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La littérature dans la société

Publié le 06/05/2013

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Littérature et société 14 séances - syllabus à la DUC 2 travaux à faire consignes sur icampus Planning du cours : cours 1 : 31 janvier cours 2 : 7 février cours 3 : 14 février cours 4 : 21 février cours 5 : 28 février cours 6 : 7 mars cours 7 : 14 mars cours 8 : 21 mars -> absente cours 9 : 28 mars -> absente cours 10 : 18 avril cours 11 : 25 avril cours 12 : 2 mai cours 13 : 9 mai -> pas cours cours 14 : 16 mai COURS 1 : 31 janvier Ray Bradbury : Fahrenheit 451 Fahrenheit 451 c'est la température à laquelle brûle un livre. L'ouvrage dépeint une société dans laquelle les livres sont interdis et les pompiers ont comme mission de chasser les livres et quand on trouve les livres on les brûlent. Des gens décident de quitter cette société et apprennent par coeur les livres. Chacun est le livre qu'il incarne. Fin du livre, un vieillard qui transmet le livre qu'il est à un enfant pour perpétuer l'histoire. Brûler les livres = autodafé. Le livre comme lieu de résistance Les livres ont toujours été un lieu de résistance. Dès qu'il y a un régime autoritaire en contrôlant les livres on pense contrôler la pensée. Salman Rushdie a écrit « les versets sataniques « dans lequel il met en scène Mohammed et le Coran. Il sera condamné à mort par certains intégristes musulmans et ne pourra donc pas se rendre dans ses pays durant plusieurs années. = C'est l'emblème de l'atteinte au livre la plus forte. C'est intéressant de voir le poids que le livre a dans notre société. Le livre a un impact social inversement proportionnel à son poids économique. Des positions contraires... Il y a des positions contraires par rapport aux livres telles que « Comme un Roman « de Daniel Pennac où l'auteur parle des droits imprescriptibles du lecteur en 10 points : Le droit de ne pas lire Le droit de sauter des pages Le droit de ne pas finir un livre Le droit de relire Le droit de lire n'importe quoi Le droit au bovarysme Le droit de lire n'importe où Le droit de grappiller Le droit de lire à voix haute Le droit de se taire Qu'est ce le bovarysme ? Ce terme vient du fameux livre de Gustave Flaubert «  Madame Bovary « dont le personnage principal trompe son ennui par la lecture pour oublier la médiocrité de sa propre vie. Flaubert n'accuse pas Mme Bovary. Le bovarysme c'est donc préférer la littérature à la vie. L'idée de Pennac c'est qu'il faut se laisser emporter par les livres. L'homme lit parce qu'il se sait seul, c'est une compagnie qui prend la place d'aucune autre mais qu'aucune autre ne saurait remplacer. Il y a dans les livres quelque chose qui nous dépasse et dans lequel on se retrouve. C'est également la position d'une autre écrivain qui s'appelle Danièle Sallenave qui a écrit un essai nommé le « don des morts « dont l'idée est de dire qu'il y a quelque chose de très particulier et propre à la littérature qui est un don que les générations passées font aux générations futures. Dans le livre, il y a des expériences humaines qui sont transmises et qui ne peuvent être transmises que par un langage raconté et qui fait que la littérature est un manque qui apporte une valeur à la vie ordinaire (elle va un peu loin) et que les gens qui ne lisent pas ne peuvent prétendre atteindre. Pierre Bourdieu est un des premiers à avoir tenu une position complètement différente par rapport à cela en clamant que bien que la littérature est un objet particulier c'est un objet social comme les autres qu'on peut analyser au même titre qu'un autre élément de la société. On peut faire une sociologie de la littérature, ce qu'il va d'ailleurs faire dans « les règles de l'art « où il fait l'analyse de la place de la littérature dans la société. Dans sa préface, Bourdieu contredit totalement la position de Danièle Sallenave dans un contexte non pas de discussion et d'échange mais dans une « guerre « des idées. Le livre est un objet à un poids symbolique. Si on prend les portraits officiels des présidents français, sur les 24 présidents français dont on dispose d'un portrait officiel, la moitié d'entre eux ont soit un livre dans la maison soit posent devant une bibliothèque. C'est très intéressant car on voit bien la symbolique derrière ses photos. Il y a une idée de rapport au texte fondateur. Cela peut être des textes sacrés ou les textes légaux. De Gaule par exemple, lit un livre sur sa photo officielle. Cela veut dire que si je veux apparaître comme quelqu'un de pouvoir, le livre va renforcer cette légitimité sociale et culturelle. Les 3 premiers chapitres sont assez complets dans le syllabusLes chapitres 4 et 5 contiennent peu de matière du cours. Examen écrit questions ouvertes qui portent sur ce qui a été dit au cours et qui est en partie repris dans le syllabus examen = 15 points sur 20 5 points pour le travail 1 et 5 points pour le travail 2 CHAPITRE 1 : Méthodologie Introduction Les entrées du cours se font selon 4 approches : approche sociologique approche anthropologique/ethnographique approche historique approche ...? Sociologie de la littérature C'est quelque chose qui est relativement récent. Pendant longtemps la sociologie s'est intéresse aux pratiques sociales mais pas aux pratiques culturelles. Quand elle s'y est intéressée, les auteurs ont du se confronter aux sociologues parce que les auteurs ont clamés que les sociologues ne pouvaient les comprendre avec leur grilles d'analyse. Des chercheurs en ressortent : Pierre Bourdieu et Jacques Dubois. Jacques Dubois établi 3 grands principes sociologiques : Tous les fais humains sont déterminés par une histoire qui est d'abord collective cela répond bien au problème des écrivains qui se disent « à art « Les oeuvres sont les produits de cette histoire même si elles sont créées par un individu particulier Ses pratiques d'écrivains sont peut être particulières mais finalement elles sont du même ordre que toute autre activité matérielle et cette idée met à mal la perception de l'écrivain comme un génie incompris. Cette vision est une vision idéalisée propagée par l'écrivain lui même. Le danger de la sociologie serait de prendre les écrivains comme des sociologues également. Il ne faut pas croire que ses oeuvres esthétiques soient des reflets de la société de l'époque. Il est évident que Zola qui est un écrivain naturaliste (Rougon Macquart), qui veut rendre compte de la réalité de son époque donne tout de même son point de vue, c'est un écrivain avant tout pas un sociologue. Il y a une volonté de l'écrivain d'être un témoin de son temps. Il faut être prudent en étant conscient que c'est un point de vue qui passe par l'écriture. Pour cela, il faut reprendre les 3 grandes catégories classiques qu'utilisent les sociologues : les classes sociales les institutions les idéologies, les discours Avec ses éléments on peut essayer de comprendre la place des écrivains dans la société et ce qu'ils disent de la société. COURS 2 : 7 février Les classes et appartenances sociales Chaque écrivain appartient à un certain milieu. Il possède une classe sociale d'origine et une classe sociale d'appartenance qui vont influencer son travail et sa production et dont il faut tenir compte lors de l'analyse. On parle de classe d'appartenance car il y a une certaine mobilité sociale (vers le haut ou vers le bas). Cette mobilité pousse chaque écrivain à s'inscrire et à se positionner de manière différente parmi une classe sociale donnée. Par ailleurs, l'auteur vend les habitudes de la classe sociale à laquelle il appartient. Bourdieu qualifie cette pratique d' « habitus «, c'est-à-dire que l'auteur conforte la classe dans laquelle il se situe. La place que l'écrivain occupe dans la société et la façon dont il se met en scène transparaît dans la littérature. Les institutions  Les écrivains sont au coeur d'une double réalité : ils ont à la fois tous leurs propres spécificités entant qu'individus isolés et s'inscrivent dans un système qui les met en contact avec beaucoup d'autres personnes. Cette vision les éloigne de l'image d'individus incompris qu'ils cherchent à se construire. Ils sont en relation avec des éditeurs, se rendent à des foires du livre, ... Cette socialisation constitue un champ dans lequel il y a des rapports de pouvoir et autour duquel gravitent d'autres champs. L'école, par exemple, est une institution importante qui influe sur la façon dont on considère la littérature. Ces institutions sont marquées par des rapports de force qui en modifient sans cesse la composition. Par exemple, les genres du roman policier ou du reportage photos n'ont intégrer ces institutions que très récemment. Une certaine sélection s'opère également parmi les livres : une rentrée littéraire représente environ 650 livres, mais sur ces 650, 600 vont sortir du système dominant car ils ne trouvent pas de public. Ils vont alors intégrer d'autres systèmes périphériques situés en-dehors de l'institution (internet notamment). Les idéologies et les discours L'idéologie consiste à travailler le discours. À travers une analyse interne, on peut définir quelles sont les idées derrière ce discours et la vision du monde que l'auteur cherche à faire transparaître. Il existe 2 types de textes à partir desquels on peut réaliser une analyse interne : les romans : l'écrivain Louis-Ferdinand Céline est un auteur très analysé car il est antisémite et fut collaborateur lors de la seconde GM. Un autre romancier discuté est Michel Houellebecq car il adopte des positions très dures. les textes d'accompagnement (préfaces, manifestes, carte blanche,...). Grâce à cette analyse interne on peut donc comprendre comment les écrivains représentent le monde dans lequel ils vivent et la façon dont ils l'analysent. Il existe également 3 grandes catégories d'approches sociologiques qui correspondent à 3 moments de la production littéraire : 1°) La production des oeuvres littéraires / l'édition (en amont) : Le secteur de l'édition couvre un champ social et économique. Le marché du livre répond à des conditions socio-économiques de production. Les maisons d'édition sont de plus en plus reprises dans des chaînes culturelles (ex : adaptation des livres au cinéma). La consommation culturelle et la circulation des livres ont aussi intégrer cette chaîne culturelle. 2°) Le texte, le contenu de la production : Il existe une sociocritique : des sociologues ou des littéraires (= des spécialistes analystes de la littérature) qui grâce à des outils d'analyse réalisent une analyse esthétique ou une psychanalyse. Cette sociocritique est en fait une analyse interne qui permet de comprendre quelle vision du monde transparait de la littérature. En d'autres termes, c'est une analyse littéraire avec des outils sociologiques. 3°) La réception sur les lecteurs (en aval) : C'est une sociologie qui s'intéresse aux usages et aux lecteurs. C'est le fruit d'un travail d'enquête (statistique) ou d'enquête sur des groupes de lecteurs. Approfondissement sur la sociocritique (2°) : C'est une approche qui se développe depuis le début du 20ème siècle. Au départ, elle émet une hypothèse très simple déjà évoquée par Aristote : la littérature est une forme de représentation de la société, du monde dans lequel le livre a été produit, c'est une imitation du réel mais qui le dépasse = la mimèsis. La littérature n'est pas de l'ordre du documentaire mais de la fiction qui entretient un rapport + ou - clair et évident à la réalité. Selon les chercheurs, c'est le fait que l'on retrouve un aspect social dans chaque production littéraire qui motive cette approche de la sociocritique. Luckàcs est l'un des premiers à développer et à théoriser cette théologie critique à travers son ouvrage « La Théorie du Roman « (1916 ?). Il cherche à savoir en quoi la forme (= le genre littéraire), au-delà des histoires racontées, est révélateur de la société. L'épopée : c'est le genre majeur dès 700/800 en Europe occidentale et centrale. C'est le genre qui représente les valeurs de l'époque et le fonctionnement de la société médiévale. Elle met en scène des faits historiques des Seigneurs et révèlent l'organisation de la société féodale, les rapports sociaux et la place de chacun. L'épopée tire véritablement son succès de sa forme qui met en scène l'organisation de la société, c'est le genre majeur et on retrouve d'énormes fractions d'épopées recopiées et déclinées en plusieurs versions, preuve de son succès. Une épopée très célèbre est « la Chanson de Roland «. Bien qu'elle ne fût retranscrite sur un support qu'au 11ème siècle par des moines copistes, « la Chanson de Roland « découle en fait de la tradition orale beaucoup plus ancienne. Roland est un des chevaliers de Charlemagne, et avec Olivier, ils sont chargés d'aller combattre les Sarazins en Espagne. Ils se feront attaquer car un des leurs les trahit. Ils se battront jusqu'à la mort et, avant de mourir, Roland va, comme le veut la tradition, casser son épée pour que les Sarazins ne puissent pas la récupérée. La société féodale est très stéréotypée, très masculine, guerrière, il ne règne aucun état d'âme, on se bat pour son seigneur et son dieu, la société civile n'existe pas et n'a aucune valeur, les femmes n'ont pas d'existence sociale,... Le roman : dès les 14ème et 15ème siècles, on assiste à la naissance et au développement du commerce à grande échelle. La société est profondément transformée et l'épopée n'a plus de sens car elle n'est plus représentative de cette société médiévale. Par ailleurs, des révoltes paysannes éclatent et une nouvelle classe sociale apparait : la bourgeoisie. Un nouveau public est en train de naître et l'épopée ne correspond plus aux attentes de ce public. L'épopée devient marginale et laisse alors sa place aux romans écrits en prose et non plus en vers. Le premier roman à avoir été écrit est « Don Quichotte « de Cervantès (1605). Don Quichotte est un chevalier errant, un vagabond, une espèce de fou qui se bat contre des utopies et essaye de préserver un univers qui n'existe plus. Le roman fait directement le parallèle avec la réalité de la société médiévale et les changements inévitables qu'elle a subi et qui ont conduit à son terme. En France, le premier roman à avoir été écrit est « La Princesse de Clèves « de Madame de La Fayette (1678). Sa particularité est d'avoir été écrit par une femme. C'est le premier grand roman d'histoire d'amour sublimée. À la Renaissance, l'attention est focalisée sur l'individu et la collectivité est reléguée au second plan. Ce roman expose et traite donc des sentiments personnels et non plus des devoirs sociaux. Il y a un réel travail d'analyse sur ce que sont les personnages et l'auteur fait véritablement de la psychologie. Le roman semble être un genre facile et commercial, mais c'est seulement au 19ème siècle, avec les écrivains romantiques tels que Victor Hugo, que le roman deviendra un genre majeur. Jusqu'à cette époque, être un « grand auteur « signifiait écrire des pièces de théâtre. Dans son ouvrage de référence du travail critique en sociocritique, Lucien Goldmann montre que la force de la littérature est le fait qu'il y ait quelques grands auteurs qui parviennent à comprendre les enjeux d'une société à une époque donnée. Parmi ces grands auteurs, on retrouve Racine. Au 18ème siècle, la France sort d'une période importante de guerres de religion, religion et pouvoir sont confondus et le pouvoir autoritaire en place contrôle et censure la littérature. Racine comprend bien ces tensions/conflits et ils les transposent dans ces tragédies en les mettant en scène à une époque qui se déroule pendant l'Antiquité. Les grands écrivains sont révélateurs des grandes tendances de leur époque et imaginent des discours qui traversent le temps, leur donnant ainsi une force extraordinaire. L'historien russe Mikhaïl Bakhtine détermine qu'il existe des auteurs relativement « univox « (comme Racine) et d'autres auteurs plus « charnières « (comme Rabelais). Rabelais est un auteur du 16ème siècle. Il écrit des histoires avec des personnages qu'il n'a pas inventés, mais dont il s'inspire et il les réinvente (il n'y avait pas de propriété intellectuelle à l'époque). Rabelais s'inscrit dans une tradition populaire et s'attache à 2 choses : 1°) Montrer que la société change d'époque et passe du Moyen-Âge à la Renaissance. Ses oeuvres « Pantagruel « et « Gargantua « sont des parodies de l'épopée. Il remet en cause l'épopée et s'inscrit dans une tradition populaire. 2°) Mettre en scène des principes contradictoires car la société de l'époque est en tension, le monde est en train de changer, on est à un moment charnière de l'histoire. Plusieurs forces sont en tension et Rabelais va faire en sorte d'exposer plusieurs idéologies différentes et de faire entendre plusieurs voix. Bakhtine affirme qu'il y a chez Rabelais quelque chose qui relève du carnavalesque. Le carnaval est un rituel annuel important qui suit une logique de renversement qui peut faire l'objet d'un parallélisme avec le système en place aux 16ème et 17ème siècles : il n'y a pas de parti politique et la société est duale, on y retrouve ceux qui ont le pouvoir et ceux qui travaillent pour ceux qui ont le pouvoir. Il y a donc des clivages énormes et le risque de révolte est permanent. Le carnaval est une forme de d&eacu...

« C’est intéressant de voir le poids que le livre a dans notre société.

Le livre a un impact social inversement proportionnel à son poids économique. Des positions contraires… Il y a des positions contraires par rapport aux livres telles que « Comme un Roman » de Daniel Pennac où l’auteur parle des droits imprescriptibles du lecteur en 10 points : 1.

Le droit de ne pas lire 2.

Le droit de sauter des pages 3.

Le droit de ne pas finir un livre 4.

Le droit de relire 5.

Le droit de lire n’importe quoi 6.

Le droit au bovarysme 7.

Le droit de lire n’importe où 8.

Le droit de grappiller 9.

Le droit de lire à voix haute 10.

Le droit de se taire Qu’est ce le bovarysme ? Ce terme vient du fameux livre de Gustave Flaubert « Madame Bovary » dont le personnage principal trompe son ennui par la lecture pour oublier la médiocrité de sa propre vie.

Flaubert n’accuse pas Mme Bovary. Le bovarysme c’est donc préférer la littérature à la vie. L’idée de Pennac c’est qu’ il faut se laisser emporter par les livres .

L’homme lit parce qu’il se sait seul, c’est une compagnie qui prend la place d’aucune autre mais qu’aucune autre ne saurait remplacer. Il y a dans les livres quelque chose qui nous dépasse et dans lequel on se retrouve. C’est également la position d’une autre écrivain qui s’appelle Danièle Sallenave qui a écrit un essai nommé le « don des morts » dont l’idée est de dire qu’il y a quelque chose de très particulier et propre à la littérature qui est un don que les générations passées font aux générations futures.

Dans le livre, il y a des expériences humaines qui sont transmises et qui ne peuvent être transmises que par un langage raconté et qui fait que la littérature est un manque qui apporte une valeur à la vie ordinaire (elle va un peu loin) et que les gens qui ne lisent pas ne peuvent prétendre atteindre. Pierre Bourdieu est un des premiers à avoir tenu une position complètement différente par rapport à cela en clamant que bien que la littérature est un objet particulier c’est un objet social comme les autres qu’on peut analyser au même titre qu’un autre élément de la société.

On peut faire une sociologie de la littérature, ce qu’il va d’ailleurs faire dans « les règles de l’art » où il fait l’analyse de la place de la littérature dans la société. Dans sa préface, Bourdieu contredit totalement la position de Danièle Sallenave dans un contexte non pas de discussion et d’échange mais dans une « guerre » des idées. Le livre est un objet à un poids symbolique. Si on prend les portraits officiels des présidents français, sur les 24 présidents français dont on dispose d’un portrait officiel, la moitié d’entre eux ont soit un livre dans la maison soit posent devant une bibliothèque.

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