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«Peut-on se satisfaire du nécessaire ?»

Publié le 02/11/2012

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Le bonheur ne peut être connu qu’en conaissant le malheur. Le malheur est synonyme de malchance, de

tristesse, et pourtant heureusement que nous le subissons puisque sans lui, le bonheur n’existe pas. Si nous

ne conaissons pas ce sentiment alors nous ne pouvons rien ressentir d’autre. Autant dire que le malheur est

à l’origine de tout ce que peut éprouver l’Homme. En admettant que le bonheur n’est connu que par la

connaissance du malheur, on peut dire que l’Homme est malheureux avant d’être heureux. Mais est-il

malheureux dans son bonheur ou heureux dans son malheur ?

Nous sommes heureux quand nous satisfaisons nos désirs, celà signifie que nous avons été malheureux

bien plus longtemps avant pour quelques minutes de bonheur voire quelques semaines. Satisfaire nos désirs

nous rend-il alors plus heureux ou plus malheureux ?

« et peuvent devenir superflu. Kant critique cette met en avant une morale se distinguant par des aspects qui vont au-delà du nécessaire, par exemple, le fait de se nourrir ne suffit plus, nous prenons en compte des règles organisant la cuisine. Nous pouvons alors remarquer que la culture ajoute à la nécessité naturelle une autre sorte de nécessité qui la fait devenir une nécessité superflue.

C’est là qu’intervient l’ambiguité du nécessaire...

Nous ne faisons que rarement la différence entre le besoin et le désir.

En effet, nous pouvons distinguer les besoins dits nécessaires aux besoins non nécessaires qui sont alors superflus, par exemple, nous avons souvent besoin d’un nouveau vêtement mais est-ce un réel besoin ou un désir profond ? Est -ce que la nécessité ne deviendrait pas désir ? Mais si le désir est plus fort que la nécessité alors le Monde est superficiel ! Nous avons disons avoir besoin d’un nouveau téléphone mais pourquoi faire ? Nous en avons déjà un, serait -ce pour le plaisir de dépenser ou parce qu’Autrui le désire, nous le désirons ? Certes, nos désirs se transforment en besoins qui ne sont que superflus.Fénelon écrit «Les hommes veulent tout avoir, et ils se rendent malheureux par le désir du superflu; s'ils voulaient vivre simplement et se contenter de satisfaire aux vrais besoins, on verrait partout l'abondance, la joie, la paix et l'union.» Cette citation nous donne une proposition sur ce qu’est vraiment le bonheur, issu du nécessaire et non de nos désirs.

Mais est-il possible d’être heureux en ne satisfaisant aucun de nos désirs ? II/ Le bonheur ne peut être connu qu’en conaissant le malheur.

Le malheur est synonyme de malchance, de tristesse, et pourtant heureusement que nous le subissons puisque sans lui, le bonheur n’existe pas.

Si nous ne conaissons pas ce sentiment alors nous ne pouvons rien ressentir d’autre.

Autant dire que le malheur est à l’origine de tout ce que peut éprouver l’Homme.

En admettant que le bonheur n’est connu que par la connaissance du malheur, on peut dire que l’Homme est malheureux avant d’être heureux.

Mais est-il malheureux dans son bonheur ou heureux dans son malheur ? Nous sommes heureux quand nous satisfaisons nos désirs, celà signifie que nous avons été malheureux bien plus longtemps avant pour quelques minutes de bonheur voire quelques semaines.

Satisfaire nos désirs nous rend -il alors plus heureux ou plus malheureux ? Nous souffrons de ne pas pourvoir satisfaire certains de nos désirs. »

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