La science à la Renaissance - Science et humanisme
Publié le 18/02/2013
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Mais il n'était pas bon, en ce temps-là, de narguer Aristote, et, à disséquer toute la journée des corps de suppliciés, chose formellement interdite par l'Eglise, on courait le ri sque d'une d énonciation. Vésale, en effet, eut fort à faire pour se défendre contre la jalousie, surtout lorsque Charles-Quint, puis Philippe II d'Espagne -l'eurent nommé leur médecin particulier. Un beau jour, on lui amena à soigner un gentilhomme blessé en duel ou tenu pour mort, et, quelques instants plus tard, on trouva le savant anatomiste penché sur le corps dont il avait ouvert la poitrine et mis le coeur à nu.
«
de Florence , de Gênes, de Milan.
Une contin uelle fermentati on politique y bouil lo nnait, et la lutte ne cessait en un point que po ur se ranim er en un autre,
allumée et en tre te nue par les condotlier i, ces é mu les
de s anc ien s tyran s.
L e commerce et l'indu strie flo ris saient; l'or a rn uait dans les ci tés lab or ieus es, dont les vaisseaux allai e nt nrra cher leur s ric h esse s
à de lointaines colonies.
Active, indu stri euse, plac ée ·au car refou r du monde et recu eillant tous l es échos.
»
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