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Progrès technique et croissance

Publié le 06/06/2011

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technique

Les deux grandes problématiques de la discipline sont celle de la croissance et celle de la technologie. La croissance économique concerne la hausse de la production a long terme. Le progrès technologique accélère le progrès économique.

3.1 La croissance économique

Elle relève de quatre origine et ce caractérise par les noms des auteurs qui les on mis en évidence :

-          La croissance smithienne : elle résulte de l’intensification de la division du travaille lié à des échanges élevé. Selon Adam Smith et David Ricardo, le développement du commerce favorisé par l’apparition d’une bonne monnaie, la sécurité des affaires grâce à la stabilité politique, l’application du droit international et le progrès du transport, conduit à une meilleur allocation des ressources, un accroissement de la productivité et donc à la croissance économique.

technique

« 3.2.1 La théorie Marxienne. Le féodalisme à été un système progressiste jusqu’en l’an 1 300.

La société féodale ce caractérisait par une hausserégulière de la productivité, de la croissance démographique et de l’accumulation du capital.

Les contradictionsentre les tenanciers et les seigneurs créent une situation de crise économique.Les relations féodale ce démantèlent graduellement du 15 ème au 18 ème siècle.

Les sociétés occidentales transitent vers le capitalisme.

Celui-ci s’explique par l’extension des échanges à l’échelle internationale, le développement desvilles, lieu de liberté et d’échange.

Les relations de marché prennent le pas sur les relations féodales.

Au 17 ème siècle, l’évolution de l’agriculture, la mutation du paysage rurale par le mouvement des Enclosure conduise àl’extension de nouveaux systèmes de relation sociale : le salariat.

On retiendra que les changements démographiqueet technique n’on pas entrainer d’évolution systématique.

Les bouleversements dans le processus relations socialessont à l’origine développement capitaliste.

Car les travailleurs étant séparé des moyens de production ne peuventvendre que leur force de travail. Les artisans et leurs ateliers sont progressivement remplacés par l’usine.

La production de masse permet uneexploitation sur une grande échelle, les innovations technologiques sont introduites constamment, et ellesdeviennent des facteurs de croissance. 3.2.2 La théorie schumpetérienne. Selon Schumpeter, le capitalisme animé part les entrepreneurs innovateurs ce caractérise par un changementpermanent de nouveau produit, de nouveau marché, des progrès dans les processus productifs et dans les modesd’organisation.

Les progrès sont discontinus car il s’agit de rupture par rapport aux procédés anciens, demodification qualitative, les innovations s’effectuent par grappes, une découverte annonce d’autre découvert.

Desimitations sont possibles et entrainent des applications multiples.

A la fin du 18 ème siècle, c’est la 1ere révolution industrielle (machine à vapeur).

Le milieu du 19 ème siècle c’est la 2 nd révolution industrielle (chemine de fers, électricité et mécanique), ensuite le milieu du 20 ème siècle c’est la 3 ème révolution industrielle (la chimie, les mutations techniques sur l’information et la communication, l’espace et surtout la génétique) Schumpeter à repris l’analyse de Simiand, en donnant une application des signes :- Les phases d’élévation de la croissance sont du à l’arrivé d’innovation : cas de l’innovation dans le coton, leschemins de fers et l’automobile- Les phases de chute de la croissance qui sont dut à des période de creux technologique : creux entre les textileet le chemin de fers, ou entre les chemins de fers et l’automobile (1870-1885), ou encore avec le généralisation desbiens de consommation durable (1925-1945) 3.2.3.

La théorie de Karl Polanyi Polany s’intéresse au marché en vue de son mécanisme d’autorégulation.

Les relations économiques ont étéimmergées dans les relations sociales jusqu’au 19 e siècle et ce n’est qu’à partir de la révolution industrielle que les facteurs économiques deviennent dominants.

Ainsi dans la société capitaliste ils sont autonomes, désengagés desrelations sociales ; ce mouvement constitue un changement fondamental conduisant à l’avènement de la société demarché.

La société de marché se caractérise par la monétisation progressive des facteurs de production : la terre, le travail, le capital sont objet d’échange.

Leurs prix varient sur les marchés selon l’offre et la demande.

SelonPolanyi les causes s’expliquent par le mouvement des enclosures d’une part et les grandes découvertes du 15 e siècle d’autre part. - Les enclosures : ce mouvement commencent en Angleterre, il réside dans le fait que les propriétaires clôturent les terres.

Il s’agit au départ des terres à pâturage destinées à l’élevage des moutons pour produire de la laine.Enfaite ce sont les seigneurs qui prennent conscience de l’importance de la richesse que procurent la vente deslaines vers les villes et son exportation vers les centres textiles.

Pour réaliser cette richesse il faut bien gérer lestroupeaux et par conséquent clôturer. Le résultat de ce mouvement est intéressant à double titre : 1erement les terres deviennent mieux indentifiablescomme propriété d’une personne et vont commencer à être vendue.

Cela renforce l’importance de la terre commefacteur de production, celui-ci est échangeable sur un marché.

On passe dès lors du féodalisme au capitalisme agraire .

Enfaite chez les féodaux la terre représente le pouvoir et le prestige, elle est exploitée sous forme de champ ouvert, collectif appelé openfield.

Elle est rarement vendue.

2ement les enclosures entrainent un exode rural despaysans qui sont chassés des terres d’autant plus que la gestion des troupeaux exige une main d’œuvre moinsimportante que la culture.

Ainsi le travail apparait comme un facteur de production à vendre sur un marché.. »

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