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Robert Boyle

Publié le 15/03/2012

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La loi de Boyle est toujours appliquée aujourd'hui, quoique cette loi ne puisse être utilisée pour des pressions extrêmement élevées. Ce n'est qu'en 1662 que Boyle publia ses expériences. Dans l'intervalle, il était déjà arrivé à la conclusion que l'air, étant compressible, devait être constitué de particules minuscules. Boyle rejeta, par conséquent, la théorie qui établit que toute matière est formée à partir de quatre éléments: la terre, l'air, l'eau et le feu. Il proposa plutôt de considérer que

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Pour la première fois depuis l'antiquité, cette conception ouvrit la voie à la théorie des atomes sur des bases expérimentales.

La supposition de Boyle sur les particules primaires qui forment entre elles des corpuscules fut le signe précurseur de la concep- tion actuelle des atomes, qui se relient entre eux pour former des molécules.

Boyle publia ces idées dans son célèbre ouvrage The Sceptical Chimist (Le chimiste sceptique) en 1661.

A cette époque, Boyle était le co-fondateur d'une académie de savants, dont le but était de promou- voir la science expérimentale.

L'académie s'appe- lait The Invisible College (L'académie invisible) et devint plus tard la célèbre Society, qui fut hono- rée en 1663 par le titre de royale (Royal Society).

Après 1668, Boyle s'installa définitivement à Londres.

Il y travailla à des expériences sur des métaux et fit des recherches en chimie sur la diffé- rence entre les acides et les bases.

Durant toute son existence, Boyle, protestant croyant, voua son travail scientifique à son plus grand idéal: la propagation de la foi chrétienne.

Il écrivit que l'étude scientifique de la nature était un devoir religieux, car la science montre à quel point la création de Dieu est immense.

C'est surtout dans les dernières années de sa vie que Boyle consacra beaucoup de temps et d'argent à son idéal.

En 1680, il refusa même la présidence de la Royal Society.

Lors de son décès, le 30 décembre 1691, Boyle légua une importante somme d'argent destinée à organiser des confé- rences, pour 'l'accomplissement de la foi chré- tienne contre les incroyances notoires'.

Ces confé- rences sont toujours données et restent fidèles aux idées religieuses de Boyle, c'est-à-dire à la concor- dance de la foi chrétienne et de la recherche scien- tifique.

L'Histoire considère Boyle comme un des plus grands savants d'Angleterre.

A droite: L'expérience par laquel- le Boyle démontrait que l'eau ne pouvait être aspirée au-delà d'une certaine hauteur.

Il se servait d'un long tube recouvert de fer, car il était difficile de fabriquer un long tube en verre.

Ainsi, en montant sur un toit, à 9 mètres au-dessus de l'eau placée dans un récipient au sol, et en aspirant l'eau froide à l'aide d'une pompe, Boyle prouva qu'en raison de la pres- sion atmosphérique, l'eau ne pou- vait s'élever au-delà d'une certai- ne hauteur.

Ci-dessous: Dessin de Boyle représentant sa pompe à vide et d'autres appareils utilisés pour la formulation de ses lois sur les gaz.

Le double tube, au milieu à droi- te, est l'instrument avec lequel il démontra que le volume et la pression du gaz sont inversement proportionnels.

la matiere etait composee de 'particules primai- res' tiue l'on pourrait regrouper en 'corpuscules' de composition plus ou moins complexe.

Pour Ia premiere fois depuis l'antiquite, cette conception ouvrit la voie a la theorie des atomes sur des bases experimentales.

La supposition de Boyle sur les particules primaires qui forment entre elles des corpuscules fut le signe precurseur de la concep- tion actuelle des atomes, qui se relient entre eux pour former des molecules.

Boyle publia ces idees dans son celebre ouvrage The Sceptical Chimist (Le chimiste sceptique) en 1661. A cette epoque, Boyle etait le co-fondateur d'une academie de savants, dont le but etait de promou- voir la science experimentale.

L'academie s'appe- lait The Invisible College (L'academie invisible) et devint plus tard la celebre Society, qui fut hono- ree en 1663 par le titre de royale (Royal Society). Apres 1668, Boyle s'installa definitivement Londres.

II y travailla a des experiences sur des metaux et fit des recherches en chimie sur Ia diffe- rence entre les acides et les bases. Durant toute son existence, Boyle, protestant croyant, voua son travail scientifique a son plus grand ideal: la propagation de la foi chretienne.

Il ecrivit que !'etude scientifique de la nature etait un devoir religieux, car la science montre a quel point la creation de Dieu est immense. C'est surtout dans les dernieres annees de sa vie que Boyle consacra beaucoup de temps etPhysique A droite: L 'experience par laquel- le Boyle demon trait que l'eau ne pouvait etre aspiree au-dela d'une certaine hauteur.

Il se servait d'un long tube recouvert de fer, car il etait difficile de fabriquer un long tube en verre.

Ainsi, en montant sur un toit, a 9 metres au-dessus de l'eau placee dans un recipient au sol, et en aspirant l'eau froide a l'aide d'une pompe, Boyle prouva qu'en raison de la pres- sion atmospherique, l'eau ne pou- vait s'elever au-dela d'une certai- ne hauteur. Ci-dessous: Dessinde Boyle representant sa pompe a vide et d'autres appareils utilises pour la formulation de ses lois sur les gaz.

Le double tube, au milieu a droi- te, est l'instrument avec lequel it demontra que le volume et la pression du gaz sont inversement proportionnels.

d'argent a son ideal.

En 1680, il refusa meme la presidence de la Royal Society.

Lors de son deces, le 30 decembre 1691, Boyle legua une importante somme d'argent destinee a organiser des confe- rences, pour 'l'accomplissement de la foi chre- tienne contre les incroyances notoires'.

Ces confe- rences sont touj ours donnees et restent fideles aux idees religieuses de Boyle, c'est-A-dire a la concor- dance de la foi chretienne et de la recherche scien- tifique. L'Histoire considere Boyle comme un des plus grands savants d'Angleterre. 11111111111111111111111111411414111111111 1111111101111I111111411111i)uti,rm1116itilitill II" 11.11." W as ...Mat M.= Mlin E:: rmi :I, (Thin iii .,I:. a: .

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