Le roman comique

LE ROMAN COMIQUE

Au 17eme les codes du genre et du roman ne sont pas encore très définis, les écrivains aiment à imiter les récits héroïques de l’Antiquité et du MA.Paul Scarron : Vide de bohème, puis vie mondaine. Inventeur d’un style particulier : le burlesque (emploie d’un style bas et vulgaire pour traiter un sujet noble) Dans ce roman il se moque des conventions du genre romanesque. Au 17 les personnages se diversifient. En présence d’un incipit -    Description des personnages -    Connaissance du lieu et de l’endroit En désordre et contraste -    Contraste début de texte : Epique/ comique -    Personnages qui font ressentir le désordre Le registre comique -    Présence narrateur+modalisateur -    Mythologie moquerie … Ligne 1-7 Décors établie puis ds les lignes suivantes description perso par persos Ligne 1-8 référence mythologie Phibus-Apollon Texte qui débute donc par des références mythologiques 7premières lignes registre épique Ligne7 rupture : changement de niveau de langues avec les mots «  humainement et intelligiblement » humour, dérision Le charre d’Apollon devient charrette / Cheveux devient bœufs : registre parodique Début description ligne 8 : ralentit le rythme qui devient même suspendu Description qui progresse en même temps que les persos En 1 : description charrette «  fort maigre » accentue la pauvreté ; peu noble « Gros paquets  de toiles peintes » non organisé, désordonnés, sale comparé à une pyramide : désordre imposant Ligne 13 apparitions d’un nouveau perso suivit de sa description physique Riche de mine : bien portant : qui vit en extérieur : pauvre Système de contraste rien n’est clair, représentation en désordre Antithèse ligne 13 riche/pauvre Dans l’antiquité comédiens portent toujours un masque : « emplâtre » son métier de comédien Tenu vestimentaire qui rappelle le désordre : soulier qui rappelle la comédie et la tragédie Description du vieillard : brève/ comparé à une tortue « Quoi que très mal » intervention du narrateur moqueuse. Dernière phrase : le narrateur affirme sa toute puissance face aux persos et aux lecteurs «  retournons » impératif, injonctions du narrateur, il impose. En conclusion : au 17 eme siècle on fait de la parodie une tradition. Parodiant essentiellement les épopées antiques ainsi que les romans du MA. Le roman au 17 ; genre mineur, la critique se soucis peu du genre romanesque, il est donc + libre, pas de règles, le registre libre sur la forme et les sujets. Aristot établit les règles des genres littéraires principalement du genre lyrique et épique.