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boxe. n.f., sport de combat d'origine très ancienne. Dans l'Antiquité,

Publié le 23/10/2013

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boxe. n.f., sport de combat d'origine très ancienne. Dans l'Antiquité, les poings des combattants étaient souvent garnis de lanières de cuir ; parfois même, des plaques de métal recouvraient la main et l'avant-bras. Plus tard, la boxe se fit à mains nues, poings fermés. Aujourd'hui, l'emploi de gants rembourrés est obligatoire, aussi bien entre professionnels qu'entre amateurs. La boxe anglaise. Dans ce sport, les adversaires ne se portent des coups qu'avec les poings. On distingue différentes catégories de boxeurs selon leur poids. On compte douze catégories chez les amateurs : mi-mouche (45 à 48 kg), mouche (48 à 51 kg), coq (51 à 54 kg), plume (54 à 57 kg), légers (57 à 60 kg), super-légers (60 à 63,5 kg), mi-moyens (63,5 à 67 kg), super-mi-moyens (67 à 71 kg), moyens (71 à 75 kg), mi-lourds (75 à 81 kg), lourds (81 à 91 kg) et super-lourds (plus de 91 kg). Il y a dix-sept catégories chez les professionnels : paille (47 à 48 kg), mi-mouche (48 à 50 kg), mouche (50 à 52 kg), super-mouche (52 à 53 kg), coq (53 à 55 kg), super-coq (55 à 57 kg), plume (57 à 58 kg), super-plume (58 à 61 kg), légers (61 à 63 kg), super-légers (63 à 66 kg), welters (66 à 69 kg), super-welters (69 à 72 kg), moyens (72 à 76 kg), super-moyens (76 à 79 kg), mi-lourds (79 à 86 kg), lourds légers (86 à 88 kg), lourds (plus de 88 kg). Les combats n'ont lieu, en principe, qu'entre boxeurs appartenant à une même catégorie. Un match de boxe se déroule sur une estrade carrée de 4,90 m à 6 m de côté entourée de trois cordes superposées : le ring. Il est divisé en rounds d'une durée de trois minutes, au nombre généralement de trois pour les amateurs et de huit, dix ou douze (pour les championnats) au maximum pour les professionnels, séparés par des pauses d'une minute. Il est dirigé par un arbitre ; l'issue en est décidée par des juges et l'arbitre. Lorsqu'un boxeur reçoit un coup tel qu'il reste dix secondes à terre sans reprendre le combat, il est déclaré vaincu par knock-out. Un match peut aussi se gagner aux points ou être nul ; il peut également être arrêté par l'arbitre ou par le soigneur de l'un des deux boxeurs, qui « jette l'éponge « pour signifier qu'il abandonne le combat. La Grande-Bretagne et les États-Unis dominaient naguère la boxe amateur. Puis Cuba, l'Union soviétique, la Roumanie et la Pologne ont remporté de grands succès internationaux, en grande partie du fait que ces pays ignoraient la boxe professionnelle. Les États-Unis restent la citadelle de la boxe professionnelle : les grandes rencontres, surtout les championnats du monde, à partir des poids moyens, y sont suivies avec le plus grand intérêt. Quatre organismes mondiaux dirigent la boxe professionnelle : version WBA (World Boxing Association), version WBC (World Boxing Council), version WBO (World Boxing Organization) et version IBF (International Boxing Federation). Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Armstrong Henry surnommé Homicide Hank Aspect social et médical. Depuis quelques années, la boxe est souvent discutée. Les médecins pensent généralement que des coups violents sur le corps peuvent endommager les organes et que des chocs répétés sur la tête entraînent à la longue des troubles de l'intelligence, de la parole ou de la vue. De nombreux accidents et diverses autres causes ont provoqué la décadence de la boxe professionnelle. Pourtant le sport de la boxe, moyennant un entraînement rationnel et pratiqué à titre d'amateur, sous contrôle médical et sportif, possède d'incontestables qualités éducatives sur les plans physique et moral. La boxe française-savate. Les combattants frappent avec les pieds comme avec les mains et sur n'importe quelle partie du corps. Ce sport est beaucoup moins pratiqué que la boxe anglaise. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Brown (Alfonso, dit Al) Carpentier Georges Cerdan Marcel Chávez Julio César Clay Cassius Corbett James John Criqui Eugène Dempsey (William Harrison, dit Jack) Durán Roberto fédération - 2.SPORT Halimi Alphonse Hearns Thomas Johnson (John Arthur, dit Jack) Leonard (Benjamin Leiner, dit Benny) Leonard (Ray Charles, dit Ray « Sugar «) Louis (Joe Louis Barrow, dit Joe) Marciano (Rocco Francis Marchegiano, dit Rocky) Moore (Archibald, dit Archie) Olympiques (jeux) - Les programmes olympiques Pladner (Émile, dit Milou) Queensberry (John Sholto Douglas, marquis de) Robinson (Walker Smith, dit Ray Sugar) Schmeling Max Sullivan John Lawrence Thil Marcel Tiozzo Christophe Tunney Gene Tyson Mike Les livres boxe boxe boxe boxe - Ray « Sugar « Robinson, page 728, volume 2 Cassius Clay, page 728, volume 2 Ray « Sugar « Leonard, page 728, volume 2 les phases du combat, page 728, volume 2

« La boxe française-savate. Les combattants frappent avec les pieds comme avec les mains et sur n'importe quelle partie du corps.

Ce sport est beaucoup moins pratiqué que la boxe anglaise. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Brown (Alfonso, dit Al) Carpentier Georges Cerdan Marcel Chávez Julio César Clay Cassius Corbett James John Criqui Eugène Dempsey (William Harrison, dit Jack) Durán Roberto fédération - 2.SPORT Halimi Alphonse Hearns Thomas Johnson (John Arthur, dit Jack) Leonard (Benjamin Leiner, dit Benny) Leonard (Ray Charles, dit Ray « Sugar ») Louis (Joe Louis Barrow, dit Joe) Marciano (Rocco Francis Marchegiano, dit Rocky) Moore (Archibald, dit Archie) Olympiques (jeux) - Les programmes olympiques Pladner (Émile, dit Milou) Queensberry (John Sholto Douglas, marquis de) Robinson (Walker Smith, dit Ray Sugar) Schmeling Max Sullivan John Lawrence Thil Marcel Tiozzo Christophe Tunney Gene Tyson Mike Les livres boxe - Ray « Sugar » Robinson, page 728, volume 2 boxe - Cassius Clay, page 728, volume 2 boxe - Ray « Sugar » Leonard, page 728, volume 2 boxe - les phases du combat, page 728, volume 2. »

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