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LES PRINCIPAUX FAITS DE L'HISTOIRE DU XIXe SIÈCLE EN FRANCE

Publié le 29/06/2012

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histoire

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« Campagne de Russie ( 1812).

Campagw• dr 11113.

Campagne de France.

1-'abdication ( 1814).

Les Cent jours.

Waterloo ( 181.5).

Louis XVIIJ ( 1814-1824).

Charles X ( 1814-1830).

Louis Philippe fer (1830- 1818).

7H Napoléon passe le Niemen ( 1812).

li attoünt et défait Koutousov à Boro­ dino; il pénètre dans Moscou incendiée.

Vaincue pourtant par le climat, l'armùP en retraite est décimée au passage de la Bérésina.

L'empereur juge alors que son retour en France s'impose.

Mais il ne tarde pas ù reprendre les armes et ouvre la campagne de 181:3 par les victoires de Bautzen et Lutzen.

C'est alors que les alliés, auxquels se joignent la Suède, l'Autriche et la Prusse parviennent à l'obliger à battre en retraite après sa défaite à Leipzig.

La France est envahie.

Napoléon déploie tout son génie dans une dernière campagne (Montmirail, Champaubert, ete.), ruais le Sénat proclame sa déchéance et rappelle les Bourbons (1814).

L'Empereur abdique en avril :1 Fontainebleau.

On sait qu'après s'ètre retiré i• l'ile d'Elbe, il reparut l'année suivantP à Cannes et bientôt à Paris.

Il parvint à reprendre les armes contre la coalition et à lmttre les Prussiens à Li.qny.

Il est cependant vaincu par Wellinf{ton à WaltJr/no.

Il abdique alors pour la seconde fois et est déporté à Sainte-Hélène où il mourra six ans plus tard (1821) à 52 ans.

Le comte de Provence, frère de Louis XVI, prit le pouvoir sous le nom de Louis XVIII.

Ce fut un prince libéral et éclairé, qui fit de son mieux pour établir un r(•gime constitutionnel.

Malheureusement, son second retour en France, il la suite des Cent .Jours et de l'échec de Napoléon, fut marqw' par des répressions sanf{lantes, telles que l'exécution de Brune et de Ney; d'autre part, Louis XVIII eut à lutter durant tout son règne contre le parti des anciens émigrés qui se donnaient pour chef le comte d'Artois, son propre frère, qui devait lui succéder en 1824 sous le nom de Charles X.

Son avènement fut signalé par un retour offensif du parti des ultras vers les idées de l'ancien régime.

Le ministère Villèle proposa le rétablisse­ ment de la censure et l'affectation d'un milliard il l'indemnisation des émigrés.

Il fut suivi d'un ministère Martignac de tendance plus modéré, puis d'un ministère Polignac qui accentua encore le malaise qui divisait l'opinion publique en promulguant des ordonnances nettement inconsti­ tutionnelles : cc fut la cause des émeutes des 27-28 et 29 juillet 18:30 qui obligèrent Charles X à abdiquer ainsi que son fils aîné et à s'exiler·.

Cette mème année, la France était intervenue par la victoire de Navarin en faveur de l'indépendance de la Grèce, et avait, été amenée à prendre les armes contre le dey d'Alger qui avait insulté notre ambassadeur.

Cette expédition s'était terminée par la prise de la ville.

Charles X ne mourait pas sans postérité; mais son fils aîné renonçant à régner, la succession devait appeler au trône le comte de Chambord fils posthume du duc de Berri qui avait.

été assassiné en 1820.

On n'en fit pas moins appel au duc d'Orléans, 56 descendant direct de i'clonsieur, frère de Louis XlV.

Ce dernier, qui régna de 18:30 à 1848 sous le nom de Louis­ Philippe 16', était colonel en 1785 et s'était distingué à Jemmapes et à Valmy, après avoir souscrit aux principes de la Hévolution.

C'est ain;;i qu'il avait été écarté de la cour par Louis XVII l, comme flls de Louis-Philippe Egali!é qui avait voté la mort de Louis XVI.

Louis-Philippe se distingua par une grande modération et de hautes capacités.

Libéral, il honora la mémoire de Napoléon par le retour de ses cendres.

Il réforma le code pénal et créa l'instruction primaire.

Il respecta la constitution, maintint l'ordre et sut donner à la France quinze années de prospérité.

Il refusa pour son tîls la couronne de Belgique et c'est sous son règne que se réalisa la conquête et ·la pacilication (le toute l'Algérie.

En dépit de sa modération, Louis-Philippe se vit reprocher de ne pas avoir été assez libéral et il eut il subir sept attentats.

Des réformes désirées dans le système électoral et les institutions parlementaires n'ayant pas reçu une solution assez rapide, il fut obligé, comme son prédécesseur, d'abdi­ quer en faisant place pour quatre années (48-52) à un gouvernement répu­ blicain.. »

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