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« LA NATURE SE LAISSE-T-ELLE AISEMENT PENSER ? »

Publié le 01/05/2011

Extrait du document

Animaux + H appartiennent à la N.

Les sctfqs, s’ils st physiciens, astronomes, biologistes, étudient les phénomènes naturels. Pr ce qui est de la N = 2 approches Celle qui correspond au fait de s’y rapporter ds sa vie quotidienne et le fait de s’y rapporter qt à l’étude. Il n’est pas évident de voir le double-rapport possible : nécessairement un savoir. « La N se laisse-t-elle aisément penser ? « Est-ce que la N se manifeste de tel sens que celui qui pense, la considère aisément ? ou bien la N ne se laisse-t-elle aisément penser non pas ds la mesure où elle se refuserait à la réflexion ms qu’elle est plutôt l’objet de recherche, la N n’est-elle pas au contraire ce qui ressemble à sa description / la raison ms n’est-ce-pas au contraire ds un telle perspective une illusion, la physq, la N se laisse-t-elle aisément penser, càd est-elle en sa manifestation la condition de possibilité de tte pensée ?

« la Lune et le Soleil ? A travers l'alternance du jour et de la nuit, je saisis vaguement qu'il y a une relation entre laTerre, la Lune et le Soleil.

Ce n'est qu'à l'occasion d'une éclipse de Lune ou de Soleil, que la N ne se retire pas etc'est en ce type d'occasion qu'il est possible de penser et de compd, contrairement aux sensations que c'est laTerre qui tourne autour du Soleil et que la Lune est un satellite de la Terre.

Aristarque de Samos est le premier àavoir compris jusqu'à énoncer la théorie de l'héliocentrisme.

S'il a fallu tant de siècles pr que chacun comprenne ceque cet astronome avait théorisé, c'est bien parce que la N ne se laisse pas aisément penser donc ns ne voulonspas dire que la N à la volonté ou non de se présenter de telle sorte que l'humain la pense ms ns voulons dire queseul la N, si elle se manifeste ds le non-retrait, rd possible sa connaissance.

La N se laisse / csqt difficilementpenser. Toutefois n'est-il pas étrange de considérer que la N pose les conditions de sa propre étude.

En effet, penser qqchconsiste en l'action d'un sujet qui considère en jugeant son objet de pensée.

Si penser est l'action d'un « je pense »et que c'est ds l'acte mm du penser que l'objet est posé vis-à-vis du sujet, il ft inverser le raisonnment.

Ce n'estpas l'objet qui pose les conditions de sa pensée ms c'est le sujet qui en pensant à un objet pose les questions deson analyse.

Dès lors, il est impossible que la N ne se laisse pas aisément penser, pas plus qu'il serait impossible ducontraire car il n'en revient pas au pv de la N de penser aisément.

Cela veut dire ds ce cas que la défense quiconvient à la N est la totalité de ce qui est ou encore la totalité des phénomènes.

En tant que totalité desphénomènes, elle est objet d'étude.

La raison qui s'applique à elle ne l'observe pas comme étant son centre, cen'est pas le sujet qui tourne autour de l'objet.

Si ns mettons en prtq ce que Kant appelle la révolutioncopernicienne, le sujet est au centre et c'est l'objet qui gravite autour de lui.

Dès lors, la N comme objet, posé enface d'un sujet, càd objectivée se laisse aisément penser non pas parce qu'elle mm se place à la disposition de maisparce que la conscience du sujet l'objective comme ce qui est à décrire et à juger ds les conditions d'expérience ;autant dit lorsque Kant ds la seconde préface de La Critique de la raison pure écrit que désormais c'est la N qui estle pensé, càd, le légiféré, c'est parce que c'est la raison elle-même qui détermine les lois de la N et nn pas la N quitient en laisse la raison.

Le désaccord entre Kant et Héraclite ne tient pas en ce que pr l'Ancien, la N semanisfesterait de telle sorte qu'elle soit pensée sans difficulté ms de ce que le Moderne considérerait que c'est laraison qui pense et fixe les conditions de la pensée.

En fait, la différence tient en ce que pr l'Ancien, il n'y a ni lesujet, ni objet car le plus svt, la N ne se manifeste pas de manière intelligible.

Or pr Kant, les conditions de laconnaissance st les conditions de possibilité de l'expérience.

Pr que la N soit pensable, il ft que le particulierphénomène apparaisse pr ê subsumé sans un concept.

Ainsi la question « la N se laisse-t-elle aisément pensée ? »devient « Est-ce que les conditions de l'expérience des objets apparaissants st tq je puis les penser ? ».

Or commec'est la raison qui, en fct° de ses facultés, fixent les limites de l'expérience, la N ne peut que donner lieu à 1 penséedéterminante.Il n'y a donc pas de difficulté à saisir les manifs de la N pr Kant, la N n'aime pas se cacher.

1 telleformulation est impossible.

Par contre, la N comme objet est pensée ds les limites de l'espace, càd qu'il ft que lamatière du divers sensible soit liée / les formes pures de l'intuition sensible que st l'espac et le tps pr quel'entendement puisse se représenter / 1 concept : l'intuition sensible.

La N n'a pas le pv de se laisser penser parceque la pensée, c'est le pv de juger que cela relève du travail de l'entendement.

Si ns considérons que ts les corps stpesants ; c'est parce que ns sommes capables ds des conditions de l'expérience de poser l'objet du corps, de lejuger ds sa totalité et de faire apparaître de manière synthétique a priori, s'ajoute à tt concept de corps.

Ds ce casprécis, ce n'est pas le corps qui m'apparaît pesant ms c'est l'entendement qui attribue la pesanteur au corps.

Ceque Kant veut dire / révolution copernicienne, c'est que ds la pensée qui se fixe finalité de la connaissance, il s'agitde renverser les conditions du rapport mm à la pensée.

Dc si le philosophe moderne s'est acheminée vers la science,c'est parce qu'elle mm a bénéficié d'une telle révolution.

Et si la métaphysique veut à son tour devenir sûre, elle doitaccepter que tt ne soit pas connaissable et que seuls les phénomènes le soient, or la N n'est rien d'autre que latotalité des phénomènes.

Dc la N se laisse penser au sens où l'entendement l'objective comme celui qui lui fait faceet qui est déterminé / les lois de la raison. Néanmoins, suffit-il comme ns l'avons fait de renverser le rapport entre objet et sujet pr faire disparaître l'étrangetéde la question.

En effet, si ns suivons Kant, c'est le sujet humain qui met ds la N ce qu'il s'y trouve.

Comment nepas voir als ds un tel processus non plus l'étude de la N elle mm ms le voir als ds un tel processus non plus l'étude laN.

C'est bien la critique d'Hegel ou de Husserl fera de cette vision des choses : ce qui est à penser, c'est la N et nnpas l'esprit humian.

Il ft dc se débarasser des obstacles de la représentation pr ne pas que en étudiant les objets,ce soit le sujet qui s'y reflète.

Ce qui signifie que la R° copernicienne ne peut ê la solution à notre pb.

Dès lors, nsne savons plus si la N se laisse ou pas aisément pensée.

Reprenons donc la question : « La N se laisse-t-elleaisément penser ? » Ici, ns conserverons la définition du temre de N.

Ns conserverons ds le « laisser », se disposerde telle sorte que, en revanche, ns considèrerons que « penser » désrms veut dire « laisser ê » ou encore « laisseradvenir à la présence ».

Enfin l'advb « aisément » ne signifiera plus « sans difficulté » mais désrms exclusivement «sans obstacles ».

Dès lors le sens de la question s'énonce ainsi, le phénomène de la N comme telle advient-il à laprésence ds la mesure où l'ê humain a su, lui, se disposer de telle manière qu'il puisse voir apparaître le phénomèneNature, si ns y regardons de plus près : l'énonciation mm du sens de la question est circulaire.

Ms il ne s'agit pasd'un cercle vicieux, il s'agit tout au contraire d'un cercle herméneutique au sens de la phénoménologie.

Cela signifieque pr comprendre qqch, il ft déjà av compris / avance.

/ ce que veut dire Nietzsche lorsqu'il déclame « ns nepouvons lire qu'un livre que ns avons déjà lu.

» Appliquons désrms cette méthode herméneutique au sujet « la N selaisse-t-elle aisément penser ? La N apparaît-elle ds ses manifestations comme phénomène pr le penser ? Et est-ceque la penser, c'est recueillir l'advenir d'un tel phénomène ? Autrement dt, il s'agit d'un double mvt.

D'un côté, la Nse dévoile, se manifeste, se rd visible.

Ms disons als, ce st des phénomènes naturels.

Lorsque les failles d'1 arbretombant à l'automne et que le vent les emporte.

Le phénomène Nature ait signe que c'est désrms le tps venu pr quela N meure et se cache sous terre.

Cpdt, d'un autre côté, l'ê humain qui désire pense r la N n'est pas celui qui croît. »

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