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Publié le 19/02/2013

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Philo     La vie sensible est normalement régulé par l'instinct chez l'animal alors que chez l'humain c'est l'intelligence. L'homme émets des jugements pour reconnaître dans un objet les propriétés qui s'attache à l’objet   Les peuples primitif fonctionnent beaucoup avec cette idée particulière ( schémas ) bébé = tétant ces propriétés sont rattaché a un principe , à leurs propres causes   Pour Descartes la vérité est dans l'idée , Pour Descartes l'expérience n'est pas fiable a vérité est un paramètre propre à la conscience , Husserl veut éviter le solipsisme (la pensé peut se prendre pour un objet , donc peut se séparer du réel donc réflexivité spéculaire , c'est ne plus être immergé dans le monde, être seul avec sa conscience).. Dans Le discours de la méthode , une idée est vrai car elle reflète la reflète la réalité. Contredit par les empiristes : la vérité est dans l'idée. Pour les empiristes on a pas de connaissance sans expérience. Pour St Thomas : La vérité est l'adéquation de la réalité avec la chose , l'idée d'âme «je sais , je suis , j'existe « je vois clairement la nature de mon humanité , je suis une substance pensante , donc comme un ange. Husserl et St Thomas « c'est moi que je saisi quand je pense« par opposition a Descartes . Ce Moi est tout autant une expérience de mon corps et de mon âme. Je suis pas certain de mon existence à cause d'une connaissance de moi . J'ai toute ma vie pour savoir qui je suis. Le cogito de Thomas n'est pas le même que celui de Descartes, il est confus mais directement adéquate a la perception du réel. Quand je dis «moi« c'est une réalité. Le réel n'est peut être aussi près. Si on dissocie l'animal qui est en nous , alors on est dissocié a notre corps/ a moi car c'est mon âme qui l'imprègne de sa subjectivité. L'expérience d'être une personne c'est aussi mon âme , si je rejette mon corps alors je rejette mon âme. Deuxième degré d'intentionnalité: je vais vers le réel. Les amis nous permettent de nous connaître nous même.   On va peu à peu se mettre à porter notre regard sur cette intériorité qui est la notre l'attrait pour la vérité s'atteint par la recherche . Ce regard porté sur l'intérieur de nous réfléchis tous nos état subjectif et en particulier un état qui est un obstacle pour la vérité : la passion , car elle se greffe sur des fantasmes (passion = cristallisation) La conscience manifeste le pouvoir d'efficience de la volonté, je suis moi-même la cause de mon acte mon acte ne dépend pas de ma volonté Ce pouvoir réflexif de la conscience manifeste le pouvoir efficient de la volonté.   Je suis dans la présence du moi à l’intérieur de l’âme 
La faculté s’identifie avec notre propre personne 
Découvrir notre personnalité c’est chercher du coté de l’être, l’appétit.
L’homme se découvre un objectif : la liberté : l’acte volontaire. « Nous avons le sentiment intérieur de notre volonté « = cet assentiment à la volonté. Donner notre assentiment au fait que nous pensons, cela nous défini, mais ça ne dis pas qui nous sommes, alors que donner notre assentiment au fait que nous pouvons nous engager. Il ne suffit pas de s’abstraire de tout motif pour vouloir : c’est la première étape de la compréhension de la volonté. 
On a pu penser que la volonté c’est la capacité de choisir de poser un acte sans aucune raison objective de le poser, mais la seule justification de cet acte serait de se prouver à sois même qu’on est libre. Si je nie que dans la conscience il y a un regard sur une sagesse/ une rationalité alors la volonté est suspendue dans l’attente d’exprimer son existence par un acte complètement immotivé. La volonté n’est alors plus considérée comme une volonté mais comme un pouvoir et alors la volonté va dans cet arbitrage. La volonté d’indifférence : c’est la première idée de liberté à laquelle on peut penser. 
Il faut sentir avant que de consentir : tout être est un bien. 
Souvent nous ne pensons pas au motif avant d’agir. Surtout pour ce qui n’a pas de répercussion. Il peut y avoir des actions dont on ignore le but, comme les actes manqués (actes guidé par l’inconscient).
Question que pose Spinoza : somme nous vraiment libre ? 
1ère thèse : action immotivé 
2ème thèse : influence d’un motif inconnu qui en agissant sur la liberté la détermine 
Il faut dépasser ces deux thèses. Malbranche dépasse ces deux thèses 
Plus le motif de mon action est d’une certaine façon connue, plus il touche le Moi intérieur, plus il est en rapport avec ma personne métaphysique plus il est grand et donc plus il est perçu de façon à déclencher un désir de tout mon être. 
La liberté c’est choisir un motif plutôt qu’un autre. 
La liberté n’est pas quelque chose d’inné qu’on aurait indépendamment de toute réflexion. Plus j’ai de raison de vivre plus je suis libre. Et cette raison de vivre déclenche ce qu’il y a de plus profond en moi : l’Amour. La volonté doit trouver la voie d’accès au bien qui sollicite l’attention.
La Volonté est une qualité de la liberté. Une liberté réaliser est une liberté qui touche et possède le bien que représente pour elle la personne aimée.
Aimer c’est vouloir le bien de l’autre.
La passion est plus forte que l’envie physique.
Celui qui trouve le désir intérieur n’a besoin de rien d’autre, mais qu’elle bataille car on est tout le temps sollicité par les valeur de la société. Il faut renoncer a tout ça pour trouver le désir intérieur : c’est la perle rare, c’est pas par la force qu’on y accède, c’est par l’éveil. 
La volonté de puissance est immanente. C'est l'imagination qui présente à la volonté: la passion comme étant le bonheur Si la volonté veut se libérer pour attendre son bien propre pour atteindre le bien en soi le désir se développe en s'affirmant car si je développe dans la réalité. La conscience de Dieu dépend d'un être extérieur à lui . Tandis que Dieu ne peut que persévérer dans la persistance de lui même. Le désir s'identifie avec la puissance de Dieu chez Spinoza c'est en passant par l'immanence toute les modalité d'être. L'acte par lequel s'opère ce passage de l'immanence à a transcendance est le désir. Dès lors les réalité qui s''opère hors de la conscience de Dieu n'ont pas d'existence en elle même. Elles ne sont que des modalité , panthéisme Dieu est tout, chaque être conscient de lui n'est qu'une parcelle de la divinité. Conséquence : il n'y a plus de langage, plus de parole ne s'échange entre deux existants; à la façon de la phénoménologie : il n'y a plus de parole en moi . Si chaque personne n'a plus une âme par laquelle il se différencie dans son existence de Dieu , il n'y a plus de dialogue entre Dieu et moi. Le but de l'homme va être de se soustraire à l'homme et à l'influence des causes. En pensant le bien qui est dans chaque réalit&eacut...

« celui de Descartes, il est confus mais directement adéquate a la perception du réel.

Quand je dis «moi» c'est une réalité.

Le réel n'est peut être aussi près.

Si on dissocie l'animal qui est en nous , alors on est dissocié a notre corps/ a moi car c'est mon âme qui l'imprègne de sa subjectivité.

L'expérience d'être une personne c'est aussi mon âme , si je rejette mon corps alors je rejette mon âme.

Deuxième degré d'intentionnalité: je vais vers le réel.

Les amis nous permettent de nous connaître nous même.

  On va peu à peu se mettre à porter notre regard sur cette intériorité qui est la notre l'attrait pour la vérité s'atteint par la recherche . Ce regard porté sur l'intérieur de nous réfléchis tous nos état subjectif et en particulier un état qui est un obstacle pour la vérité : la passion , car elle se greffe sur des fantasmes (passion = cristallisation) La conscience manifeste le pouvoir d'efficience de la volonté, je suis moi-même la cause de mon acte mon acte ne dépend pas de ma volonté Ce pouvoir réflexif de la conscience manifeste le pouvoir efficient de la volonté.

  Je suis dans la présence du moi à l'intérieur de l'âme 
La faculté s'identifie avec notre propre personne 
Découvrir notre personnalité c'est chercher du coté de l'être, l'appétit.
L'homme se découvre un objectif : la liberté : l'acte volontaire.

« Nous avons le sentiment intérieur de notre volonté » = cet assentiment à la volonté.

Donner notre assentiment au fait que nous pensons, cela nous défini, mais ça ne dis pas qui nous sommes, alors que donner notre assentiment au fait que nous pouvons nous engager.

Il ne suffit pas de s'abstraire de tout motif pour vouloir : c'est la première étape de la compréhension de la volonté.


On a pu penser que la volonté c'est la capacité de choisir de poser un acte sans aucune raison objective de le poser, mais la seule justification de cet acte serait de se prouver à sois même qu'on est libre.

Si je nie que dans la conscience il y a un regard sur une sagesse/ une rationalité alors la volonté est suspendue dans l'attente d'exprimer son existence par un acte complètement immotivé.

La volonté n'est alors plus considérée comme une volonté mais comme un pouvoir et alors la volonté va dans cet arbitrage.

La volonté d'indifférence : c'est la. »

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