Pouvoir et droit ?

« Sans institutions , il ne peut pas y avoir de liberté -~[·]~1 Seul le droit, qui garantit une égalité formelle entre les citoyens , autorise l'exercice réel de la liberté.

Il faut donc obéir au pouvoir, qui maintient l'ordre et sauve la liberté.

Mais cette obéissance ne doit pas être une soumission aveugle.

Institutions et lois l'o n n 'empiétera pa s sur primauté de la politique contrôlent la liberté des citoyens, au sur l'économie et opter le pouvoir nom d 'idéaux collectifs pour l'organisation des D evant la puissan ce déclarés indiscutables .

pouvoirs co ntr e l'o rgani - de l'État , l'individu sation du travail.

Le réalisme n'a pas à faire recours à politique exige Il faut faire autre chose qu'à la libr e le respect de la loi sans croire expression de sa pensée ..

n'y arien de pka facle que c' est par ce qu e les La vig ilan ce politique, d'ob61r 6 ..

force de police .

conflit s so nt iné - c'es t dissocier 1 'ap - t:onfre est -.ré et la liber - vit ables qu 'il faut cul- probation et le respect du té de chacun est sauvée en tive r le dr oit .

On doi t pouvoir, de la néc essaire .,..,.

temps..

Alain , vouloir la réduction des ob é issan ce qu 'impose Le Citoyen contre inégalités et, pou r ce la, l'ordre.

Il faut se d élivr er les pouvoirs m ettr e en œuvre de s loi s de «cet te idée qu 'il faut allant dans ce sens, tout approuver avant d'obéir» et à son suffrage de ci- en veillant à ne pas sa- (Alain , Propos du 6 mai toyen.

Instituti o n s et crifier la lib erté d es in- 192 3).

Le bon cito yen a lois serven t à s é par er, dividus.

Il ne faut pas Jâ- p r omis d'ob éi r, mai s d é limite r e t c ontr ôler cher la proie (la libe rté) ne se cro it pas oblig é l e s p ouvoir s.

Le respect po ur l'ombre (l'égali t é « d 'accl am er, d 'app ro u- des formes institu tion- universelle).

C'est pour- ver, d 'aim er» (Alain, Pro- ne lles est la garantie que quoi il faut acco rder la pos du 5 déce mbre 1923).

Il n'y a dan s l'obéissa n ce que la pure volo nté d'obéir.

Obéi r n'es t d o nc pas con traire à l 'indépe nd an ce d'es pr it d ès que l'on a compr is qu e l' ob éissance est gar an tie de séc urit é, donc de libe rté.. »