Devoir de Philosophie

Relations internationales

Publié le 15/11/2011

Extrait du document

La tutelle belge fu confirmé par l’Organisation des Nations Unis au lendemains du second conflit mondial. La Belgique conservé un pouvoir de gestion, mais devait prévoir a terme l’accession a l’indépendance. En 1952, l’administration rwandaise est dotées de nouvelle structure susceptible de contenter les espoir hutus. Ce n’est qu’un leurre, ces structures n’ont qu’ une mission consultative et leur représentativité ethnique est très faible. Les 1er élection organisé vont provoquer le ressentiment hutus. Alors qu’ils représentent 60 % des votants, ils restent systématiquement minoritaire dans les institutions national.  Les années 1953 et 1954 sont considérées comme des années charnière pour le pays. Les conseillers belge sont remplacé par des conseillers pro Hutus. Les tutsis conscient de la menace vont tenter d’obtenir de l’Organisation des Nations Unis qu’elle prononce immédiatement l’indépendance. Cette manœuvre politiquement maladroite ne fera qu’emplifier le rapprochement des belges avec les hutus. En 1957, Gregoire Kayibanda, un hutu, manifeste dans lequel il prône l’égalité politique, la fin des corvées féodales et le droit pour les hutus d’accéder a la fonction publique. Le roi tutsi s’oppose a ce qu’il considère être une révolution, la coupure politique est désormais net entre des hutus qui aspire a l’égalité et des tutsis qui cherchent à préserver des privilèges. Les partis politique prennent alors le relai de ces revendications, les élections de 1959, dégénèreront en violence ethniques, la doctrine de Debré, explique «  les cours normalisé des longs « a la houe ou a la machette. Ces violence provoquèrent un exil des tutsis vers les pays voisins, le Burundi, l’ouganda, le congo belge. La rupture entre les 2 ethnies est ici consommé, elle débouchera sur l’accession a l’indépendance et sur la prise du pouvoir par les hutus. L’esprit de revanche s’exerce alors, les tutsis sont interdi de fonctions publique et les persécutions débutes. Ses rivalités disparaitront relativement vite. Les rivalité politique entre les hutus eux même devenant plus importantes. Un coup d’Etat en 1973, fomenté par le général Habyarimana, débouchera sur une seconde république rwandaise en 1978. Un des buts politique poursuivi est de reconstruire l’unité national au-delà des rivalités ethniques. Ce coup d’Etat va soulever un espoir politique, il s’en suit une période d’euphorie économique. Le Rwanda apparaissant comme la suisse de l’Afrique. 

« Les institutions internationales Ce mot « institution » est d’un usage commode.

Etymologiquement, il désigne l’ensemble des formes ou desstructures fondamentales d’une organisation.

On pourrait donner comme exemple la Cour de cassation qui est doncune institution.

Les institutions internationales désignent donc dans le langage commun les organismesinternationaux principaux, c’est-à-dire les Etats et les organisations internationales, mais aussi toutes les structuresinternationales ayant un minimum d’importance politique, comme par exemple la Cour internationale de Justice… Paragraphe 2 : Les origines historiques des relations internationales Que l’on remonte au plus loin de notre histoire, on peut affirmer que les Etats ont toujours entretenus des rapportsavec leurs voisins.

Les relations internationales sont le fruit de l’histoire, et si aujourd’hui le droit des relationsinternationales a essentiellement été façonné par l’Europe Occidentale, cela ne signifie pas pour autant que l’Europea créé des relations internationales.

Nos relations internationales ont de profondes racines historiques, elles existentdepuis probablement des millénaires. Les relations internationales antérieures à la civilisation gréco-romaine La difficulté essentielle dans ce domaine tient à la conservation matérielle des preuves de l’existence de relationsinternationales.

La preuve la plus ancienne nous provient du 4ème millénaire avant J-C, d’une région que l’onappelait alors la Mésopotamie, et il s’agit d’une pierre conique sur laquelle a été gravé un traité de paix entre 2 citésde Lagash et d’Umma.

Ce traité de paix concernait les ressources en eau des 2 villes.

Plus proche de nous, au 2èmemillénaire avant J-C, les pharaons égyptiens ont signés avec un roi hittite un traité d’alliance et d’extradition.

Ledernier exemple : l’empereur chinois Wou-ti, envoya des émissaires aux puissances turques, pour conclure unealliance militaire contre les peuples Huns.

On peut remarquer que certaines considérations géographiques,économiques, ou géostratégiques ont constituées un frein au développement des relations internationales.

Ainsi, lespeuples Iraniens et Irakiens de l’époque ont interdit pendant longtemps aux messagers de Rome de prendre contactavec la Chine afin de monopoliser les profits commerciaux avec l’Asie. Les relations internationales sous l’antiquité gréco-romaine Au 19ème siècle, la doctrine s’est divisée pour savoir s’il existait un droit international sous l’antiquité grecque, et sice droit constituait les racines du droit des relations internationales.

Certains auteurs ont nié cette idée, enavançant 2 arguments principaux : l’isolationnisme des peuples, et une limitation des relations internationales ausimple fait de la guerre.D’autres auteurs faisaient au contraire référence aux institutions de l’époque, et ils ont cherché à distinguer descaractères, des principes, que l’on retrouve encore aujourd’hui. Un constat : la multiplication des rapports des traités internationaux Sur un plan militaire les guerres se sont multipliées entre les Etats.

Tout d’abord entre la Grèce et la Perse (actuelleTurquie), lors de guerres que l’on appelle Médiques, où la Perse a essayé d’envahir la Grèce en comptant notammentsur sa division en cités.

Ensuite, ces guerres se sont centrées autour de Rome, du fait de l’extension de sonterritoire, et du fait de sa défense contre les barbares.

Rome s’est ainsi opposée à Carthage, et plusieurs traités depaix ont été conclus à plusieurs occasions, notamment en 205 avant J-C.

Est alors signé le traité de Phoenicie signéentre Philippe de Macédoine et la ville de Rome. La présence d’institutions quasi internationales Le mot quasi est ici utilisé pour indiquer que ces institutions n’étaient pas forcément de nature étatique au sensmoderne du terme, c’est-à-dire que ces relations concernaient plutôt des villes, des peuples, des régions ou deszones d’influence plutôt que des Etats. En Grèce On relève en fait 3 institutions. L’amphictyonie Même divisée en de nombreuses cités, les Grecs adoraient les mêmes Dieux.

Et l’amphictyonie désigne l’associationde ces peuples Grecs autour de la problématique particulière des sanctuaires des Dieux.

Des lois communes yétaient votées, qui concernaient pas exemple la définition du sacrilège.

La justice religieuse y était parfois rendue eten pratique, s’est développée autour de cette ambiance religieuse une grande activité diplomatique. Les symmachies Cela désignait les organisations de défense collective des cités grecques.

Elles étaient créées par traité, et ellesprévoyaient le nombre de soldats que devait mobiliser une cité en cas de conflits, et préciser les conditionsd’utilisation de cette force armée.

On retrouve dans certaines de ces alliances, des éléments juridiques du. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles