosophie : l'éveil, l'extase.

En se développant, l'individu développe progressivement sa conscience et ses connaissances. Ces deux valeurs le rapproche toujours plus des vérités et de la vérité (de la non conscience de son corps chez le nourrisson, jusqu'à la sagesse du vieillard) le.

L'ensemble des consciences individuelles, constitue ce que nous pourrions appeler : la «CONSCIENCE UNIVERSELLE ».

Cette conscience universelle évolue selon un principe identique à celui de la CONSCIENCE INDIVIDUELLE.

Elle progresse au fur et à mesure du développement des connaissances de l'humanité. La conscience universelle se rapproche donc peu à peu de la vérité.

 

La vérité Absolue

Selon une définition courante, la VÉRITÉ correspondrait à : «la conformité du discours à son objet». Ceci est une table, ceci est un homme ceci est un Franc  Maçon etc., et en effet, pour le sens commun, il s'agit bien d'une table, d'un homme, pour nous  « Mes FF me reconnaissent pour tel » etc.

Seulement, ces VÉRITÉS, définies selon le sens commun, si elles sont vraies et utiles pour les pensées ordinaires, ne sont pas pour autant des VÉRITÉS ABSOLUES.

Univers, homme, ciel, mer, table, chaise, sont des TERMES construits par l'homme pour définir des« CHOSES» dont la vérité absolue est antérieure à toute définition.

Par exemple, La conscience que j'ai de ce meuble ancien devant moi, est radicalement différente de la conscience qu'en a le ver qui s'en régale.

 

La vérité de l'univers

L'univers nous dit-on, est en EXPANSION.

La VÉRITÉ ABSOLUE de l'univers ne peut donc pas être un moment précis de cette expansion, ni un élément de celui-ci puisque cet élément n'est pas le tout.

La VÉRITÉ ABSOLUE de l'univers ne peut pas être non plus, un espace temporel de cette expansion (par exemple le temps depuis lequel existe l'humanité) car cet intervalle n'est pas le tout.

On ne peut pas non plus découvrir la VÉRITÉ ABSOLUE de l'univers en s'appuyant sur sa forme, sur son apparence puisque celle-ci est, nous dit-on, en expansion. La forme de l'univers est donc mouvante.

Autrement dit, on ne peut utiliser ni l'ESPÈCE, ni le TEMPS, ni la MATIÈRE dans ce qu'elle a de changeant, pour démontrer la VÉRITÉ ABSOLUE de l'univers.

La VÉRITÉ ABSOLUE de l'univers ne peut être qu'une : « constante immatérielle, immuable, invariable et infinie ».

 

C'est la même chose au niveau de VÉRITÉ ABSOLUE du FM

Tout au long de notre VIE, nous le savons, notre aspect PHYSIQUE, notre condition sociale, nos qualités, nos tendances, notre INTELLIGENCE, nos PASSIONS, évoluent, sont en constantes mutations.

Donc ni la forme, ni la position sociale, ni les qualités, ni les tendances, ni les passions d'un individu, ne peuvent être la vérité absolue de celui-ci.

IDG : Ni nu, ni vetu, pour nous représenter l’état d’innocence et pour nous rappeler que la vertu n’a pas besoin d’ornements ; dépourvu de tous métaux, parce qu’ils sont l’emblème et souvent l’occasion des vices que le Maçon doit éviter.

D'autre part, nous le savons également, notre interprétation du monde extérieur, est totalement différente de ce que voit une fourmi, une mouche un poisson ou un profane.

Donc ce que nous voyons n'est pas la vérité absolue de ce qui est, mais une interprétation.

Nous savons également que ce que nous entendons, touchons, sentons, n'est pas ce qu'entend, touche, sent, un vers de terre un poisson ou une guêpe, Il ne nous est donc pas possible de dire que, ce que l'on perçoit par nos sens est la VÉRITÉ.

En résumé ni ce que nous représentons socialement, ni ce que nous percevons par nos sens, n'est la VÉRITÉ ABSOLUE

La seule vérité absolue d'un être humain, c'est donc son essence, sa partie immuable et immatérielle située dans l'atome, présente et identique dans l'univers, dans le vivant et dans chaque homme.

L'ultime vérité

La seule façon pour un Franc Maçon d'accéder à la vérité absolue des choses, c'est d'être lui-même en contact sensitif avec sa propre ESSENCE immatérielle et immuable, puisque celle-ci est reliée à l'essence immatérielle et immuable des choses.

Il faut donc, pour qu'une CONSCIENCE soit au contact de la vérité absolue, qu'elles soient au contact absolu de l'essence immatérielle des choses, autrement dit de l'énergie pure

Cette relation entre le Franc Maçon et la VÉRITÉ ABSOLUE des choses, est possible dans une seule position PSYCHIQUE ; celle que nous nommons ici : l'état de BÉATITUDE, D'EXTASE, de NIRVANA. D’EGREGORE.

En résumé, la vérité absolue est immatérielle et atemporelle. Elle ne peut être verbalisée, analysée, écrite ou exprimée. La vérité absolue est la sensation ressentie par le corps et l'esprit à travers la conscience, de la «partie intime des particules élémentaires».

Par notre recherche philosophique et Spirituelle à travers la Maçonnerie

Elle a pour principes, la tolérance mutuelle, le respect des autres et de soi- même,    (je vais vous rappeler une des phrases les plus importante  de la constitution :

 la liberté absolue de conscience.

Quel vaste programme 

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