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Le mot "volontiers" de l'oeuvre de DESCARTES

Publié le 10/08/2010

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descartes

Règles pour la direction de l'esprit, Règle quatrième.

 Mais je croirais volontiers que les écrivains eux-mêmes en ont, par une ruse coupable, supprimé la connaissance ;

  MEDITATIONS METAPHYSIQUES, REPONSES DE L'AUTEUR AUX QUATRIEMES OBJECTIONS, REPONSE A L'AUTRE PARTIE, REPONSE AUX CHOSES QUI PEUVENT ARRETER LES THEOLOGIENS.

 Mais j'appelle de leur sentence à celle des bons et orthodoxes théologiens, au jugement et à la censure desquels je me soumettrai toujours très volontiers.

  MEDITATIONS METAPHYSIQUES, RÉPONSES AUX CINQUIEMES OBJECTIONS, DES CHOSES QUI ONT ÉTÉ OBJECTÉES CONTRE LA QUATRIEME MÉDITATION.

 mais que la chose qui pense et celle qui est étendue soient une même chose, certainement vous ne le concevez point, mais seulement vous le voulez croire, parce que vous l'avez déjà cru auparavant, et que vous ne vous départez pas facilement de vos opinions, ni ne quittez pas volontiers vos préjugés.

  Correspondance, année 1629, Au R. P. MERSENNE, 20 novembre 1629.

 Si cela était trouvé je ne doute point que cette langue n'eût bientôt cours parmi le monde, car il y a force gens qui emploieraient volontiers cinq ou six jours de temps pour se pouvoir faire entendre par tous les hommes.

  Correspondance, année 1630, AU R. P. MERSENNE, 25 février 1630.

 Ce n'est pas toutefois que je n'y pensasse très volontiers, si j'espérais en pouvoir venir à bout ;

 Au reste, ceci m'est échappé, et je n'écris pas volontiers ces choses, parce qu'elles semblent paradoxes, et je n'en saurais mettre les raisons dans une lettre, encore que je les pense savoir par démonstration.

  Correspondance, année 1634, Au R. P. MERSENNE, 10 janvier 1634. (Les éditions contemporaines datent cette lettre d'avril 1634.).

 J'apprendrais volontiers l'histoire des longitudes de Monsieur Morin, et s'il est capable de mettre l'astrologie en quelque estime parmi les gens de cour.

  Correspondance, année 1637, A UN REVEREND PERE JESUITE, 3 octobre 1637.

 Je souhaiterais seulement, outre cela, que vous voulussiez prendre la peine d'y joindre les vôtres, car je vous assure qu'il n'y en aura point dont l'autorité puisse plus en mon endroit, ni auxquelles je défère plus volontiers.

  Correspondance, année 1638, RÉPONSE DE Monsieur DESCARTES A Monsieur MORIN, 13 juillet 1638.

Vous commencez par mes suppositions, et vous dites que l'apparence des mouvements célestes se tire aussi certainement de la supposition de la stabilité de la terre, que de celle de sa mobilité, ce que j'accorde très volontiers ;

 “   J'attaquerais volontiers, etc.

  Correspondance, année 1638, AU R. P. MERSENNE, 24 février 1638. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 1er mars 1638).

 car je ne perds pas volontiers le temps à les lire, et je n'ai encore su jeter les yeux sur celui-ci.

  Correspondance, année 1638, A Monsieur *** (POLLOT), 26 février 1638. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 12 février 1638).

Ayant vu plusieurs marques de votre bienveillance, tant dans la lettre que Monsieur R a reçue ici de votre part, que dans une autre que vous m'avez fait l'honneur de m'écrire l'été dernier, avant le siège de Bréda je pense être obligé de vous en remercier par celle-ci, et de vous dire que j'estime si fort les personnes de votre mérite, qu'il n'y a rien en mon pouvoir que je ne fasse très volontiers, pour tâcher à me rendre digne de votre affection.

  Correspondance, année 1638, AU R. P. MERSENNE, 15 décembre 1638.

Je vous décrirais très volontiers les proportions que vous demandez pour faire un crochet ou romaine, qui serve à peser deux cents livres, car il ne faut point à cela grande science ;

  Correspondance, année 1640, A Monsieur REGIUS, 22 mai 1640. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 24 mai.).

 Je vous accorde volontiers tout cela, et je suis pleinement convaincu que nous n'avons point d'autre idée de Dieu, que celle qui se forme en nous de cette manière ;

  Correspondance, année 1640, Au R. P. MERSENNE, 30 juillet 1640.

 Pour ce qu'il dit, ut causa ad causam, ita effectus ad effectum, je lui accorde très volontiers, mais cela n'explique rien ;

  Correspondance, année 1640, Au R. P. MERSENNE, 11 novembre 1640.

Je répondrais très volontiers à ce que vous demandez touchant la flamme d'une chandelle, et choses semblables ;

  Correspondance, année 1640, AU R. P. MERSENNE, 31 décembre 1640. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 24 décembre 1640 ( ?)).

 Si je puis quelqu'autre chose pour celui qui vous avait proposé ceci, je vous prie de l'assurer que je ferai très volontiers tout mon possible pour le satisfaire.

  Correspondance, année 1641, A Monsieur REGIUS, 11 mai 1641.

 Je lirai volontiers tout ce que vous m'enverrez, et je vous écrirai tout ce que j'en pense avec ma liberté ordinaire.

  Correspondance, année 1641, AU R. P. MERSENNE, Mon Révérend Père,.

 Au reste, j'ai lu votre Hyperaspistes, auquel je répondrai très volontiers ;

  Correspondance, année 1642, A MONSIEUR *** (Monsieur de Zuytlichem), 8 octobre 1642. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 10 octobre 1642.).

 et j'accorde volontiers aux autres la liberté que je leur demande pour moi, qui est de pouvoir écrire ce que l'on croit être le plus vrai, sans se soucier s'il est conforme ou différent de quelques autres.

  Correspondance, année 1645, A Monsieur REGIUS, 15 juillet 1645.

 présentement je souscris volontiers au sentiment de ceux qui souhaiteraient que vous vous continssiez dans les bornes de la médecine ;

  Correspondance, année 1648, REPONSE DE Monsieur DESCARTES, 16 juillet 1648.

Mais toutes ces choses se peuvent plus facilement discuter dans une entrevue, à laquelle je m'offre très volontiers, n'ayant que de l'amour et du respect pour tous ceux que je vois disposés à suivre et embrasser la vérité.

descartes

« car je ne perds pas volontiers le temps à les lire, et je n'ai encore su jeter les yeux sur celui-ci. Correspondance, année 1638, A Monsieur *** (POLLOT), 26 février 1638. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 12 février 1638). Ayant vu plusieurs marques de votre bienveillance, tant dans la lettre que Monsieur R a reçue ici de votre part, que dans uneautre que vous m'avez fait l'honneur de m'écrire l'été dernier, avant le siège de Bréda je pense être obligé de vous en remercierpar celle-ci, et de vous dire que j'estime si fort les personnes de votre mérite, qu'il n'y a rien en mon pouvoir que je ne fasse trèsvolontiers, pour tâcher à me rendre digne de votre affection. Correspondance, année 1638, AU R.

P.

MERSENNE, 15 décembre 1638. Je vous décrirais très volontiers les proportions que vous demandez pour faire un crochet ou romaine, qui serve à peser deuxcents livres, car il ne faut point à cela grande science ; Correspondance, année 1640, A Monsieur REGIUS, 22 mai 1640.

(Les éditions contemporaines datent cette lettre du 24 mai.). Je vous accorde volontiers tout cela, et je suis pleinement convaincu que nous n'avons point d'autre idée de Dieu, que celle quise forme en nous de cette manière ; Correspondance, année 1640, Au R.

P.

MERSENNE, 30 juillet 1640. Pour ce qu'il dit, ut causa ad causam, ita effectus ad effectum, je lui accorde très volontiers, mais cela n'explique rien ; Correspondance, année 1640, Au R.

P.

MERSENNE, 11 novembre 1640. Je répondrais très volontiers à ce que vous demandez touchant la flamme d'une chandelle, et choses semblables ; Correspondance, année 1640, AU R.

P.

MERSENNE, 31 décembre 1640.

(Les éditions contemporaines datent cette lettre du 24 décembre 1640 ( ?)). Si je puis quelqu'autre chose pour celui qui vous avait proposé ceci, je vous prie de l'assurer que je ferai très volontiers tout monpossible pour le satisfaire. Correspondance, année 1641, A Monsieur REGIUS, 11 mai 1641. Je lirai volontiers tout ce que vous m'enverrez, et je vous écrirai tout ce que j'en pense avec ma liberté ordinaire. Correspondance, année 1641, AU R.

P.

MERSENNE, Mon Révérend Père,. Au reste, j'ai lu votre Hyperaspistes, auquel je répondrai très volontiers ; Correspondance, année 1642, A MONSIEUR *** (Monsieur de Zuytlichem), 8 octobre 1642.

(Les éditions contemporaines datent cette lettre du 10 octobre 1642.). et j'accorde volontiers aux autres la liberté que je leur demande pour moi, qui est de pouvoir écrire ce que l'on croit être le plusvrai, sans se soucier s'il est conforme ou différent de quelques autres. Correspondance, année 1645, A Monsieur REGIUS, 15 juillet 1645. présentement je souscris volontiers au sentiment de ceux qui souhaiteraient que vous vous continssiez dans les bornes de lamédecine ; Correspondance, année 1648, REPONSE DE Monsieur DESCARTES, 16 juillet 1648. Mais toutes ces choses se peuvent plus facilement discuter dans une entrevue, à laquelle je m'offre très volontiers, n'ayant que de. »

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