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la morale

Publié le 06/11/2012

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morale
Rapport entre les notions de nécessité et de possibilité[modifier] Article détaillé : Logique modale. La nécessité s'oppose à la contingence, possibilité qu'une chose arrive ou n'arrive pas. Ces deux notions ne sont néanmoins pas contradictoire, on a que : tout ce qui est nécessaire est possible; mais tout ce qui est possible n'est pas forcément nécessaire. Mythologie grecque[modifier] Nécessité, en Grec Ananké, est mère des trois Moires[1] : Clotho présidait au passé (de klôthousa, filer), Lachésis au présent (de léxis, prédestination), Atropos au futur (d'atrepta, irréversible). Domaine philosophique et logique[modifier] Approche philosophique : La nécessité désigne l'impossibilité pour une chose d'être autre qu'elle n'est. Une autre formulation serait "Ce qui ne peut pas ne pas être", cette dernière permet d'éviter l'introduction du terme "impossibilité". Comme telle la nécessité s'oppose à la contingence. Elle appartient principalement à deux ordres diffé...
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« Chez Leibniz, le principe de raison suffisante est ce qui tente de rendre compte du passage du possible, logiquement parlant (c'est-à-dire de ce qui est non-contradictoire), à l'existence.

Ainsi, la catégorie de la nécessité s'oppose à la contingence; celle du possible contraste avec celle de l'existence. Approche de la logique : La nécessité est le caractère de ce qui est universellement vrai. Enjeux de la Contingence par rapport à la nécessité[modifier] La contingence, possibilité qu'une chose arrive ou n'arrive pas, s'oppose à la nécessité, est nécessaire ce qui ne peut pas ne pas être. Exemple : le système solaire est là mais il aurait pu ne pas exister.

La faune et la flore sont apparues sur la Terre mais elles auraient pu ne jamais apparaître si les conditions globales avaient été un peu différentes. Domaine philosophique et logique[modifier] Approche philosophique : Pour Leibniz la contingence est relative, c'est-à-dire qu'elle constitue par le principe de raison suffisante, les états de l'univers, et par la même explique la nature de Dieu (principe du meilleur). Kant distingue les énoncés nécessaires, qu'il appelle a priori des énoncés contingents, qu'il appelle a posteriori.

Il considère de manière paradigmal que l'énoncé "2+2=4" est un énoncé synthétique a priori, c'est-à-dire qui est nécessaire et qui accroît la connaissance (aspect synthétique, qu'il oppose à analytique).

Il tentera d'établir qu'il existe des énoncés de même type, non en mathématiques mais en philosophie. Pour Sartre la contingence est absolue, c'est-à-dire que l'être ne peut être dérivé du possible ni ramené au nécessaire.

L'homme et sa conscience est absolument contingent sans raison ni fondement. Approche de la logique : En logique modale, la contingence est la négation de la nécessité.

Une proposition est contingente si elle n'est pas nécessaire (elle pourrait être fausse).. »

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