Devoir de Philosophie

Catherine.

Publié le 24/10/2013

Extrait du document

Catherine. nom de plusieurs souveraines. ANGLETERRE. Catherine d'Aragon, 1485-1536, née à Alcalá de Henares, reine d'Angleterre de 1509 à 1533, première femme d'Henry VIII, mère de Marie Tudor. Mariée à Henry VIII, en 1509, elle fut répudiée, en 1533, et ce divorce, maintenu malgré l'opposition de Rome, fut une des causes du schisme d'Angleterre. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Acte de suprématie Anne Boleyn Campeggi Laurent Clément - Clément VII Cranmer Thomas Marie - ANGLETERRE - Marie Ire Tudor Les livres Henry VIII - Catherine d'Aragon, page 2340, volume 5 Catherine Howard, 1522-1542, reine d'Angleterre de 1540 à 1542, cinquième femme d'Henry VIII. Convaincue d'adultère, deux ans après son mariage, elle fut décapitée. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Howard - Howard Catherine Les livres Henry VIII - Catherine Howard, page 2340, volume 5 Catherine Parr, 1512-1548, née au château de Kendal (Westmorland), reine d'Angleterre de 1543 à 1547, sixième femme d'Henri VIII ; à la mort de celui-ci (1547), elle épousa sir Thomas Seymour. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Henri - ANGLETERRE - Henry VIII Les livres Henry VIII - Catherine Parr, page 2340, volume 5 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Henri - ANGLETERRE - Henry VIII FRANCE. Catherine de Médicis, 1519-1589, née à Florence, reine de France. Fille de Laurent II de Médicis et élevée à Rome, elle représentait l'archétype de la princesse italienne humaniste et cultivée. Mariée très jeune au duc d'Orléans, fils de François Ier , elle devint reine de France en 1547 lorsque son époux accéda au trône sous le nom d'Henri II. Mère de dix enfants, dont trois rois (François II, Charles IX et Henri III) et deux reines (Élisabeth, femme de Philippe II d'Espagne, et Marguerite, femme d'Henri IV), elle eut d'abord un rôle très effacé et fut éclipsée par la favorite du roi, Diane de Poitiers. Mais à la mort d'Henri II en 1559 et de son fils François II l'année suivante, elle devint régente du royaume. Dès lors, et jusqu'au règne d'Henri III, elle exerça la réalité du pouvoir. Malgré son attachement au catholicisme, Catherine de Médicis mena une politique modérée à l'égard des protestants et, soucieuse de l'intérêt de l'État, elle chercha à placer la couronne au-dessus des factions religieuses et nobiliaires. Avec le chancelier Michel de L'Hospital, elle organisa en 1561 le colloque de Poissy entre théologiens catholiques et protestants, et imposa en janvier 1562 le premier édit de tolérance. Après la première guerre de Religion, en 1563, elle entreprit un tour de France avec Charles IX afin de faire connaître le nouveau souverain et rétablir son autorité. En 1570, elle prépara le mariage de sa fille Marguerite avec Henri de Navarre, pensant assurer ainsi le ralliement des protestants. Mais devant l'importance que prit à la cour l'amiral Gaspard de Coligny, chef des huguenots, qui tentait d'entraîner le royaume dans une guerre contre l'Espagne, elle décida d'éliminer les protestants : ce fut le massacre de la Saint-Barthélemy, dans la nuit du 23 au 24 août 1572. Entraînée alors dans le camp catholique, elle vit son influence diminuer après l'avènement d'Henri III et se retira au château de Blois. Catherine de Médicis joua un rôle déterminant dans l'introduction de la culture italienne en France, appelant près d'elle de nombreux Italiens comme l'astrologue Cosimo Ruggieri, des banquiers florentins et des artistes. Elle contribua à civiliser les moeurs de la cour (introduction de la fourchette) et fit entreprendre une vaste réorganisation du Louvre et des Tuileries. Reine et régente étrangère d'un royaume déchiré, elle fut victime d'une sombre légende. Détestée par les deux camps et surnommée la « veuve noire «, elle fut rendue responsable de la Saint-Barthélemy. Pourtant, Catherine de Médicis manifesta son double attachement à la monarchie française et à la culture humaniste italienne en choisissant de se faire inhumer dans la nécropole royale de Saint-Denis, dans un tombeau commandé au peintre italien Primatice et au sculpteur français Germain Pilon. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Amboise Bullant Jehan Carmes (couvent des) Champaigne (Philippe de) Charles - FRANCE - Charles IX Chaumont-sur-Loire Chenonceaux Diane de Poitiers Élisabeth - ESPAGNE - Élisabeth de France France - Histoire - La construction de la France (1285-1661) - Des guerres de Religion à la pacification (1559-1610) François - FRANCE - François II Henri - FRANCE - Henri II Henri - FRANCE - Henri III L'Hospital (Michel de) Louvre Marguerite - FRANCE - Marguerite de Valois Nostradamus (Michel de Notre-Dame ou Nostre-Dame, dit) Orléans Palissy Bernard Paris - Histoire - Paris, ville des rois et des révolutions Pilon Germain Poissy Religion (guerres de) Ruggieri Cosimo Saint-Barthélemy (massacre de la) Tuileries (les) Wassy Les livres Catherine de Médicis, page 901, volume 2 France - le Massacre de la Saint Barthélemy, page 2009, volume 4 RUSSIE. Catherine Ire, 1684-1727, née à Malbork, impératrice de Russie de 1725 à 1727, seconde femme du tsar Pierre le Grand, auquel elle succéda. Au cours des deux années de son règne, elle laissa le prince Menchikov dominer le gouvernement, et elle instaura un Conseil suprême secret dont fut membre son favori. À la mort de Catherine, ce dernier occupa la régence, en tant que tuteur du nouveau tsar Pierre II. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Menchikov - Menchikov Aleksandr Danilovitch Russie - Histoire - La Russie impériale (XVIIIe siècle) Les médias Russie - princes et tsars de l'ancienne Russie Romanov Catherine II la Grande, 1729-1796, née à Stettin, impératrice de Russie de 1762 à 1796. Princesse allemande, Sophie d'Anhalt-Zerbst épousa en 1745 le grand-duc Pierre, neveu et successeur de la tsarine Élisabeth. À la cour de Russie, Sophie prit le nom de Catherine, embrassa la foi orthodoxe, apprit la langue, l'histoire, la culture russes, contrairement à Pierre, grand admirateur de la Prusse de Frédéric II. Dans sa vie privée, Catherine s'entoura très vite de favoris parmi lesquels figurent le prince Potemkine et Stanislas Poniatowski. Ce fut d'ailleurs avec le concours d'un de ses amants, Grégoire Orlov, qu'elle prit le pouvoir en juillet 1762, obligeant son époux à abdiquer, alors qu'il venait d'accéder au trône sous le nom de Pierre III. Il fut assassiné peu de temps après. Catherine la Grande doit son surnom à une personnalité exceptionnelle conjuguant ambition et curiosité, ainsi qu'à son prestige auprès de ses contemporains étrangers, notamment les « philosophes des Lumières « comme Voltaire, Diderot et d'Alembert. Mais elle tenta en vain d'adapter à la réalité russe les idéaux de cette philosophie dont elle était imprégnée. En 1767, elle convoqua la Grande Commission, chargée de codifier les rapports entre les différentes couches sociales de la population russe. Ni les serfs ni le clergé n'ayant été invités à y siéger, cette commission eut pour seul effet de mettre en évidence les antagonismes entre les nobles et les paysans. Ces derniers se révoltèrent en 1773 : ils furent menés par le cosaque Pougatchev et rejoints par une partie du monde ouvrier. Après avoir mis fin à cette jacquerie et dans la crainte d'une récidive, Catherine II renforça son pouvoir par une réorganisation administrative et un rapprochement avec la noblesse. Celle-ci obtint de nouveaux privilèges aux dépens des serfs, dont le statut se déprécia ; le servage gagna de nouvelles régions, touchant 50 % de la population. Face à cette situation féodale, la politique sociale et culturelle que Catherine, en despote « éclairé «, réservait aux privilégiés, offrait un étonnant contraste. Secondée en politique extérieure par son ministre, Panine, Catherine II gagna deux guerres contre la Turquie, la première en 1774 et la seconde en 1791. Annexée en 1783, la Crimée réorganisée par Potemkine devint la « Nouvelle Russie «, tandis que l'Empire russe s'affirmait comme le protecteur des chrétiens d'Orient. Outre une guerre russo-suédoise (1788-1790) à l'issue de laquelle Gustave III obtint les réformes qu'il souhaitait, le règne de Catherine II fut marqué par les partages de la Pologne, où régnait Stanislas II (le prince Poniatowski), qui avait été élu roi en 1764 grâce à l'appui de l'impératrice. Par les trois partages effectués de concert avec la Prusse et l'Autriche pour le premier (1772) et le troisième (1795), et seulement avec la Prusse pour le deuxième (1793), la Russie agrandit son territoire de la Lituanie à l'Ukraine, annexant et occupant un grand nombre de provinces polonaises. Indignée par la Révolution française, Catherine II rompit ses liens avec la France après l'exécution de Louis XVI en 1793. À la mort de l'impératrice, trois ans plus tard, la Russie était au faîte de sa puissance, mais bridée à l'intérieur par des années de despotisme. Le fils de Catherine II, Paul Ier , lui succéda. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Ermitage (musée de l') Grèce - Histoire - De l'Empire byzantin à l'Empire ottoman Lumières (philosophie des) - Morale et politique Mustafa - Mustafa III Odessa Orlov (Grigori Grigorievitch, comte) Pierre - RUSSIE - Pierre III Fedorovitch de Holstein-Gottorp Pologne - Histoire - Du déclin aux partages de la Pologne Potemkine Grigori Aleksandrovitch Pougatchev Iemelian Ivanovitch Russie - Arts - Littérature - Introduction Russie - Histoire - La Russie impériale (XVIIIe siècle) Stanislas - Stanislas II Auguste Poniatowski Vallin de La Mothe Jean-Baptiste Michel Les médias Russie - princes et tsars de l'ancienne Russie Romanov Les livres Catherine II la Grande, page 902, volume 2 Lumières (philosophie des) - Catherine II de Russie, page 2939, volume 6 Russie - Catherine II, page 4537, volume 8

« Mariée très jeune au duc d'Orléans, fils de François I er, elle devint reine de France en 1547 lorsque son époux accéda au trône sous le nom d'Henri II.

Mère de dix enfants, dont trois rois (François II, Charles IX et Henri III) et deux reines (Élisabeth, femme de Philippe II d'Espagne, et Marguerite, femme d'Henri IV), elle eut d'abord un rôle très effacé et fut éclipsée par la favorite du roi, Diane de Poitiers.

Mais à la mort d'Henri II en 1559 et de son fils François II l'année suivante, elle devint régente du royaume.

Dès lors, et jusqu'au règne d'Henri III, elle exerça la réalité du pouvoir. Malgré son attachement au catholicisme, Catherine de Médicis mena une politique modérée à l'égard des protestants et, soucieuse de l'intérêt de l'État, elle chercha à placer la couronne au-dessus des factions religieuses et nobiliaires.

Avec le chancelier Michel de L'Hospital, elle organisa en 1561 le colloque de Poissy entre théologiens catholiques et protestants, et imposa en janvier 1562 le premier édit de tolérance. Après la première guerre de Religion, en 1563, elle entreprit un tour de France avec Charles IX afin de faire connaître le nouveau souverain et rétablir son autorité.

En 1570, elle prépara le mariage de sa fille Marguerite avec Henri de Navarre, pensant assurer ainsi le ralliement des protestants.

Mais devant l'importance que prit à la cour l'amiral Gaspard de Coligny, chef des huguenots, qui tentait d'entraîner le royaume dans une guerre contre l'Espagne, elle décida d'éliminer les protestants : ce fut le massacre de la Saint-Barthélemy, dans la nuit du 23 au 24 août 1572.

Entraînée alors dans le camp catholique, elle vit son influence diminuer après l'avènement d'Henri III et se retira au château de Blois. Catherine de Médicis joua un rôle déterminant dans l'introduction de la culture italienne en France, appelant près d'elle de nombreux Italiens comme l'astrologue Cosimo Ruggieri, des banquiers florentins et des artistes.

Elle contribua à civiliser les mœurs de la cour (introduction de la fourchette) et fit entreprendre une vaste réorganisation du Louvre et des Tuileries.

Reine et régente étrangère d'un royaume déchiré, elle fut victime d'une sombre légende.

Détestée par les deux camps et surnommée la « veuve noire », elle fut rendue responsable de la Saint-Barthélemy. Pourtant, Catherine de Médicis manifesta son double attachement à la monarchie française et à la culture humaniste italienne en choisissant de se faire inhumer dans la nécropole royale de Saint-Denis, dans un tombeau commandé au peintre italien Primatice et au sculpteur français Germain Pilon. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Amboise Bullant Jehan Carmes (couvent des) Champaigne (Philippe de) Charles - FRANCE - Charles IX Chaumont-sur-Loire Chenonceaux Diane de Poitiers Élisabeth - ESPAGNE - Élisabeth de France France - Histoire - La construction de la France (1285-1661) - Des guerres de Religion à la pacification (1559-1610) François - FRANCE - François II Henri - FRANCE - Henri II Henri - FRANCE - Henri III L'Hospital (Michel de) Louvre Marguerite - FRANCE - Marguerite de Valois Nostradamus (Michel de Notre-Dame ou Nostre-Dame, dit) Orléans Palissy Bernard Paris - Histoire - Paris, ville des rois et des révolutions Pilon Germain Poissy. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles