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MONTAIGNE : 1588-1592 (vie et oeuvre)

Publié le 05/01/2012

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montaigne

1) 1533-1570 : l'éducation originale et la carrière Juridique :

Un père lettré, aux gotlts humanistes, mais aussi nonchalant que le sera son fils, l'éveille au son du luth, car un réveil brutal est inutilement pénible,et lui fait apprendre le latin dès le berceau et sans effort, grâce à un précepteur qui lui parle uniquement latin, puis le français, sans compter le gascon etl'italien . . De 1539 à 1546, il est mis en pension au collège de Guyenne à Bordeaux, puis, comme ses oncles, il fait son droit. En 155~. il est conseiller à la Cour des Aides de Périgueux, et, à partir de 1557, au Parlement de Bordeaux. Juge sans conviction, il s'échappe dès qu'ille peut et va respirer l'air de la Cour ; c'est pendant cette période qu'il rencontre la grande amitié de sa vie : Etienne de La Boétie, qu'il perdra en 1563. Deux ans plus tard, il fait un mariage d'argent avec Françoise de Chassaigne, perd son père en 1558. Héritier du nom et de la terre de Montaigne, Il vend·sa charge de conseiller au Parlement.

- Son stoïcisme

- Son scepticisme

- Son art de vivre

- Sa pédagogie

- Son style

- Son influence

montaigne

« sans méchanceté se dérouler la comédie humaine chez les autres, et ...

en lui-même, d'où sa sincérité, sa bonhomie, son absence de pose.

d) Esprit curieux de tout, ouvert à toutes les leçons, souple sans le moindre entêtement ; il ignore la raideur, le dogmatisme, le pédan­ tisme, la pruderie .

Conservateur par prudence en politique, il est • fi­ déiste • en religion : • ConfessoM ingénument que Dieu •eul noU6 l'a dit, et la foi; car leçon n'est-ce pa.

de nature et de notre NÏion.

• Il se débarrasse ainsi à bon compte des angoisses religieuses, et peut con­ sacrer toute son attention àla vie terrestre, qu'il aime passionnément .

C'est un des plus purs représentants de la bourgeoisie enrichie et fratc.hement anoblie.

Le premier de la famille, il renonce au nom roturier d'Eyquem.

SA VIE: ~ Michel Eyquem naft le !8 février 1533 au chlteau de Montalpe (Périgord) que son bisateul, enrichi dans le commerce, avait acheté pour s'anoblir.

1) 1533-1570 : l'éducation originale eila carrière Juridique : Un père lettré, aux gotlts humanistes, mais aussi nonchalant que le sera son flls, l'éveille au son du luth, car un réveil brutal est inutile­ ment pénible,etlui fait apprendre le latin dès le berceau et sans effort, grâce à un précepteur qui lui parle uniquement latin, puis le français, sans compter le gascon etl'italien ..

De 1539 à 151.6, il est mis en pension au collège de Guyenne à Bordeaux, puis, comme ses oncles, il fait son droit.

En 155~.

il est conseiller à la Cour des Aides de Périgueux, et, à partir de 1557, au Parlement de Bordeaux.

Juge sans conviction, U s'échappe dès qu'ille peut et va respirer l'air de la Cour ; c'est pendant cette période qu'il rencontre la grande amitié de sa vie : :dtienne de La Boétie, qu'il perdra en 1.563.

Deux ans plus tard, il fait un mariage d'argent avec Françoise de Chassaigne, perd son père en i558.

Héri­ tier du nom et de la terre de Montaigne, Il vend · sa charge de conselller au Parlement.

Z) 1570-1581 : La vie Indépendante : Dès lors, il vit soit à la Cour {1570 -1571), séjour pendant lequel U fait pieusement publier les opuscules de La Boétie, soit retiré dans son château, dans sa • Librairie •, (sa bibliothèque), occupé à des lectures et à la première édition des B••ai6 (1580).

Bous prétexte de se guérir de sa maladie de reins aux eaux de Plombières, Il entreprend un long circuit qui lui fait vtsiter toute l'Allemapedu Sud, le Tyrol, l'Italie; Il fait un séjour de cinq mois à Rome.. »

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