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Sir Benjamin Thompson

Publié le 15/03/2012

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Pour la première fois, on avait considéré la chaleur comme une forme d'énergie mécanique, mais Thompson n'en était pas resté là. Il avait effectué d'autres expériences pour calculer avec exactitude la quantité de chaleur nécessaire pour produire une certaine quantité d'énergie mécanique. Les résultats de ses calculs étaient loin de correspondre à la réalité, mais il établit le principe de ce que nous appelons actuellement 'l'équivalent mécanique de la chaleur'. La théorie de Thompson servit également de base à une nouvelle branche de la physique, la thermodynamique.

« Ci-dessus: La bibliothèque du Royal Institute.

A droite, en haut: Lampes à alcool et brûleurs à flammes mul­ tiples de Thompson .

Ci-dessous: Chaudière de Thompson.

A gauche : Thompson se chauf­ fant devant un poêle Rumford.

A droite, en bas: Thompson conçut une série d'appareils de cuisson.

Au-dessus, une petite casserole (C) posée sur une dau­ bière (A), chauffée par un four­ neau séparé (B) et, au-dessous, le fourneau sans le récipient.

core pendant quelque temps et passa les dernières années de sa vie en France, où il épousa la veuve de Lavoisier et où il mourut le 21 août 1814 à Au­ teuil.

Pour la première fois, on avait considéré la cha­ leur comme une forme d'énergie mécanique, mais Thompson n'en était pas resté là.

Il avait effectué d'autres expériences pour calculer avec exactitude la quantité de chaleur nécessaire pour produire une certaine quantité d'énergie mécanique.

Les résultats de ses calculs étaient loin de correspon­ dre à la réalité, mais il établit le principe de ce que nous appelons actuellement 'l'équivalent mécani­ que de la chaleur' .

La théorie de Thompson servit également de base à une nouvelle branche de la physique, la thermodynamique.

Cette discipline scientifique étudie la nature de la chaleur et la liai­ son entre la chaleur et d'autres formes d'énergie.

L'idée de Thompson, considérant la chaleur com­ me une sorte de mouvement, était dans un certain sens exacte.

A présent, nous considérons la cha­ leur comme l'ensemble des mouvements des molé­ cules et des atomes.. »

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