Des pays toujours émergents
Publié le 22/11/2017
Extrait du document
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sont devenant exportatrice IDE depuis les années 2000 car elles favorisent les investissements à
l’extérieur.
La croissance des économies des pays émergents ont de parcours différents: soit par l’exportation des
produits industriels et l’investissement (chine), un modèle qui faudrait réorienter ; soit par l’activité des
services (inde et Afrique du Sud), subissant des obstacles de formation faible de la population freinant
par la suite une élévation de la croissance.
La chine a connu un essor impressionnant, sa contribution dans la croissance est devenu aujourd’hui
déterminante grâce à son modèle originale basé sur la capacité de marier le marché et le socialisme.
Elle
s’oppose aux stratégies des entreprises étrangères optimisant la chaine de valeur sur le plan
international, son taux de croissance est élève, sa capacité à maintenir un contrôle politique sur le
gouvernement, l’intervention massive de l’état, la corruption, la surexploitation des travailleurs sont des
particularités de ce modèle.
Cependant la Chine subit un ralentissement économique dû à l’épuisement
des sources de la croissance.
Les exportations deviennent de moins en moins forte, le taux
d’investissement est trop élève entrainant des surcouts, l’espérance de vie s’allonge créant des
problèmes démographiques mais le plus grande difficulté est de passé à un modèle de développement
dynamique favorisant un marché intérieur.
L’Inde , après un départ chaotique voie une légère amélioration économique depuis 2013, montré par
une contribution faible mais toute fois en progrès dans la croissance mondiale.
Cela s’explique par une
augmentation du taux d’investissement, elle compte de grands groupes industriels et financiers dont une
dizaine d’entreprises indiennes sont parmi des plus grandes au niveau mondial.
En 1990 la mobilité
géographique entre Etats indiens était quasi inexistante donc des investissements à l’étranger aussi a
cause des nombreuses barrières administratives qui existaient.
Cependant elle connaît une très faible
croissance des emplois dans la manufacture car elle possède une industrie très capitalistique, les grandes
entreprises recrutent peu de main d’œuvre plus concentre sur les petites entreprises.
L’Inde souffre de
déficits jumeaux celui du budget et de la balance commerciale et malgré un essor des classes moyennes,
le cercle vertueux de la croissance semble s’achever.
L’Afrique du Sud, quand à elle ressemble sur beaucoup d’aspect à l’Inde car son taux de mortalité est
élève, l’espérance de vie est faible, les inégalités de revenus sont très grandes ainsi que le double déficit
budgétaire et de la balance sont similaires mais les différences entre eux sont également notables.
Dans
ce pays (l’Afrique du sud) l’accès à l’éduction y est très restreint selon la couleur de peau et les
catégories sociales, le taux d’investissement y est plus réduit, la croissance plus faible et les inégalités
du revenu sont très importantes.
Elle tire sa richesse d’exploitation de ses ressources naturelles et souffre
d’incapacité à développer son industrie.
Malgré des efforts cette société demeure fortement exclusive et
est menace.
En Amérique latine , les inégalités de revenus diminuent tout en restant à des niveaux très élèves,
malgré un taux de croissance plus élevé que durant les deux dernières décennies.
Elle passe d’un cercle
vertueux de croissance par la progression de salaire, un taux d’exportation important, un solde de
balance commerciale positive à un cercle vicieux.
Son taux de croissance fléchit, l’excédent de la
balance diminue, les importations augmentes.
Une variable reste toute fois hors contrôle, l’inflation.
La
dévaluation de la monnaie nationale est aussi responsable de la hausse des prix et du taux d’intérêt..
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