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L'union des dictateurs

Publié le 22/02/2012

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« ... Pour nous, fascistes, habitués à examiner froidement les réalités de la vie et de l'histoire, une... illusion que nous repoussons, c'est celle qui se dénomme la « sécurité collective ». La sécurité collective n'a jamais existé, elle n'existe pas et n'existera jamais. Un peuple viril réalise dans ses frontières sa propre sécurité et refuse de confier son avenir aux mains suspectes des étrangers. Pour la Société des Nations, le dilemme se pose en termes très clairs : ou se renouveler ou disparaître. Puisqu'il est extrêmement difficile pour elle de se renouveler, elle peut tranquillement, en ce qui nous concerne, disparaître. De toute façon, nous n'avons pas oublié et nous n'oublierons jamais que la Société des Nations a organisé avec des méthodes d'une habileté diabolique une unique agression contre le peuple italien... Elle a cherché à briser notre effort militaire, à s'opposer à l'oeuvre de civilisation que nous accomplissons à environ 4 000 km de la mère-patrie... ... Une grande nation a ces derniers temps conquis la sympathie du peuple italien : je parle de l'Allemagne... L'Allemagne, bien qu'entourée et sollicitée de toutes parts n'a pas adhéré aux sanctions... » Mussolini, Oeuvres et discours Cité d'après S. Berstein, « 1936, année décisive en Europe », Dossiers Sciences Humaines, Paris, Armand Colin, 1969.

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