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Le parti pris des choses de Francis Ponge

Publié le 09/09/2012

Extrait du document

ponge

 

 

 

 

Première partie:

 

   Né à Montpellier en 1899, Francis Ponge est issu d’une famille protestante. Il fait des études brillantes avant de se présenter au concours de l’École Normale Supérieure où il échouera à l’oral. Francis Ponge se dit lui-même de la génération surréaliste. A la fin de la première guerre mondiale, il adhère au parti socialiste et entre chez Gallimard suite à sa rencontre avec Paulhan. En 1926, il publie Douze Petits Écrits que l’on peut définir comme le fondement de sa poétique. L’auteur joue avec les formes déjà consacrées de la littérature telles que la satire ou l’apologue. En 1937, il entre au Parti Communiste Français et en 1942, il publie Le Parti Pris des Choses qui marque son entrée dans le monde littéraire.  Il dira plus tard de ce recueil: «C’est le livre de moi qui m’a fait connaître un peu.«. Il quitte le PCF en 1947. Il publie Proêmes en 1948, La Seine en 1950, La Rage de l’Expression en 1952, Le Soleil placé en abîme en 1954, Pour un Malherbe en 1965 ainsi que divers textes sur la peinture. Il écrira jusqu’à sa mort, expliquant sa recherche de «l’épaisseur des mots« et son approche de la littérature, sa manière d’écrire que l’on retrouve dans La Fabrique du Pré (1971). Il meurt à Bar-sur-Loup le 6 août 1988.

 

   Les tires des poèmes, me font penser a des ouvrages monographiques c'est-à-dire écrit par un auteur et qui fait l'état de connaissances à un moment précis sur un sujet délimité; des ouvrages de littérature qui reposent sur l'imagination et prennent divers genre (ex:les recueils de poésies);les ouvrages documentaire qui sont fondés sur la description de la réalité et leur contenu est objectif; un dictionnaire.

 

   Les différents thèmes sont: des espèces de la faune la plus courante («la Crevette«, «le Papillon«, «Escargots«, «l’Huître«, «Notes pour un coquillage«), des minéraux («le Galet«), des objets fabriqués par l’homme («le Cageot«, «la Bougie«), des comestibles («le Pain« «l’Orange«), des phénomènes naturels («Pluie«, «le Cycle des saisons«) mais aussi des lieux familiers («le Restaurant Lemeunier rue de la Chaussée-d’Antin«, «les Trois Boutiques«, «R.C. Seine n°«) ou des attitudes humaines caractéristiques («la Jeune Mère«, «le Gymnaste«). objets naturels ou ordinaires, et délibérément antipoétiques, comme « la Mousse «, « la Cigarette «, « le Cageot «, que des phénomènes physiques (le Cycle des saisons) ou des êtres humains figés en stéréotypes (« la Jeune Mère «, « le Gymnaste «).

 Ce recueil va donc parler d'objets poétiques crées, d'objets poétiques de consommation et  d'objets poétiques de la nature.

 

 4) Oui, les tires sont bien choisis par rapport à leur contenu.

 

 5)  Le Parti pris des choses tente de rendre compte des objets de la manière la plus précise et la  plus rigoureuse possible, cherchant en particulier à exprimer leurs qualités caractéristiques. Ce  compte rendu porte sur les qualités physiques de l'objet ( Ponge recourt volontiers au vocabulaire technique des sciences expérimentales). Il construit des “définitions-descriptions” de l'objet et consacre son écriture aux “choses” familières qui nous entourent. Jeux avec la langue, les mots.  Dans son projet, Ponge dit que: «il faut que mon livre remplace: 1) le dictionnaire encyclopédique; 2)le dictionnaire étymologique; 3)le dictionnaire des synonymes,etc; 6) toute poésie lyrique à partir de la Nature, des objets,etc.«. Il fait des éloges. 

Le terme « proêmes « est un mot-valise associant proses te poèmes. Il rassemble ses poèmes sous le titre de « Proêmes «, ces travaux à valeur de manifeste ne paraîtront en effet qu'en 1948, après que Ponge, presque quinquagénaire, exprima son impatience et son mécontentement dans des termes extrêmement vifs. 

Non, je n'ai pas eu l'impression de lire de la poésie lors de ma première lecture. J'avais plutôt l'impression de lire des définition, en plus il n'y a pas de vers et parfois ses poèmes font plusieurs pages. Francis Ponge pensait que ses poèmes pouvaient et devaient être lu comme des fables. 

Il s'agit pour lui d'explorer la naissance perpétuelle de la parole, comme objeu (contraction d'objet et jeu). Ce concept est illustré dans la Rage de l'expression, la parole est comme une "obsession", les répétitions et les variantes se lisent comme la preuve du mouvement perpétuel, d'éternel recommencement tendant à l'infini de l'écriture, montrant ainsi que la création a pour corollaire indispensable le non-achèvement. Le matériau poétique apparaît donc comme objet de jouissance pour le poète lui-même en train d'écrire qu'il appelle «l'objoie«. Par rapport à ce que j'ai lu, cela signifie que les objets ont une nouvelle définition. Le rapport entre l'objet, son nom et du texte écrit prend le nom d'objeu. 

 

 6) Les liens perçue entre les poèmes sont, des lieux communs: par exemple la fleur, qui se limite bien souvent, en poésie, à une évocation mièvre; l'abolition de la distinction entre le mot et la chose désigner. Ces courts poèmes en prose pleins d'ironie et de pittoresque comportent toujours une prosodie cachée, rimes internes, rythmes qui accompagnent l'objet.

 

  7) Pour moi, le titre du recueil signifie parvenir à une leçon c'est-à-dire avoir une leçon de choses et une fable.

 Un parti pris est une opinion préconçue souvent due à l'éducation et non à une observation impartiale des faits,décision inflexible, préjugé.

Une leçon de chose est un procédé d'enseignement.

 

  8) Le «ready made« est dans les arts plastiques un objet pris au hasard et présenté comme œuvre d'art. L'édition Folioplus a choisi d’illustrer sa première de couverture avec «Le balai« de R. Chaissac par pur hasard.

 

Deuxième partie: 

 

 1) Oui, il est seulement question des mûres dans ce poème car le poème refigure l'objet ainsi que son rapport intérieur/extérieur. Il le nomme d'abord puis le définit. «goutte d'encre« décrit le peu d'encre qui parsème l'image du poème.

A propos de l'orange, il évoque la «lanterne vénitienne des saveurs«. À l'aide de métaphores, comparaisons, le poète tente de restituer aux objets leur entière originalité. En effet, certaines «choses« ne sont plus perçues qu'à travers le filtre des lieux communs: par exemple la fleur, qui se limite bien souvent, en poésie, à une évocation mièvre.  C'est par un effet de surprise que le poète entend renouveler notre perception du monde. Le papillon se fait ainsi lampiste, la fleur est «une tasse mal lavée« (ou une lampe). Le papillon est également «un minuscule voilier des airs malmené par le vent« ou même «une allumette volante«. Il crée ses propres objets poétiques: poésie du cageot, paradoxale; poésie des objets de consommation: le pain; poésie de la nature enfin, dans ce qu'elle a de plus concret. 

 2) 

 - La pluie: «Mécanisme compliqué«, comparée à une «horlogerie dont le ressort est la pesanteur d'une masse donnée de vapeur e précipitation«, la pluie est décrite comme une «machinerie« dans des termes techniques qui en fait un poème «objectif«. Il y a des précisions topographiques comme «au centre«, «a peu de distance des murs de droite et de gauche«, «ici«, «là«, «sur des tringles«, «sur les accoudoirs de la fenêtres«... des précisions géométriques comme «un fin rideau discontinu«, «fraction intense du météore pur«, «berlingots convexe«... Or toute cette description relève d 'un sujet qu'on peut voir dès le début du poème «La pluie, dans la cour où je la regarde tomber, descend à des allures très diverse«. L'objet-pluie se retrouve rapporter au caractéristique d'un sujet humain.

L’huître: description complète en référence à un galet, accumulation de comparatifs ; découverte sensorielle (taille, toucher, aspect). Description extérieure assez négative : quasi laideur de l’huître ; allitération en G, en R ; comparaison avec un galet; hostilité, adverbe « opiniâtrement « ; oxymore « brillament blanchâtre «, qui insiste sur la dualité de l’huître + ironie, péjoratif. 

 - Dans «Le mollusque«, la définition proposée est: «Le mollusque est un être-presque une qualité. Il n'a pas besoin de charpente mais seulement d'un rempart, quelque chose comme la couleur dans le tube.« ; «Ce n'est donc pas seulement un crachat, mais une réalité des plus précieuses. Le mollusque est douée d'une énergie puissante à se renfermer...«. Non, ce n'est pas celle que j'aurai proposée car celle ci est beaucoup plus détaillé. Je l'aurai simplement définit en disant que le mollusque est  un animal invertébré au corps mou, souvent pourvu d'une coquille comme l’escargot par exemple ou ,que c'est une personne molle sans aucune énergie. Ponge pose explicitement l'analogie avec les paroles humaines dans ce poème. Il exprime les qualités physique et linguistique du mot, il veut nous rendre compte de sa beauté.

 - Dans «Le galet«, on parle de la perfection du galet en ce moment jusqu'à l'histoire de la pierre depuis son origine volcanique. Pour le temps: «Qu'on ne me reproche pas en cette matière de remonter plus loin même que le déluge.« c'est-à-dire retourner encore plus dans le passé; «après une période de torsions«c'est-à-dire le temps que sa a mis pour se déformer; «Telle est aujourd'hui l'apparence du globe« cela signifie que on connaît maintenant la nouvelle apparence de la pierre soit le galet... Pour la vie: «Toute la gloire et toute l'existence, tout ce qui fait voir et tout ce qui fait vivre«, «la vie fait voir aussitôt qu'elle n'a rien de commun avec elle.«... Pour la mort: «découvre le pétrin affreux d'un lit de mort«; «conserve un public et des objets, morts ou sur le point de l'être«; «un pareil sacrifice, l'expulsion de la vie«; «un effet brisant«; «Lui mort et elle chaotique«; «la grandeur morte«...

Dans «La bougie«, l'obscurité fait penser au conflit entre la vie et la mort. La bougie a été inventée au milieu du Moyen Âge. Pour le temps: «La nuit«; «décompose«; «brûlés aussitôt ou vannés dans la bagarre«. Pour la vie: «ravive une plante« signifie la rafraîchie. Pour la mort: « La bougie s'inclinant dans son assiette et se noie dans son aliment « signifie la mort de la flamme; «la nuit« donne une forme de danger.

 Dans «Le pain« : dans la vie: «elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses...«; 

dans la mort: «couche ses feux«; «Lorsque le pan rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent: elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable...«; «brisons-la«

 - Dans le «Le pain«, Ponge présente le pain comme s’il s’agissait de la Terre que l’on examinait de plus ou moins loin. Le pain est comparé à la Terre. La surface du pain est décrite comme la géographie physique de la Terre. Pour évoquer le pain on parle de chaine de montagnes et des types de reliefs. Il y a un champs lexical du relief « vallées «, « crêtes «, « crevasse «. Il y a également une référence à un sous-sol. « lumière qui couche ses feux « signifie le soleil qui se couche. La  mie est décrite comme un végétal et animal « éponge « (animal mais aspect végétal marin). On nous décrit le processus de fabrication du pain = création de la Terre avec « four stellaire «  qui renvoie aux étoiles et donne une dimension cosmique. La dimension cosmique revient avec « façonnée en vallées, crêtes «, et « lumière...«.

Dans «L'huître«, il y a une façon de voir et de dire le monde. «cieux d’en dessus, des cieux d’en dessous, du firmament«, nous montre qu'il s’agit du cosmos. On peut également voir l’expression «tout un monde«.

 - Dans «Escargots«, des passages passent du concret à l'abstrait, ils passent de l'objectif au subjectif, de l'abstrait à l'objet et du physique au moral qui donnent l'intervention d'un «je« qui prend appuie sur un jeu de mots comme: «avec un élément passif, un élément actif,le passif baignant à la fois et  nourrissant l'actif«. On peut également trouver un jeu sur l'homonymie comme: «et de recoller au sol où le sort«. 

Dans «La fin de l'automne«, on trouve un mot valise, un néologisme: «amphibiguité« et «grenouillerie« pour unir le sens, la signification de l'automne. Dans le pain il y a également un jeu de mots, ex : « brisons-la «, « stellaire «, « merveilleuse «, « amorphe «,… 

 

 3) «Le papillon« s'apparente à une fable : après la « définition-description «, le poète, en tire, de la rencontre entre l'objet et les mots de l'objet, une « morale « qui est aussi une leçon rhétorique. Le Parti pris des choses célèbre avec humour le monde muet auquel il « rend la parole «. La description du papillon est plutôt construite qu’emprunté à la réalité («tête noire; corps amaigri;ailes flamboyantes). Oui, j'ai lu d'autre poème qui me faisait penser à des fables comme «La mousse«, «La cigarette«, «Le cageot«.

 

  4) Dans «La crevette«, on peut voir que s'est un narrateur qui parle puisqu'on trouve «je parlais«; «Admettons-le« ce qui nous le prouve. La crevette est représentée comme un être vivant. 

Dans «La cigarette«, on ne retrouve pas un je comme dans «La crevette«, mais seulement un «Rendons« qui ne nous dis pas combien de personnes parlent.

Dans «Le pain«, le poète veut faire un poème sans lyrisme. Pas de « je «. On a en effet l’impression que le poète ne s’implique pas dans le poème. Le narrateur est présent à certains endroits (ex : « brisons-la «).

Dans «De l'eau«, le narrateur est présent: «plus bas que moi«; «que je la regarde«  «sans que j'y puisse grand chose«; «elle m'échappe«...

Dans la dernière partie de «Le galet«, le narrateur est également présent: «Je«; me donne«; mes critiques«.

 

 5) Ponge a crée se recueil en ayant pour objectif le fait que son recueil remplacerai les dictionnaires et même les encyclopédies: «Trop heureux seulement d'avoir pour ces débuts su choisir le galet«.

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« que sa a mis pour se déformer; «Telle est aujourd'hui l'apparence du globe» cela signifie que on connaît maintenant la nouvelle apparence de la pierre soit le galet...Pour la vie: «Toute la gloire et toute l'existence, tout ce qui fait voir et tout ce qui fait vivre», «la vie fait voir aussitôt qu'elle n'a rien de commun avec elle.»...

Pour lamort: «découvre le pétrin affreux d'un lit de mort»; «conserve un public et des objets, morts ou sur le point de l'être»; «un pareil sacrifice, l'expulsion de la vie»; «uneffet brisant»; «Lui mort et elle chaotique»; «la grandeur morte»...Dans «La bougie», l'obscurité fait penser au conflit entre la vie et la mort.

La bougie a été inventée au milieu du Moyen Âge.

Pour le temps: «La nuit»; «décompose»;«brûlés aussitôt ou vannés dans la bagarre».

Pour la vie: «ravive une plante» signifie la rafraîchie.

Pour la mort: « La bougie s'inclinant dans son assiette et se noiedans son aliment » signifie la mort de la flamme; «la nuit» donne une forme de danger.Dans «Le pain» : dans la vie: «elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses...»;dans la mort: «couche ses feux»; «Lorsque le pan rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent: elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devientfriable...»; «brisons-la»- Dans le «Le pain», Ponge présente le pain comme s'il s'agissait de la Terre que l'on examinait de plus ou moins loin.

Le pain est comparé à la Terre.

La surface dupain est décrite comme la géographie physique de la Terre.

Pour évoquer le pain on parle de chaine de montagnes et des types de reliefs.

Il y a un champs lexical durelief « vallées », « crêtes », « crevasse ».

Il y a également une référence à un sous-sol.

« lumière qui couche ses feux » signifie le soleil qui se couche.

La mie estdécrite comme un végétal et animal « éponge » (animal mais aspect végétal marin).

On nous décrit le processus de fabrication du pain = création de la Terre avec «four stellaire » qui renvoie aux étoiles et donne une dimension cosmique.

La dimension cosmique revient avec « façonnée en vallées, crêtes », et « lumière...».Dans «L'huître», il y a une façon de voir et de dire le monde.

«cieux d'en dessus, des cieux d'en dessous, du firmament», nous montre qu'il s'agit du cosmos.

On peutégalement voir l'expression «tout un monde».- Dans «Escargots», des passages passent du concret à l'abstrait, ils passent de l'objectif au subjectif, de l'abstrait à l'objet et du physique au moral qui donnentl'intervention d'un «je» qui prend appuie sur un jeu de mots comme: «avec un élément passif, un élément actif,le passif baignant à la fois et nourrissant l'actif».

Onpeut également trouver un jeu sur l'homonymie comme: «et de recoller au sol où le sort».Dans «La fin de l'automne», on trouve un mot valise, un néologisme: «amphibiguité» et «grenouillerie» pour unir le sens, la signification de l'automne.

Dans le pain ily a également un jeu de mots, ex : « brisons-la », « stellaire », « merveilleuse », « amorphe »,… 3) «Le papillon» s'apparente à une fable : après la « définition-description », le poète, en tire, de la rencontre entre l'objet et les mots de l'objet, une « morale » qui estaussi une leçon rhétorique.

Le Parti pris des choses célèbre avec humour le monde muet auquel il « rend la parole ».

La description du papillon est plutôt construitequ'emprunté à la réalité («tête noire; corps amaigri;ailes flamboyantes).

Oui, j'ai lu d'autre poème qui me faisait penser à des fables comme «La mousse», «Lacigarette», «Le cageot». 4) Dans «La crevette», on peut voir que s'est un narrateur qui parle puisqu'on trouve «je parlais»; «Admettons-le» ce qui nous le prouve.

La crevette est représentéecomme un être vivant.Dans «La cigarette», on ne retrouve pas un je comme dans «La crevette», mais seulement un «Rendons» qui ne nous dis pas combien de personnes parlent.Dans «Le pain», le poète veut faire un poème sans lyrisme.

Pas de « je ».

On a en effet l'impression que le poète ne s'implique pas dans le poème.

Le narrateur estprésent à certains endroits (ex : « brisons-la »).Dans «De l'eau», le narrateur est présent: «plus bas que moi»; «que je la regarde» «sans que j'y puisse grand chose»; «elle m'échappe»...Dans la dernière partie de «Le galet», le narrateur est également présent: «Je»; me donne»; mes critiques». 5) Ponge a crée se recueil en ayant pour objectif le fait que son recueil remplacerai les dictionnaires et même les encyclopédies: «Trop heureux seulement d'avoirpour ces débuts su choisir le galet».. »

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