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Peut-on être plus ou moins libre ?

Publié le 20/07/2010

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Tout d'abord, la liberté est perçue différemment selon l'individu. Il peut choisir s'il veut être « plus ou moins libre «, expression peu claire certes, mais il y a des degrés à celle-ci. Être libre signifie la faculté d'agir selon la volonté de l'Homme en fonction des moyens dont il dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui. Il est libre lorsqu'il agit à sa guise dans ses faits et gestes. La liberté serait le résultat d'un travail individuel ou collectif de libération, chose qui pourrait être inégalement aboutie. C'est pourquoi nous verrons dans un premier temps comment l'homme définit sa propre liberté selon les degrés, puis dans un second temps, nous étudierons les contraintes au « je suis libre «. I ) PLUS Être libre, c'est jouir de la liberté ou de certaines libertés. Se demander si l'on peut-être plus ou moins libre ne revient pas à se demander si l'on peut avoir plus ou moins de libertés, au pluriel. Ici, il n'est pas question des différentes libertés, comme l'expression, pensée, réunion..., mais de la liberté. Par conséquent, il s'agit de se demander si cette liberté, au singulier, peut se penser en termes de degrés. Est-il possible d'établir une hiérarchie continue du plus asservi au moins asservi, de l'esclave au maître ? Ou bien existe-t-il une servitude absolue et par conséquent une absolue liberté ? Car la liberté est l'absence d'obstacles, tout comme la chute « libre « d'un corps est celle qui ne rencontre pas d'opposition. De nombreux auteurs, comme Aristote, Descartes, Rousseau, Kant, Hegel, Sartre ont soutenu que c'était dans l'essence de l'être humain d'être libre. Certains de ces auteurs ont décrit un mauvais usage de la liberté, une passivité qui passe vite aux pulsions. On passe de « je peux être libre « à « je suis libre «, c'est à dire d'un pouvoir irrégulier à une définition constante. Sartre, un Philosophe Français du Xxème siècle, a comprit qu'on pouvait éviter ce paradoxe, poser le problème de tout au rien. C'est pourquoi, il affirme régulièrement que l'être humain est totalement libre. Ce n'est pas un sens simpliste, ni anarchiste du premier degré. A tout niveau de notre existence, nous avons des choix à faire, « Nous sommes condamnés à être libre « dans un univers sans signification. Il y a fatalité du sort, puisque parfois la vie nous force à choisir. Dans ce cas là, nous avons des obligations non voulues. Beaucoup d'individu ne veulent pas admettre, mais il y a toujours un moment donné où on doit choisir un type de comportement, « une manière d'être «. On peut sentir un palier plus libre lorsque on a le pouvoir de dire « non «. D'après Descartes, un philosophe français du XVIIème siècle, le sujet rationnel exerce son libre pouvoir de représentation pour résister aux passions diverses et la notion de « liberté « pourrait être considérée comme le mot « volonté « car il s'agit d'un pouvoir de choix, c'est à dire opter pour un degré de liberté. Même si, parfois, les aléas de la vie font que celle-ci soit entravée lorsque l'on arrive à établir que nous sommes libres. Dans Les Méditations IV, c'est un pouvoir de choix, « elle consiste seulement en ce que nous pouvons faire une chose ou ne pas la faire «, c'est à dire affirmer ou nier, poursuivre ou fuir. Il actualise ainsi une liberté qu'il possède par essence. Mais si on renonce au dualisme de l'âme et du corps, force est de reconnaître qu'il n'existe pas de liberté, mais seulement des degrés de liberté qui sont le résultat d'un travail de libération. Au minimum, il nous faut donc considérer que l'usage de notre liberté est susceptible de degré, selon le degré de contrôle rationnel que nous exerçons sur nos actes. On a tendance à considérer la liberté comme un trait que les êtres possèdent ou non. Le sentiment de notre propre liberté ne s'accommode pas de degrés, même si ce sentiment peut connaître des intensités différentes : nous avons éventuellement le sentiment d'être libre mais pas d'être plus ou moins libre. Pour être libre, il faut voir clair. En 1641, dans les Méditations Métaphysiques, la liberté apparaît encore tributaire de la clarté et de la distinction de l'idée d'entendement : mieux je connais ce dont je juge, plus je suis libre. On peut être totalement libre, en faisant l'excès, c'est à dire faire absolument ce que l'on veut, sans aucune contrainte, sans se soucier des autres, ni des conséquences de ses actes. Or, toute société est régie par des lois, donc par des restrictions, des compromis, parfois même des sacrifices. Les conséquences sont négatives, voire dramatiques. D'après Leibniz, un philosophe du XVIIIème, pense que la liberté apparaît donc comme une libération, laquelle passe par une "augmentation de conscience". On peut donc, en ce sens, être plus ou moins libre et, mieux, il n'y a pas d'alternative à ce plus ou moins. Il y a de la liberté dans l'homme, mais ce dernier rencontre quotidiennement des obstacles (lois, règlements...) . C'est pour cela, que la personnalité et l'esprit de l'humain peut avoir un impact sur sa liberté car il décide sa propre vie. Cependant, qu'on soit « plus ou moins « libre, cela paraît incompréhensible d'y renoncer. C'est en quelque sorte une « chance « de la détenir. Kant, philosophe Allemand du XVIIIème, affirme dans La critique de la raison pure que la liberté est possible, car la loi morale, c'est à dire le devoir, nous contraint à croire à la liberté « Le concept de la liberté se fonde sur un fait : l'impératif catégorique «. L'homme est soumis aux lois naturelles, et en ce sens il n'est pas libre. En revanche, en tant que sujet doué de raison, il est libre de décréter les lois auxquelles il obéira. Il sera dans l'essence de l'homme de pouvoir à tout instant, si il a la volonté pour, vaincre l'ordre des choses, les influences internes comme externes pour s'auto-déterminer, pour délibérer. Ce pouvoir de choisir n'est pas non plus constant et ne domine pas le reste facilement. Cependant, on la en réserve et on peut s'en servir à sa guise, ou non. Enfin, Epictete, philosophe grec (50-125) dans les Entretiens, dit que l'homme est libre lorsqu'il n'est soumis à aucune entrave, l'homme a tout à sa disposition comme il veut. Mais celui qui peut être entravé, contraint, à qui l'on peut faire obstacle ou que l'on peut jeter malgré lui dans quelque entreprise est un esclave. « Si tu t'attaches à l'une de ces choses comme à ton bien propre, tu subiras le châtiment que mérite celui qui désire ce qui lui est étranger. Telle est la route qui conduit à liberté «. Bien que nous ayons le sentiment de la liberté et que nous agissions comme si nous étions libres, le sommes-nous réellement ? II ) MOINS
« Je suis libre « ? L'enfant apprend assez tôt qu'il ne jouit pas d'une liberté totale. Sa volonté se heurte à une autorité, c'est à dire à d'autres volontés qui l'entourent. Il a des supérieurs, comme les parents, le maître d'école .. Il a des interdictions. En essayant de jouir d'une liberté totale, l'enfant peut impliquer des conséquences dont il ne veut pas lui-même. Est libre celui qui fait vraiment ce qu'il veut, non tout ce dont la fantaisie lui passe par la tête. Mais cette compréhension intellectuelle ne peut venir que plus tard, avec cependant, des contraintes à celle-ci. Comme les soumissions volontaires aux lois, soit une autonomie. Nous vivons en société dans des règles, sous des lois que l'on peut estimer contraignantes. Du coup, l'État, garant de la loi, peut lui-même sembler par nature fait pour opprimer la liberté. Il renonce à la liberté illimitée sous l'effet d'une nécessité qu'il devra reconnaître pour exercer une liberté réelle. Devenu adulte, il est capable de cette liberté et d'en jouir avec ses semblables, c'est à dire d'être citoyen. Sa vie va se faire sur des choix et des projets. Il est capable du contrat social et il choisit le niveau de sa liberté. On passe d'une liberté naturelle qui n'était presque rien, parce qu'elle n'avait rien de stable, contre la liberté qu'assure à chacun la soumission de tous à la loi. Parfois, le citoyen est soumis à la loi, et n'obéit à personne. La loi n'exprime que la volonté générale, c'est à dire s'il était parfaitement vertueux. Dans le Contrat social de Rousseau, parlant de corps politique, a déclaré « l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté «. Or, l'homme est conscient qu'il a des limites à respecter. « L'homme est né libre, et partout il est dans les fers «. Le remède à cet état de fait est le Contrat Social : l'homme n'obéit qu'à lui-même en obéissant à la Volonté générale. Cette association est le contraire d'une soumission. Par ce contrat, chaque individu préserve à la fois sa liberté, puisqu'il décide librement d'obéir à la volonté générale, et son égalité, puisque chacun y participe également. L'état républicain est l'expression de la volonté générale qui est la volonté de tous et de chacun. S'il ne la représente plus, cela signifie qu'il a rompu le contrat, et qu'il est devenu illégitime. Il faut essayer de gagner nos « droits « qui permettent l'assurance de certaines libertés au sein de la vie dans une communauté, un système politique. La liberté est donc le contraire de l'esclavage, phénomène qui fut abolit il n'y a pas si longtemps, où l'individu n'avait aucun droit, aucune liberté, définit comme du bétail, des esclaves par nature. Le maître commande à l'esclave comme l'âme au corps. On était loin d'avoir conscience que l'homme était libre par nature. Néanmoins, l'homme pourrait prendre la décision de ne plus être libre, renoncer à sa liberté. Renoncer n'est pas toujours sacrifier, c'est aussi abandonner, capituler, s'avouer vaincu. Si la liberté définit l'humanité, alors, comme l'affirme Rousseau, « renoncer à la liberté, c'est renoncer à sa qualité d'homme « (I,4). En effet, il n'est pas plus en mon pouvoir qu'en celui d'une quelconque autorité de me dépouiller de ma nature. Les lois qui peuvent contraindre certaines volontés de l'individu, dans ses cas là, il se sent moins libre, privé de ses choix. La philosophie politique ne s'est pas seulement demandée, de quels droits l'homme devait se dessaisir, c'est à dire à quelle liberté il devait renoncer pour être libre en société. D'après Aristote, un philosophe Grec, l'homme est par essence un « animal politique «, la loi nous rattrape toujours. La liberté où on se réfère à l'action ne peut pas être totale dès lors que nous vivons en société. Les hommes peuvent être à la recherche absolue de la liberté, sans y parvenir. De plus, nous avons une conscience morale qui peuvent donner des limites à nos actes, c'est à dire agir librement et consciemment. L'homme aveuglé par la passion, par exemple, ne serait pas pleinement responsable, parfaitement libre. Mais selon Sartre, parce que nous sommes des consciences, nous sommes toujours responsables. Cette conscience de la liberté nous est confirmée par la vie sociale : les lois supposent et témoignent de la liberté des hommes, puisqu'elles sont ce à quoi les hommes se soumettent et ce qui les contraint. Le sentiment de la liberté, comme l'a souligné Spinoza, philosophe Hollandais du XVIIème siècle, il ne serait que la simple marque de son ignorance des causes qui le déterminent. D'ailleurs, nous pouvons citer dans l'Illusion de la liberté, « les hommes se trompent en ce qu'ils pensent être libres.. «. N'est pas libre celui qui se trouve soumis à la volonté d'un autre par l'effet d'une contrainte, quelle que soit la nature de cette contrainte. Selon Descartes, la liberté pourrait être un sentiment de non-contrainte externe, « ...ou plutôt seulement, en ce que pour affirmer ou nier, poursuivre ou fuir, les choses que l'entendement nous propose, nous agissons en telle sorte que nous ne sentons point qu'aucune force extérieure nous y contraigne «. On comprend, par conséquent, qu'il tenait encore l'indifférence pour « le plus bas degré de la liberté « dans ses Méditations, finalement cela a été une occasion de manifester l'indépendance de la volonté à l'égard de l'idée vraie. CONCLUSION : On peut donc, en ce sens, être plus ou moins libre et, mieux, il n'y a pas d'alternative à ce plus ou moins. Si la liberté n'est jamais complète, c'est qu'elle existe plus ou moins, au gré des circonstances. L'homme peut essayer d'augmenter sa conscience au terme « je suis libre «. Cependant, nous avons vu qu'il existe des obstacles qu'on ne peut esquiver, comme les lois politiques qui peuvent contraindre certains de nos actes. Nos actes qui forgent une liberté voulue. Parfois on renonce à être plus libre afin d'accéder à la liberté authentique, la liberté pleine et entière dont l'homme est capable. Ce renoncement est l'acte par lequel nous est donné toute la liberté dont nous sommes capables. « Les peuples n'ont jamais que le degré de liberté que leur audace conquiert sur la peur « Stendhal.

« peut faire obstacle ou que l'on peut jeter malgré lui dans quelque entreprise est un esclave.

« Si tu t'attaches àl'une de ces choses comme à ton bien propre, tu subiras le châtiment que mérite celui qui désire ce qui lui estétranger.

Telle est la route qui conduit à liberté ».Bien que nous ayons le sentiment de la liberté et que nous agissions comme si nous étions libres, le sommes-nousréellement ? II ) MOINS « Je suis libre » ? L'enfant apprend assez tôt qu'il ne jouit pas d'une liberté totale.

Sa volonté se heurte à uneautorité, c'est à dire à d'autres volontés qui l'entourent.

Il a des supérieurs, comme les parents, le maître d'école ..Il a des interdictions.

En essayant de jouir d'une liberté totale, l'enfant peut impliquer des conséquences dont il neveut pas lui-même.

Est libre celui qui fait vraiment ce qu'il veut, non tout ce dont la fantaisie lui passe par la tête.Mais cette compréhension intellectuelle ne peut venir que plus tard, avec cependant, des contraintes à celle-ci.Comme les soumissions volontaires aux lois, soit une autonomie.

Nous vivons en société dans des règles, sous deslois que l'on peut estimer contraignantes.

Du coup, l'État, garant de la loi, peut lui-même sembler par nature faitpour opprimer la liberté.

Il renonce à la liberté illimitée sous l'effet d'une nécessité qu'il devra reconnaître pourexercer une liberté réelle.

Devenu adulte, il est capable de cette liberté et d'en jouir avec ses semblables, c'est àdire d'être citoyen.

Sa vie va se faire sur des choix et des projets.

Il est capable du contrat social et il choisit leniveau de sa liberté.

On passe d'une liberté naturelle qui n'était presque rien, parce qu'elle n'avait rien de stable,contre la liberté qu'assure à chacun la soumission de tous à la loi.

Parfois, le citoyen est soumis à la loi, et n'obéit àpersonne.

La loi n'exprime que la volonté générale, c'est à dire s'il était parfaitement vertueux.

Dans le Contratsocial de Rousseau, parlant de corps politique, a déclaré « l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté ».

Or,l'homme est conscient qu'il a des limites à respecter.« L'homme est né libre, et partout il est dans les fers ».

Le remède à cet état de fait est le Contrat Social : l'hommen'obéit qu'à lui-même en obéissant à la Volonté générale.

Cette association est le contraire d'une soumission.

Par cecontrat, chaque individu préserve à la fois sa liberté, puisqu'il décide librement d'obéir à la volonté générale, et sonégalité, puisque chacun y participe également.

L'état républicain est l'expression de la volonté générale qui est lavolonté de tous et de chacun.

S'il ne la représente plus, cela signifie qu'il a rompu le contrat, et qu'il est devenuillégitime.Il faut essayer de gagner nos « droits » qui permettent l'assurance de certaines libertés au sein de la vie dans unecommunauté, un système politique.

La liberté est donc le contraire de l'esclavage, phénomène qui fut abolit il n'y apas si longtemps, où l'individu n'avait aucun droit, aucune liberté, définit comme du bétail, des esclaves par nature.Le maître commande à l'esclave comme l'âme au corps.

On était loin d'avoir conscience que l'homme était libre parnature.Néanmoins, l'homme pourrait prendre la décision de ne plus être libre, renoncer à sa liberté.

Renoncer n'est pastoujours sacrifier, c'est aussi abandonner, capituler, s'avouer vaincu.

Si la liberté définit l'humanité, alors, commel'affirme Rousseau, « renoncer à la liberté, c'est renoncer à sa qualité d'homme » (I,4).

En effet, il n'est pas plus enmon pouvoir qu'en celui d'une quelconque autorité de me dépouiller de ma nature.Les lois qui peuvent contraindre certaines volontés de l'individu, dans ses cas là, il se sent moins libre, privé de seschoix.

La philosophie politique ne s'est pas seulement demandée, de quels droits l'homme devait se dessaisir, c'est àdire à quelle liberté il devait renoncer pour être libre en société.D'après Aristote, un philosophe Grec, l'homme est par essence un « animal politique », la loi nous rattrape toujours.La liberté où on se réfère à l'action ne peut pas être totale dès lors que nous vivons en société.Les hommes peuvent être à la recherche absolue de la liberté, sans y parvenir.

De plus, nous avons une consciencemorale qui peuvent donner des limites à nos actes, c'est à dire agir librement et consciemment.

L'homme aveuglépar la passion, par exemple, ne serait pas pleinement responsable, parfaitement libre.

Mais selon Sartre, parce quenous sommes des consciences, nous sommes toujours responsables.

Cette conscience de la liberté nous estconfirmée par la vie sociale : les lois supposent et témoignent de la liberté des hommes, puisqu'elles sont ce à quoiles hommes se soumettent et ce qui les contraint.

Le sentiment de la liberté, comme l'a souligné Spinoza, philosopheHollandais du XVIIème siècle, il ne serait que la simple marque de son ignorance des causes qui le déterminent.D'ailleurs, nous pouvons citer dans l'Illusion de la liberté, « les hommes se trompent en ce qu'ils pensent êtrelibres..

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N'est pas libre celui qui se trouve soumis à la volonté d'un autre par l'effet d'une contrainte, quelle quesoit la nature de cette contrainte.Selon Descartes, la liberté pourrait être un sentiment de non-contrainte externe, « ...ou plutôt seulement, en ceque pour affirmer ou nier, poursuivre ou fuir, les choses que l'entendement nous propose, nous agissons en tellesorte que nous ne sentons point qu'aucune force extérieure nous y contraigne ».

On comprend, par conséquent,qu'il tenait encore l'indifférence pour « le plus bas degré de la liberté » dans ses Méditations, finalement cela a étéune occasion de manifester l'indépendance de la volonté à l'égard de l'idée vraie. CONCLUSION : On peut donc, en ce sens, être plus ou moins libre et, mieux, il n'y a pas d'alternative à ce plus ou moins.

Si laliberté n'est jamais complète, c'est qu'elle existe plus ou moins, au gré des circonstances.

L'homme peut essayerd'augmenter sa conscience au terme « je suis libre ».

Cependant, nous avons vu qu'il existe des obstacles qu'on nepeut esquiver, comme les lois politiques qui peuvent contraindre certains de nos actes.

Nos actes qui forgent uneliberté voulue.

Parfois on renonce à être plus libre afin d'accéder à la liberté authentique, la liberté pleine et entièredont l'homme est capable.

Ce renoncement est l'acte par lequel nous est donné toute la liberté dont nous sommescapables.. »

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