Qu'est ce qui définie la politique étrangère américaine ? Et quels en sont les fondements ?

« doctrine se divise en 3 principes :1.

La doctrine Bush prône le principe de guerre dite préventive contre tous les états « voyous ».

Ce type de guerre consiste à attaquer stratégiquement avec quel’adversaire attaque et inverse l’équilibre des puissances.

La guerre préventive consiste à dire qu’un conflit futur est inévitable mais pas forcément imminent.

Cettedoctrine donne le droit aux Etats-Unis de légitimé leur défense préventive.

Elle vise à limiter le terrorisme et le danger potentiel de certains pays ennemis desaméricains.

Ont à déjà utilisé ce droit d’intervention à Cuba ou encore en Lybie.2.

Il faut maintenir la suprématie militaire des Etats-Unis dans le monde.3.

Il faut développer la coopération internationale des droits de l’homme et de la liberté, afin de pourvoir refonder le monde arabe c'est-à-dire le nouveau GrandMoyen Orient.

Cette doctrine se veut promouvoir la paix et la prospérité.La doctrine Bush sera reprise lors de son discours le 4 Avril 2004 au congrès américain.

Cette doctrine qui peur s’avérée assez brutale et violente s’est assouplie àpartir du second mandat de Georges W.

Bush.

Par le biais de cette doctrine le président Bush fils va instaurer une politique de lutte contre le terrorisme, il va aussiessayer d’établir un bon entendement avec les grandes puissances du monde. III.

la politique étrangère des Etats-Unis face au reste du mondeC'est en 2000 lors de son second mandat que Georges Bush insiste plus sur la politique étrangère.Ce sont les attentats du 11 septembre qui seront l'élément déclencheur d'un politique « hyper-interventionniste ».

C'est toujours un discours moral et religieux quijustifie les multiples interventions des États-Unis.

Les États-Unis sont entrés en guerre contre «l'axe du mal ».

Cette guerre contre « l'axe du mal » a provoqué defortes critiques politiques aussi bien à l'étranger que sur le territoire américain.

La politique étrangère américaine est fondée sur le rôle de défendre avant tout lesintérêts américains.

Les grands spécialistes de la politique américaine s'accordent à distinguer deux grands héritages fondamentaux : le réalisme représenté parThéodore Roosevelt et l'idéalisme du Président Woodrow Wilson.Le premier héritage est la vison réaliste du dixième président des Etats-Unis qui consistait à considérer les États-Unis comme des entités égoïstes défendant chacuneleurs intérêts.

Les États-Unis étaient déjà une nation expansionniste et interventionniste.

Le gouvernement évoquait « un pouvoir de police international pour réprimerles déviances, mais non pour propager le modèle américain.

»Quant à Wilson, il voyait les relations internationales comme étant pacifique et harmonieuse grâce à l'obéissance de chaque États des règles internationales mises enplace.

Il prône une « communauté de puissance ».

La diplomatie européenne fut d'ailleurs remise en cause car jugée trop « secrète ».

C'était un véritable jeu de latransparence qui devait être mis en place dans les relations internationales selon le Président Wilson. 1920-1950Après la Première guerre mondiale l'opinion américaine décide de se reposer sur la paix retrouvée.

Tous les moyens sont mis en œuvre pour maintenir ce contextepacifique en passant par un simili-retrait des américains dans les affaires européennes.

Cependant ce retrait ne fut que relatif car ils s'occupaient tout de même desmodalités de remboursement des prêts que les État européens avaient contracté.

Avec la crise économique de 1929 la politique étrangère fut d'autant plus mise decôté.

Avec le New Deal une vague d'isolationnisme déferle sur les États unis alors que les crises internationales se multiplient.C'est le début de la deuxième guerre mondiale, Roosevelt engage progressivement son pays au nom de la défense de la démocratie.

C'est suite à cette guerre et àl'influence wilsonienne que des grandes organisations telles que l'ONU sont créées.

Ces organisations ont pour valeurs le respect de la démocratie et des droits del'Homme, le libéralisme sur le marché et le règlement pacifique des conflits.

Autant de valeurs d'origine américaines élevées sur la scène internationales.

Par ailleursavec la création des Nation Unis les états unis deviennent l'un des « cinq gendarmes » aux cotés de la Grande Bretagne, de la France, de la chine et de l'URSS. 1950-1990C'est le contexte très particulier de la Guerre Froide qui contraint une nouvelle politique étrangère américaine.

A la fin de la Seconde Guerre Mondiale l'URSSémerge comme la seconde puissance mondiale après les États Unis.

Elle profite des bouleversements de l'après guerre pour imposer son modèle en Europe et en AsieOrientale.

C'est un véritable rapport de force entre les deux puissances.

La théorie de politique étrangère déclencha la Guerre Froide dite de « l'endiguement ».

LesÉtats-Unis, pour contrebalancer face à l'URSS, créèrent le plan Marshall qui constituait une aide économique pour les pays en reconstruction après la guerre.

Lorsqueles moyens financiers ne suffirent plus pour trancher les pays s'affrontèrent militairement, comme ce fut le cas durant la guerre de Corée (1950-1953).Dans ce contexte la théorie réaliste fut prépondérante.

Celle ci implique une stabilité internationale reposant sur l'équilibre des forces et non pas sur la violence.

LesÉtats Unis mirent alors en place une politique de dissuasion.L'acquisition de l'arme atomique par l'URSS rendit l'affrontement improbable.Lors de son arrivée au pourvoir en 1969, le républicain Nixon appelle a ses cotés Henry Kissinger pour s’occuper des affaires de sécurité nationale.

Ce duo mènera àla politique la plus réaliste de l'histoire des États Unis.

L'idée consiste à fonder des alliances stratégiques avec l'autre grand pays communiste qu'était la Chine.

Ce sutun grand succès diplomatique qui mena à « la détente ».

Nixon et Kissinger en pratiquant ce réalisme poussé bouleversèrent les données de la politique étrangèreaméricaine pour une courte durée.

En effet, avec l'arrivée du démocrate Carter en 1977, les États unis renouent avec la tradition américaine mêlant morale etpolitique.

C'est une nouvelle bataille que les États Unis mènent face au monde, celui du respect des droits de l'Homme.

C'est une politique d'ouverture et de séductionqui est pratiquée, la « coexistence pacifique » notamment avec l'Union soviétique.

L'invasion de l'Afghanistan par l'URSS en 1979 marqua la fin de cette politique etle retour à la politique de « Containment ».A son arrivée au pouvoir le Président Ronald Reagan incarna la synthèse des courants idéaliste et réaliste.

D'une part il entraine l'URSS dans la « Guerre des étoiles »consistant à armer les opposant au communisme en gagnant l'opinion public grâce à des termes tels que « l'empire du Mal » ou « la confédération des états terroristes».

Par ailleurs il développe une lutte pour la diffusion de la démocratie dans le monde.

En mêlant dans ses discours des idées de puissance et de morale Reaganconstruit une véritable « morale stratégique américaine ».

Reagan marque la fin du multilatéralisme en agissant seul et unilatéralement.

IL dédaigna les institutionsinternationales qui avaient intégré depuis les années 1960-1970de nombreux pays du Tiers monde peu favorable au États-Unis.Ce dédain à l'égard des institutions allait s'accroitre dans les années suivantes. 1990-2000C'est le président Georges Bush qui entraina les Etats-Unis dans un nouveau contexte mondiale.

La Guerre Froide terminée, ils avaient le statut d'unique grandepuissance.Le Président s'engagea à tisser de nouveaux liens avec l'ancien ennemi russe.

Il lança le concept de « Nouvel ordre mondial ».

En se basant sur le respect du droitinternational et des grandes institutions de coopération.

C'est en parti au nom de ce nouvel ordre mondial que les États-Unis s'opposèrent à l'invasion du Koweït parl'Irak en 1990- 1991 et ce dans le cadre d'un politique multilatéralisme car cette coalisions s'était constitué dans le cadre officiel des Nations Unis.

Cependant cetteguerre dite « Guerre du Golfe » eut des conséquences désastreuses dans le début du XXIe siècle à cause de la présence des américains sur les terres saintes de l'islamet l'évidence suprématie militaire et économique des États-Unis.

Ces faits révélèrent au monde entier que l nouvelle aère de la politique étrangère des États unis, ilsétaient désormais perçus comme les nouveaux « gendarmes du monde ».A son arrivé au pouvoir Bill Clinton favorisa le soft power.

Il construit une politique de soutien aux pays les plus « prometteurs » dans le monde.

C'est à nouveau unepolitique de séduction qui est mise en place.

Il devint de plus en plus unilatéralistes dans ces rapports à l'international.Puis George W.

Bush fut élu.

Il convient de souligner son faible investissement dans la politique étrangère à son arrivée.

Mais les attaques-attentats du 11 septembre2001 provoqueront un immense changement de stratégie internationale des États-Unis.

Avec son gouvernement le Président cherche à façonner le monde à l'imagedes valeurs américaines.

Le 11 septembre a été un élément déclencheur d'une nouvelle forme de conflit, celle d'une superpuissance contre ce que G.

W.

Bush désignecomme « l'Axe du Mal ».Mais c'est l'arrivé du Président Obama qui bouleversera considérablement la politique étrangère des États-Unis.

Derrière le célèbre slogan « Yes we can » Obamaimagine un monde dans lequel l'arme nucléaire et sa prolifération ne seront plus une fatalité.

C'est un gouvernement pacifique qui est mis en avant avec un véritableretour en arrière sur les mesures adoptées par G.

W.

Bush.

La fin de la guerre en Irak, les négociations avec l'Iran, autant de mesures qui sont jugées « naïves » et «mal préparées » par le camp d'Hillary Clinton.

Le vendredi 9 Octobre 2009 le président Obama obtient le prix Nobel de la paix, après seulement dix mois de mandat,pour ses efforts en faveur du renforcement de la diplomatie et de la coopération internationale entre les états. Pour conclure, la politique étrangère des Etats-Unis est fondée sur une puissance militaire, économique et politique.

Aujourd’hui le président actuel des Etats-Unis,. »