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Les sciences peuvent-elles faire le bonheur de l'homme ?

Publié le 10/04/2013

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  Les sciences peuvent-elles faire le bonheur des hommes ? Au sens courant, le bonheur désigne un état de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du coeur et de l'esprit. C'est se sentir bien, ne plus éprouver des désirs. Quant à la science, elle est ce que l'on veut pour vrai au sens large. La science nous permet de mieux connaitre le monde qui nous entoure, de mieux nous connaitre. Ainsi on peut penser que les sciences peuvent nous permettre un accès au bonheur grâce à une meilleure connaissance de soi-même, grâce à de meilleures conditions de vies qui nous ont été apporté par nos nouvelles connaissances dues à la science. Cependant à trop vouloir3possible que l'homme favorise sa connaissance à sa conscience qu'il devienne un scientifique sans moral qui ferait face à des désillusions grandissantes en ne sachant plus contrôler son savoir. Par conséquent, la connaissance est-elle une satisfaction humaine qui mène à son bonheur ou bien celle-ci ne donne-t-elle pas naissance à des désillusions et à une autodestruction de l'homme ? Nous montrerons dans une première partie les bienfaits que la science nous a apporté avant de voir dans une deuxième partie les désirs illusionistes qu'elle entretient. Nous finirons par voir à qui sert cette science et qui lui impose ses limites.    Depuis des siècles, les avancés scientifiques nous ont pemis d'apprendre, de comprendre le monde qui nous entoure. Ainsi aujour...

« naissance à des différences raciales.

Ainsi les sciences nous ont permis de créer une unité, de nous rendre compte que l'on appartenait tous à une même humanité.   Enfin, il est dans la nature de l'homme de s'intéroger, de chercher à savoir.

Les sciences rendent heureuses un homme car il a l'impression d'avancé, de grandir lorsqu'il apprend.

Apprendre à lire ou à écrire permet d'apprendre à connaitre notre monde.

On ressent uyn sentiment d'intégration à une humanité grâce aux sciences.

Lorsque le vingt juillet 1969; Neil Armstrong fut le premier homme à mettre un pieds sur la lune, tous les hommes se sont sentis heureux et fièrent de cet évènement, des progrès de l'homme.     Les sciences ont donc appoté bon nombres d'avantages à l'homme lui permettant ainse des moments de bonheur grâce à des facilitées dans sa vie cependant n'est ce pas utopique de penser que les sciences n'ont quer des avantages et ne peuvent pas apporter aussi du malheur pour l'homme ?       S'il est dans la nature de l'homme de vouloir connaitre, il n'est pas impossible que ses découvertes soient décevantes.

On dit souvent que la réalité est décevantes différérente de ce que l'on s'était imaginé.

Ainsi ne faut-il pas mieux s'imaginer les choses telles qu'on le souhaite pour ne pas être déçu, malheureux.

ne faut-il pas mieux être un "imbécile heureux", une personnes avec peu de connaissances certes mais heureuse plutot qu'un érudit incapable de trouver le bonheurconnaissant trop de désillusion, trop de désirs.   La science nous apporte du superflu qui ne fait qu'augmenter nos désirs et donc éloigner notre bonheur.

Les nouvelles technologies sont souvent des tentations qui au lieu de nous apporter quelquechose alimentent nos envies nous entrainant ainse dans une spirale qui nous pousse à toujours demander plus.

Rendant nos désirs insatiables.

Socrate disait "satisfaire ses désirs c'est comme essayer de remplir le tonneau des Danaïdes".

Une tâche impossible qui nous rend esclave de nos désirs nous éloignant ainsi du bonheur.   De plus la science est une source d'auto-destruction.

certaines découvertes nous dépassent et peuvent nous annéantir.

L'homme  cherche à controller la nature, tout savoir pour mieux dominer et oublie parfois que la nature suit des lois qu'il n'est pas bon de modifier.

Plusieurs évènements nous ont prouvé par exemple que l'utilisation du nucléaire pouvait dépasser l'homme.

une catastrophe comme Fukushima nous montre que nous ne sommes pas plus fort que la nature et que la science peut mener autant à notre destruction qu'à notre. »

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