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Lorenzaccio

Publié le 24/01/2013

Extrait du document

Maurice Allem, Alfred de Musset, Grenoble, Arthaud, 1948 Jean Louis Backès, José-Luis Diaz (dir.), Alfred de Musset : poésies, « faire une perle d'une larme « : actes du colloque d'agrégation du 2 décembre 1995, Paris, SEDES, 1995 Laurent Bourdelas, L'ivresse des rimes, Paris, Stock, 2011 Marielle Caors, George Sand, Alfred de Musset et Venise, Paris, Royer, 1995 John Charpentier, Alfred de Musset, Paris, Tallandier, 1938 Ariane Charton, Alfred de Musset, Paris, Gallimard, 2010 Maurice Donnay, Alfred de Musset, Paris, Hachette, 1914 Gilbert Ganne, Alfred de Musset : sa jeunesse et la nôtre, Paris, Perrin, 1970 Pierre Gastinel, Le romantisme d'Alfred de Musset, Paris, Hachette, 1933 Emmanuel Godo, Une grâce obstinée, Musset, éditions du Cerf, 2010 Henry Guillemin, La liaison Musset-Sand, Paris, Gallimard, 1972 Marthe de Hédouville, Alfred de Musset, Paris, Apostolat de la Presse, 1958 Émile Henriot, Alfred de Musset, Paris, Hachette, 1928 Léon Lafoscade, Le théâtre d'Alfred de Musset, Paris, Hachette, 1901 Sylvain Ledda, Alfred de Musset : les fantaisies d'un enfant du siècle, Paris, Gallimard, 2010 Henri Lefebvre, Alfred de Musset dramaturge, Paris, L'Arche, 1955 Frank Lestringant, Musset, Paris, Flammarion, 1998 Paul Mariéton, Une histoire d'amour : George Sand et A. de Musset, Paris, Havard, 1897 Charles Maurras, Les amants de Venise : George Sand et Musset, Paris, Fontemoing, 1902 Eugène de Mirecourt, Alfred de Musset, Paris, Roret, 1854 Paul de Musset, Biographie d'Alfred de Musset, Paris, Lemerre, 1877 [tome XI de l'édition des oeuvres complètes publiée par Lemerre] Henry Stanley Schwarz, Alfred de Musset : dramatiste, conteur, poète, New York, Prentice-Hall, 1931 HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Soupault" \o "Philippe Soupault" Philippe Soupault, Alfred de Musset, Paris, Seghers, 1957 Jean-Marie Thomasseau, Alfred de Musset, Lorenzaccio, Paris, Presses Universitaires de France, 1986 Maurice Toesca, Alfred de Musset ou l'amour de la mort, Paris, Hachette, 1970 Philippe Van Tieghem, Musset, Paris, Hatier, 1969 Alfred de Musset est un poète et un dramaturge français de la période romantique, né le 11 décembre 1810 à Paris, ville où il est décédé le 2 mai 1857. Lycéen brillant, Alfred de Musset abandonne vite ses études supérieures pour se consacrer à la littérature à partir de 1828-1829. Dès l'âge de 17 ans, il fréquente les poètes du Cénacle de Charles Nodier et publie en 1829, à 19 ans, Contes d'Espagne et d'Italie, son premier recueil poétique qui révèle son talent brillant. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché «. En décembre 1830, sa première comédie La Nuit Vénitienne est un échec accablant qui le fait renoncer à la scène pour longtemps. Il choisit dès lors de publier des pièces dans La Revue des Deux Mondes, avant de les regrouper en volume sous le titre explicite Un Spectacle dans un fauteuil. Il publie ainsi À quoi rêvent les jeunes filles ? en 1832, puis Les Caprices de Marianne en 1833. Il écrit ensuite en 1833 son chef-d'oeuvre, le drame romantique, Lorenzaccio, publié en 1834 (la pièce ne sera représentée qu'en 1896) après sa liaison houleuse avec George Sand et donne la même année Fantasio et On ne badine pas avec l'amour. Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme la Nuit de mai et la Nuit de décembre en 1835, puis La Nuit d'août (1836) La Nuit d'octobre (1837), et un roman autobiographique La Confession d'un enfant du siècle en 1836. Dépressif et alcoolique, au-delà de 30 ans, il écrit de moins en moins : on peut cependant relever les poèmes Tristesse, Une soirée perdue (1840), Souvenir en 1845 et diverses nouvelles (Histoire d'un merle blanc, 1842). Il reçoit la Légion d'honneur en 1845 et est élu à l'Académie française en 1852. Il écrit des pièces de commande pour Napoléon III. Sa santé se dégrade gravement avec son alcoolisme et Alfred de Musset meurt à 46 ans, le 2 mai 1857 : il est enterré dans la discrétion au Cimetière du Père-Lachaise, après des obsèques en l'église Saint-Roch. Ludovic Vitet, au nom de l'Académie française prononce l'éloge funèbre. Redécouvert au xxe siècle, Alfred de Musset est désormais considéré comme un des grands écrivains romantiques français, dont le théâtre et la poésie lyrique montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la dé...

« la scène pour longtemps.

Il choisit dès lors de publier des pièces dans La Revue des Deux Mondes , avant de les regrouper en volume sous le titre explicite Un Spectacle dans un fauteuil .

Il publie ainsi À quoi rêvent les jeunes filles ? en 1832, puis Les Caprices de Marianne en 1833.

Il écrit ensuite en 1833 son chef-d'œuvre , le drame romantique , Lorenzaccio , publié en 1834 (la pièce ne sera représentée qu'en 1896) après sa liaison houleuse avec George Sand et donne la même année Fantasio et On ne badine pas avec l'amour .

Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme la Nuit de mai et la Nuit de décembre en 1835, puis La Nuit d'août (1836) La Nuit d'octobre (1837), et un roman autobiographique La Confession d'un enfant du siècle en 1836. Dépressif et alcoolique, au-delà de 30 ans, il écrit de moins en moins : on peut cependant relever les poèmes Tristesse , Une soirée perdue (1840), Souvenir en 1845 et diverses nouvelles ( Histoire d'un merle blanc , 1842).

Il reçoit la Légion d'honneur en 1845 et est élu à l' Académie française en 1852.

Il écrit des pièces de commande pour Napoléon III.

Sa santé se dégrade gravement avec son alcoolisme et Alfred de Musset meurt à 46 ans, le 2 mai 1857 : il est enterré dans la discrétion au Cimetière du Père-Lachaise , après des obsèques en l' église Saint-Roch .

Ludovic Vitet , au nom de l'Académie française prononce l'éloge funèbre. Redécouvert au XX e siècle, Alfred de Musset est désormais considéré comme un des grands écrivains romantiques français, dont le théâtre et la poésie lyrique montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la débauche, une exaltation de l'amour et une expression sincère de la douleur.

Sincérité qui renvoie à sa vie tumultueuse qu'illustre emblématiquement sa relation avec George Sand . Acte 1 Scène 1 Une nuit, dans un jardin de Florence, Lorenzo et Giomo accompagnent Alexandre de Médicis .

Ils attendent une belle jeune fille que le duc a payée pour aller avec lui au bal de Nasi.

La jeune fille est attendue, son frère Maffio la voit traverser le jardin.

Vu qu’elle ne vient pas, il la poursuit et tombe nez à nez avec le duc, Giomo et Lorenzo.

Il leur demande ce que cela signifie.

Il les menace de rapporter les faits au duc puis les attaque à l'épée.

Rapidement battu, il apprend qu'il s'agit du duc en personne, il s’en vont tous les deux. Acte 1 Scène 2 A travers les conversations des passants (le marchand, l'orfèvre, le couple de bourgeois, les écoliers...), on apprend qu'au petit matin, il y a beaucoup de monde au bal masqué des noces de la fille des Nasi .

Les grands seigneurs et le duc y sont présents.

Ils sont très bien habillés: costumes superbes, débauche, fêtes monumentales et alcoolisées,...

Le peuple n’est pas comme eux : pauvreté, travail, révoltes contre les seigneurs et contre l'emprise allemande.

En fin de scène, Julien Salviati harcèle Louise Strozzi, qui décline son offre. Acte 1 Scène 3 Le marquis de Cibo dit au revoir à sa femme, son fils et son frère : il part à Massa.

La marquise est triste de ce départ, tellement qu’elle est amoureuse.

Le marquis parti, elle se retrouve avec le cardinal de Cibo.

Ils discutent du bal des Nasi et très vite, la marquise décrit le duc comme un tyran provocateur.

Lorsqu'elle sort, le cardinal appelle le page (Agnolo) de celle-ci.

Il lui tend une lettre (du duc) destinée à la marquise.

On apprend que le duc lui fait la cour depuis deux mois et qu'elle est partie le rejoindre, malgré ce qu’elle a dit sur lui tout à l’heure. Acte 1 Scène 4 Le duc est dans une des cours de son palais, il est rejoint par le cardinal Valori et Sire Maurice.

Ceux-ci font part au duc des nouvelles du pape.

Ce dernier pense que Lorenzo est un mauvais personnage pour le gouvernement.

Il n'a qu'un seul rôle : débaucher le duc, mais celui-ci n'adhère pas à cette idée.

Lorsque Lorenzo les rejoint, Sire Maurice le provoque et le duc amène les deux hommes à se battre à l'épée.

Lorenzo, apeuré et mauvais soldat prend peur et fait un malaise.

Le duc intervient alors en expliquant qu'il a poussé le vice pour leur montrer que Lorenzo n'est pas un mauvais garçon.. »

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