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L'Usine (Voyage Au Bout De La Nuit)

Publié le 20/12/2012

Extrait du document

2) Soumission de l’homme à la machine

Effectivement on a l’impression que l’homme est soumis à la machine, ‘’ les ouvriers penchés soucieux de

faire tout le plaisir possible aux machine vous écoeurent’’ on souligne bien le nom ‘’soucieux’’ et plaisir,

l’homme est à la disponibilité de la machine, ‘’distribuer leur rations de contraintes’’ sorte de devoir, vu

que contrainte signifie obligation. ‘’On se laisse aller aux machines’’

Par cette soumission, et la perte de pensée et de parole, l’homme est déshumanisé du fait qu’il devient

machine et que machine devient humaine

3) Homme = Machine

Comme nous l’avions mentionné, l’homme devient machine comme Bardamus dit’’ On en devenait

machine’’ qui justifie cette idée. ‘’On résiste tout de même’’ tentative de résister comme un humain mais

cette tentative est un échec ’’ça ne peut

plus’’, on brise la volonté des ouvriers à rester humain, on les déshumanise tout simplement.

« leur pensée mais aussi leur parole puisque comme dit Bardamus , ‘ils ‘’ ne pouvait plus ni se parler ni s’entendre’’, il travaillaient machinalement d’om l’idée d’une déshumanisation, du fait que les ouvriers sont soumis à la machine. 2) Soumission de l’homme à la machine Effectivement on a l’impression que l’homme est soumis à la machine, ‘’ les ouvriers penchés soucieux de faire tout le plaisir possible aux machine vous écœurent’’ on souligne bien le nom ‘’soucieux’’ et plaisir, l’homme est à la disponibilité de la machine, ‘’distribuer leur rations de contraintes’’ sorte de devoir, vu que contrainte signifie obligation.

‘’On se laisse aller aux machines’’ Par cette soumission, et la perte de pensée et de parole, l’homme est déshumanisé du fait qu’il devient machine et que machine devient humaine 3) Homme = Machine Comme nous l’avions mentionné, l’homme devient machine comme Bardamus dit’’ On en devenait machine’’ qui justifie cette idée.

‘’On résiste tout de même’’ tentative de résister comme un humain mais cette tentative est un échec ’’ça ne peut plus’’, on brise la volonté des ouvriers à rester humain, on les déshumanise tout simplement.

L’humain est aliénées, car il confus, il perd tout sens : gout, ouïe, odorat par la souffrance, et l’enfer qu’il vit dans l’usine ‘’ bruler les tympans’’ ‘’cette odeur d’huile’’.De plus, la déshumanisation passe aussi par l’humanisation des machines, qui deviennent maitre des ouvriers.

La personnalisation du ‘’petit wagon’’ qui devient ‘’fou’’ et qui ordonnent les ouvrier ‘’porter aux hommes leurs rations de contraintes’’ La déshumanisation de l’homme par le fait qu’il perd pensée, paroles, ouïe, odorat tout sens, qu’il soit soumis à la machine et qu’il devienne lui -même machine. Finalement, la vision négative de Bardamus est justifiée par la vie infernale que les ouvriers mènent à l’usine qui est vue comme un enfer où ils sont déshumanisés et deviennent machines.

Ce texte montre encore une fois que n’importe le lieu où se trouve Bardamus, il est déçu et sa vision du monde devient de plus en plus négative, la déception est leitmotiv qui signifie motif qui revient, récurrent tout au long de l’œuvre. »

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