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Quels sont les traits spécifiques du « nouveau monde productif » de nos temps modernes ?

Publié le 19/08/2012

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On peut donc reprocher au capitalisme de faire travailler plus ses employés et non pas céder au crainte des sceptique qui voient en ce dernier la fin du travail. Pour illustrer ce surplus de travail, certains managers, fortune faite, abandonne sans hésitation leurs responsabilités pour s’adonner à des activités moins prenantes.  Le rapport entre capital financier et capital humain, un nouveau rapport humain, peut être social s’établit dans le « nouveau monde productif «. Mais en quoi consiste t-il ? Il est vrai qu’en entrant dans nos temps modernes, l’état a pris une part importante dans la gestion des institutions, ainsi nos temps modernes sont perçus comme l’époque des rapports sociaux. Mais notre société qui prône l’enrichissement personnel et abandonne a l’état la gestion du « social «, a-t-elle un recourt fasse a une maladie grave, ou a un directeur d’école refusant un enfant. L’entrée dans ce monde au capital financier dominant, a la flexibilité pressentie comme une nécessité n’est il pas des plus démunie fasse aux droits que l’on pourrait considéré comme naturel, le droit à l’éducation, à la santé.  Notre monde moderne demeure donc tiraillé, entre capital et social, malgré l’intervention de l’état et l’acquisition de condition de vie plus ou moins satisfaisantes.    Ces quelques éléments non pas d’oppositions face à notre « nouveau monde productif «, mais de mise en garde, nous montre que malgré l’aisance que l’abandon du fordisme nous procure, beaucoup reste à faire pour entrée dans une ère d’autosuffisance.

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« plus en plus présent pourrait faire tendre les sceptique vers cette voies.Ainsi cette flexibilité du travail, cette autonomie conduit la société à une course à l'enseignement, ainsi il ne reste que peu de place pour les employés non qualifiés.On pourrait voire notre société comme un monde productif, qui paie mieux ses employés par exemple, mais a payé sept fois plus ses salariés, le système capitaliste lesfait également travaillé sept fois plus.

Une nouvelle forme de stress, plutôt psychologique apparaît.

Le « nouveau monde productif » responsabilise trop sestravailleurs, l'autonomie tant souhaitée remplace la fatigue de l'activité rébarbative du travail à la chaîne.On peut donc reprocher au capitalisme de faire travailler plus ses employés et non pas céder au crainte des sceptique qui voient en ce dernier la fin du travail.

Pourillustrer ce surplus de travail, certains managers, fortune faite, abandonne sans hésitation leurs responsabilités pour s'adonner à des activités moins prenantes.Le rapport entre capital financier et capital humain, un nouveau rapport humain, peut être social s'établit dans le « nouveau monde productif ».

Mais en quoi consistet-il ? Il est vrai qu'en entrant dans nos temps modernes, l'état a pris une part importante dans la gestion des institutions, ainsi nos temps modernes sont perçus commel'époque des rapports sociaux.

Mais notre société qui prône l'enrichissement personnel et abandonne a l'état la gestion du « social », a-t-elle un recourt fasse a unemaladie grave, ou a un directeur d'école refusant un enfant.

L'entrée dans ce monde au capital financier dominant, a la flexibilité pressentie comme une nécessité n'estil pas des plus démunie fasse aux droits que l'on pourrait considéré comme naturel, le droit à l'éducation, à la santé.Notre monde moderne demeure donc tiraillé, entre capital et social, malgré l'intervention de l'état et l'acquisition de condition de vie plus ou moins satisfaisantes. Ces quelques éléments non pas d'oppositions face à notre « nouveau monde productif », mais de mise en garde, nous montre que malgré l'aisance que l'abandon dufordisme nous procure, beaucoup reste à faire pour entrée dans une ère d'autosuffisance. L'univers économique fordiste était à l'agonie, une nouvelle organisation du « monde productif » était donc plus que nécessaire, puisque les soixante-huitards l'ontréclamé a travers toute la planète.

Dans certains pays plus que d'autres, le rejet du totalitarisme paternaliste et hiérarchique était la condition sine qua non à l'entréedans une ère ou le capital humain prend toute son importance.Les traits spécifiques du « nouveau monde productif » de nos temps modernes, tiennent au fait que l'intérêt individuel n'est pas relayé au second rang, vouloir unevoiture rouge, ou se promener en écoutant de la musique est important, l'imaginaire humain est comblé.

Mais ce monde à des limites, et comme le disait North ladernière étape a une bonne organisation est d'institutionnalisé le « nouveau monde ».Il se faut de peu pour que nos temps modernes offrent au plus grand nombre une vie agréable, et comme le pensait Hannah Arendt, peut être voire apparaître unmonde libéré « du fardeau du travail et de la nécessité de l'asservissement ».. »

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