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Peut-on ne pas être soit même ?

Publié le 22/10/2010

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Introduction : Comme le montre René Ouvrard  « La paix avec les autres, avec soi, est une victoire qu'on ne gagne qu'après s'être vaincu soi-même «, cela signifirait que l’homme n’est pas une seule et unique personne, peut on ne pas être soi même ?  Etre voudrait dire exister, mais que signifie soi ? Au sens scolastique cela caractérise la substance existant en elle-même, selon Kant cela désigne le noumène,  alors que Sartre un être qui est ce qu’il est dépourvu de conscience. Est il vraiment possible qu’un être humain ne soit pas lui-même, donc par la même occasion est il possible qu’un homme ne soit plus un homme ? L’homme peut être atteint de maladie, ou se sent contraint de suivre la société, son éducation, ou simplement ne pas avoir les capacités naicéssaire pour être lui-même, mais qui serait il, si il n’est pas lui-même, et il a conscience du monde qui l’entoure donc qu’elle serait la part d’inconscience en lui, peut elle l’empéchait d’être ce qu’il aimerait être. Tout n’est pas forcément noir ou blanc, il peut y avoir un juste milieu entre être et ne pas être soi même.

 

Conclusion : Est il possible qu’un homme ne soit plus lui-même, qu’il soit dépourvu de toutes les caractéristique psychologique que l’homme se fait de son prochaine, privé de ses capacités.

 

Oui on peut ne pas être soit même : (ON EST PAS SOI MÊME)

I) Quand on est atteint d’une maladie, ou d’une patologie , car nos geste et nos mouvement ne sont plus simplement commandait par notre volonté, mais c’est la maladie qui influence ou guide le moindre de nos mouvement . 

Prenons l’exemple d’Annah O c’était une jeune fille très intelligente, et qui n’avait apriori aucune raison de souffrir de trouble psycologique. Brewer médecin autrichien qui a étudié le cas d’Annah O, et qui l’a expliqué a son ami Freud, c’est rendue compte qu’Anna O souffrait de nombreux trouble du à son enfance. Elle avait des somalisation, prenons un exemple elle était atteinte d’hydrophobie , elle se retrouvé dans l’incapacité de boire même lorsqu’il faisait chaud, Brewer et Freud on étudié les raisons pouvant créer se trouble, sous hypnose Anna O, a raconté des évenements passé, donc un ou elle avait sa gouvernente donnant a boire a son chien dans un verre, par politesse la jeune fille n’avait rien dit, mais lors d’une séance d’hypnose elle s’est violement énervé, a exprimé tout son dégout, puis bu un grand verre d’eau, donc ils se sont rendue compte que son impossibilité de boire par moment était du au refoulement de se dégout qu’elle avait fais lors de sa jeunesse. Donc elle ne pouvait pas boire,  s’en rendait compte, mais ne pouvait pas expliquer pourquoi, alors que tout simplement c’était son insconscient qui guidé son hydrophobie, donc elle ne pouvait pas être maitre de ses mouvements.  Comme le disait Freud «  L’inconscient est le psychique lui-même est aussi inconnue que la réalité. Sa nature intime nous est aussi inconnue que la réalité du monde extèrieur,  et la conscience nous renseigne sur lui d’une manière aussi incomplète que nos organes des sens sur le monde extérieur «. Donc lorsque l’inconscient commande nous actes on ne peut pas être soi même .

II) On peut être mener par la société et ne plus être maitre de nos actes 

Toute personne humaine est confronté dés son enfance a des règles, elle est éduquée sous le précepte des mœurs de la société ,  comme Elisabeth qui suite aux pulsions et aux désirs réfoulé pour son beau frère, a créé des somatisations. Même après la mort de sa sœur elle ne pourra pas faire extèrioriser ses sentiments pour son beau frère, car pour la société cela ne se fait pas. Elle suit les mœurs qui sont les manières de se comporter envisagées sous l’angle du jugement morale dans un milieu social, donc si on ne peut pas être libre de ses pensées on ne peut pas être soi même. 

III) On peut ne jamais agir comme on le souhaite, et suivre nos envies, car notre éducation, le role des parents, nous guide tous les jours. 

« L’éducation est l’opération par laquelle l’être sociale est surajouté en chacun de nous à l’être individuel, l’être moral à l’être animal : c’est le procédé grâce auquel l’enfant est rapidement socialisé «, comme le montre Mauss, dans cette citation l’enfant peut être éduqué de tel manière qu’il ne puisse avoir sa propre reflexions, cela l’obligeant a ne remettre nul choses en question, et a croire tout ce qu’il a appris, donc si on ne peut pas avoirs ses propres pensées, et remettre en cause l’éducation, les preceptes que l’on a recu on en peut pas être soi même

IV) Si durant l’enfance on ne devellope pas ses facultés humaines, et on ne se sert pas de ses capicité, on ne peut pas être soi même, vu qu’on ne sait pas ce que c’est qu’être soit même, voir même on en sait pas que l’on existe .

Victor de l’Aveyron est un enfant recueilli autours de 1803 par le docteur Itard, il avait été perdue ou abandonné très jeune, donc il ne possédait aucune conscience, ses facultés humaines ne c’était pas développé. L’enfant était a un état d’animal, et malgré de nombreuse heure de travail faites par le médecin, pour essayé de développé, les sens et les facultés de Victor, il n’est jamais vraiment devenue un véritable être humaine comme le considère la société d’aujourd’hui, mais il a seulement pu développé un peu le langage. Il n’a jamais pu avoir de réflexion comme le définissait Leibniz « La réflexion n’est autre chose qu’une attention à ce qui est en nous, et les sens ne nous donnent point ce que nous portons déjà avec nous «. Donc si on ne devellope pas ses facultés humaines on ne peut pas être soit même.

V) Se projeter toujours dans l’avenir, nous empréche d’être nous même, car nous sommes soit ce qu’on aurait voulu être, soit ce qu’on souhaiterais être. 

L’homme passe son temps à fuir, quand le présent nous afflige il essaie de fuir. Comme le disait Pascal « ainsi nous ne nous vivons jamais, mais nous espérons de vivre «. L’homme vit dans la conscience de la mort, par tout les moyens il essaie de se lerer de ne pas voir que le temps passe, l’homme se ment a lui-même, ce qui l’empèche de profiter de la vie et du peu de temps ou il est sur terre. Il ne vit que dans le désir, il aime et souhaite posséder les choses qu’il n’a pas. Si on ne vit pas dans le présent, et que l’on passe son temps a espérer autre chose, on ne peut pas être soi même. 

 

 

Non on ne peut pas ne pas être soi même : (ON EST SOI MÊME)

I) Sinon  on serait qui ? 

Personne n’est pas pareil, tout le monde est différents. Lors de la naissance, chaque enfant a quelque chose qui le différencie des autres bébé. Etre différents des autres, rend la personne unique, et si elle est unique elle ne peut pas être autre choses que ce qu’elle est, car il en existe qu’un seul exemplaire.  Aristote définit l’individu comme : « nous appelons individu ce qui est un numériquement, et universel, ce qui est affirmé de tous les individus «. Donc si un être humain a sa singularité il est lui-même. 

II) Si on a une conscience de soi et du monde qui nous entoure, cela signifie que l’on est soi même

Les facultés humaines, comme la parole, l’imagination, la penser, nous sont propres, personnes ne peut penser exactement de la même manière, donc a travers ca nous sommes nous même, et personnes d’autre. Quand un être humain, possède une conscience, il a forcément conscience de lui, ou du monde qui l’entoure. Comme le disait Descartes avec sa phrase du Cogito qui résume bien, « je pense, donc je suis «, ce qui signifie que l’homme qui a développé ses facultés humaines, par la même ca conscience, est donc il est lui-même. 

III) Car les rêves sont tirés de notre inconscient, mais notre inconscient est tiré des événements qui se sont déroulé dans notre vie, donc ce sont nos rêves, ce qui montre une part de singularité, de personnel, d’unique, ce qui montre que c’est une part de nous même. 

Beaucoup de philosophe, parle des rêves comme quelque chose qui n’appartient pas a l’essence d’un être humain, mais qui est seulement un fruit de l’inconscient. Mais chaque individu a son propre inconscient, ses propres pulsions, ses désirs intimes, et le sur moi de différentes personnes n’empêchent pas ni ne laissent passer les mêmes informations.  Donc on ne pas vraiment parler d’aliénation car ce n’est pas quelque chose d’étranger mais quelque chose qui nous est approprié. Comme le disait Socrate avec cette phrase si connu : « connais-toi, toi-même «, selon lui tout peut apparaitre clairement a notre conscience, cette idée qu’il n’y a pas en nous même de partie caché. Donc si tout vient de nous, que notre conscience, ou notre inconscience est tiré des même bases, on est nous même. 

 

 

Pour moi ne être c’est : 

I) La notion de liberté est remise en question par le rôle de l’inconscience, donc sachant que l’inconscient a un rôle important sur nos agissement,  pouvons nous être nous  même.

L’inconscient n’a était clairement définie qu’au 19ème siècle par Freud, donc avant l’homme ne savait ni le qualifié, ni n’en avait le besoin, il l’expliquait de manière totalement différent. Pouvons nous réellement remettre en cause la question de liberté à cause de cette part d’inconscient présente dans l’homme, beaucoup de philosophe on des avis divergent sur la question. Mais nous savons que l’inconscient n’est pas quelque chose de fondamentalement inconnue, car lors d’une psychanalyse, le patient arrive a savoir tout ce qui est présent dans son inconscient. Donc pouvons nous dire que nos actes sont guidé par notre inconscient, ou ce serait peut être un moyen de trouver une excuse pour cacher sa véritable nature, comme le disant Lacan, philosophe du 20ème siècle : « L’inconscient est ce chapitre de mon histoire qui est marqué par un blanc ou occupé par un mensonge : c’est le chapitre censuré. Mais la vérité peut être retrouvée. «. Donc l’inconscient n’empêche pas l’homme d’avoir la conscience de lui-même. 

II) Quand on dort, si on n’a plus de conscience, donc ni de conscience du monde, ni de conscience de soi. Cela voudrait il dire que nous ne sommes plus nous même ? 

C’est une grande question, mais connaissons nous la réponse. Quand le cerveau est au repos est il prouvé scientifiquement que l’individue dans ces rêves n’a plus conscient de lui, ou du monde qui l’entoure, serait un peu exagérer car selon Freud, le rêve est composé d’un contenu manifeste et d’un contenu latent, mais pour pouvoir avoir ces image, et reussir a voir quelque chose, il faut forcément que l’individu ait eu la conscience des choses qui l’entoure, pour réussir a les récréer dans son rêve. Car prenons un exemple un individue n’ayant jamais vu de cheminé, ni en vrai, ni en dessein, et ne connaissant même pas le nom, ne peut en aucun cas rêver d’une cheminé. Donc si on a plus de conscience et que l’on est dans l’inconscient du someille, on n’est quand même nous même.

III) Par moment on ne préférerait pas ne pas être soi même et se cacher derrière des excuses, pour ne pas avoir a assumer nos actes, comme la drogue, l’alcool, les maladies psychologique (tueur qui pour diminuer leurs peine de prison se font passer pour des fous). 

Beaucoup d’individu utilise souvent l’expression « je n’étais plus moi-même «, mais que veulent ils dire par la, est ce une manière de se protéger, une manière d’excuser des agissement. Cette expression linguistique est généralement utiliser pour désigner un manque de maître de soi, suite a un oublie de convenance, l’individu ayant ingéré de la drogue, une trop grosse dose d’alcool, aura l’impression qu’il n’est pas a l’origine de ses actes, mais ce serait peut être une manière d’excuser ses manquements, car ces produits sont qualifiés de désinhibiteurs, mais il n’est pas dit qu’ils changent la personnes, donc tout ces agissements, sont tout simplement tiré des pulsions, des désirs, des envies, que la personne a souhaité faire mais n’a jamais osé, par peur de choqué les autres. Mais ces excuses qui servent a caché des envie de l’homme trop dur a supporté, sont également utilisé pour des événements beaucoup plus grave. Comme le tueur en série Francis Heaulme, qui se fait passé pour fous a chaque intérrogatoire « Il ne ment pas. Il n'invente jamais rien. Mais il embrouille volontairement les pistes en mélangeant les crimes, les dates et les lieux. « Grace a cette phrase on voit clairement que malgré l’hypothése qu’il est inconscient de ses actes, que au contraire, il est assez conscient pour « embrouiller « volontairement les pistes des policiés. Donc il est possible également que les hommes, mentent en prétextant une inconscience, pour se protéger alors qu’ils sont eux même.