Devoir de Philosophie

Qu'est ce que la Philosophie ?

Publié le 22/02/2012

Extrait du document

philosophie
1. Les premiers penseurs grecs ou présocratiques : C'est au Vè siècle av JC, que le mot philosophia apparaît dans la langue grecque. Av. ils ne sont pas employés ni connue comme telle. Philo = aimer et Sophia = savoir/sagesse. Mais av. le Ve siècle av JC → Hô considérés comme les 1ers penseurs grecs (Pythagore ; Thales). Considérés comme 1ers philosophes → Hô disposés pour expliquer et comprendre le monde dans lequel ils vivaient de légendes, de mythes et de religions. Grâce à ces outils ils avaient une représentation expliquant la réaction du monde, de l'Hô et des peuples. Rupture avec les mythes, les religions, croyances populaires que les 1ers penseurs vont initier une Nouvelle démarche de réflexion et de connaissances. En mettant l'accent sur l'étonnement, moteur 1er de la rech philosophique d'Aristote met en lumière ce qui est au départ le désir de philosopher. S'étonner = capacité à s'émerveiller devant le spectacle du monde : monde physique et humain mais aussi reconnaître que l'on a un même pouvoir sur la beauté au monde et ses mystères. → Tentative malgré de son non savoir de recherche, d'enquêter pour tenter de comprendre, d'expliquer tout ce qui se donne à nous dans le monde. → Démarche des 1ers penseurs philosophiques qui vont mener une enquête dans le but d'expliquer les phénomènes et réalités physiques de ce monde. Désormais c'est leur raison humaine (faculté de penser) qui a pour mission de déchiffrer les mystères du monde. Utiliser leurs raisons pour penser et connaître → ce sont des philosophes. 2. C'est au Ve siècle av JC que l'activité philosophique va naitre et se définir : La philosophie se rapporte à la culture intellectuelle et générale, pratiqué la philosophie à cette époque c'est avoir le goût à la spéculation démocratique et des 1ers penseurs. C'est avoir de l'intérêt pour les sciences naissantes, c'est aussi s'intéresser à la théorie du langage enfin à la morale et à la politique. Philosopher = chercher à connaître les choses en vérité. Comment la notion Sophia faisait-elle sens pour les grecs ? Il y avait des prêtres, devins et sorciers qui avaient accès à certaines réalités pourtant visibles aux yeux des autres H. De tels H qui possédaient 1 savoir par rapport aux autres, faisait d'eux des sages. Il y avait d'une part dans le Sté grecque des sectes sages (Thales, Solon) mais aussi des sophistes. Les sophistes étaient des profs, des savants qui allaient de ville en ville enseigner aux jeunes gens riches les avoirs de l'époque et prétendaient leur apprendre les arts de la rhétorique. Ils se faisaient payer. Lorsque Socrate déboule sur la scène philosophique avec ses concitoyens, il se présente comme 1 philosophe et refuse d'être considérer autrement. Il n'a pas de savoir mais il est là pour enquêter et découvrir la vérité → c'est révolutionnaire car elle remet en Question la conception du savoir et de la vérité. → Plutarque a exprimé l'idée qu'il ne faut pas forcément du haut d'une chaire pour philosopher, il prend l'exemple de Socrate. Il fut le 1er a montré que la vie quotidienne donne la possibilité de philosopher.
philosophie

« intellectuellement il ya 1 rapport de soumission et de domination. La démarche de Socrate va remettre en Question un tel schéma de la connaissance.

D'abord Socrate montre qu'il ya différentes forme de degré de non savoir :- L'inconscience animale : privé totalement de savoir.- Chez l'humain : on peut avoir acquis des savoirs et pourtant ne rien penser qui ne vaille. Le doute peut permettre de montrer que ce que l'on croyait savoir ne relevait que du domaine de l'opinion de lacroyance et du préjugé.

Tout ce que l'on a appris doit être vérifié.

Le doute nous met sur le chemin d'1 véritablequestionnement, d'1 réflexion personnelle.

Toute connaissance doit être soumis à l'examen d'une réflexion critique età l'effort de jugement posé → c'est ça philosopher pour Socrate. III.

La conscience de soi et le sujet en question : 1.

Mise au point terminologique et travail de définition : C'est à partir du XVIIIe qu'on trouvera une philosophie de la conscience.

Mais en définissant la pensée comme «intériorité » Platon a déjà les bases d'1 philosophie du sujet. 1.a) Mise L'intériorité de la pensée : « La pensée est 1 dialogue intérieur et silencieux de l'âme avec elle même : L'être humain est représenté par 1 corps ce qui nous permet d'être reconnue par les autres.

L'H est lié au monde parla naissance naturelle et biologique.

Cette dimension corporelle et matérielle de cette existence conditionne notrevie d''H.

D'1 autre côté, en nous même nous découvrons 1 capacité de penser de vouloir et d'agir pour nous mêmeen notre nom propre « je ».

Penser pour l'H, c'est se savoir exister.

Cette conscience de soi, se donne à nous dansl'évidence intérieure.

Par la conscience nous faisons l'expérience intérieure de cette présence à soit.

Notre penséeet âme parvient à se saisir elle-même et à se concentrer sur elle-même quand elle se coupe un peu du monde etqu'elle se détache des sollicitation du corps.

Il peut y avoir 1 vie mentale → vie de la pensée.

Par laconscience, l'H peut entrevoir qu'il est doté d'1 raison et de penser et que par la même, il peut être appelé versd'autres horizons intellectuels, moral et spirituel. 1.b) La notion de « sujet » et la conscience de soi : « sujet » = latin sub-jectum = placé / jeté.• Au sens classique, le mot désigne l'ind soumis à l'autorité → celui qui s'impose à 1 obligation ouencore tous les citoyens sont sujets de la loi.• Au sens moderne, le mot « sujet » caractérise l'existant conscient de soi capable de saisie son existenceet de se désigner lui-même, « je ».

La notion de sujet renvoie à cette être qui pense et qui en même tps se pensepensant.

A ce stade de réflexion, 1 série de question se présentent : Qui est le « je » ? L'ind conscient qui porte savie à « je » est-il vraiment la cause libre et autonome de ses action ? Est-il en mesure de déterminer pour lui-mêmese qu'il pense ? Penser désigne l'ens d'activité et d'opération intellectuelles et scientifiques = opération de la connaissance quetoute intelligence peut effectuer.

Penser c'est aussi réfléchir par soi même et de se désirer de se voir soit même entrain de penser.

L'acte de penser est 1 activité intérieur et silencieuse qui implique la mobilisation du corps →Méditation.→ La conscience (latin : cum-scientià) désigne la connaissance et par soi.

Elle est la condition deconnaissance de toute chose hors de moi.

C'est elle qui nous donne les moyens de penser et de connaître qlqchose.Quel est donc cet être qui pense, qui veut, qui agit ? En disant « je » il parle de soi, pour René Descartes, c'estl'évidence de la conscience de soi.

Je suis 1 chose qui pense, « je pense », « j'existe » est considéré comme la 1erevérité indubitable.

La 1ere vérité indubitable est celle d'1 sujet pensant, d'1 être conscient de soi qui dis «je » enparlant de soi et qui se pose dans l'existence à ce titre de sujet.

L'H est 1 être de raison, 1 être capable deraisonnement et de réflexion, 1 être raisonnable. 2.

Le cas Eichmann et la banalité du mal : Mise en question de la relation de soi : Quand 1 pers se voit soi même, il est dans 1 distance à soi même, il fait l'épreuve qu'il est double en lui.

Moi et moi-même → il ya dans mon identité même un 1 dédoublement comme le dira Hannah Arendt.

Dans la présence àsoi, il ya 1 distance à soi.

Peut être que cette expérience du 2 en 1, que le remord, le doute, la honte, l'angoisserenvoient finalement à 1 dialogue intérieur et silencieux de l'âme avec elle-même = racine de la conscience et de lapensée. Analyse de la pensée d'Hannah Arendt dans le texte sur le cas d'Eichmann et la banalité du mal : Hannah Arendt , philosophe juif allemande, publie 1 ouvrage intitulé Eichmann à Jérusalem est sous titré rapport à la. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles