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identité.

Publié le 01/11/2013

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identité. n.f. 1. PSYCHOLOGIE : caractère de ce qui est le même en tant que le même s'oppose au différent. Le même demeure stable et non changeant. Au sens large, on parlera d'identité numérique ou d'identité personnelle. Seule l'identité numérique fait écho à la notion de persistance qui associe constitutivement unité et invariabilité. Les objets ou les concepts peuvent donc demeurer identiques dans le temps. Il existe un principe d'identité d'usage purement formel que l'on énonce ainsi : « ce qui est, est ; ce qui n'est pas, n'est pas «, en fonction de quoi on admet, par exemple, qu'un même terme doit toujours représenter un même concept au cours d'un raisonnement et, plus logiquement encore, que les notions de vrai et de faux que l'on associe à l'entité sont invariables, intemporelles. Il n'en va pas de même de l'unité du sujet. Ainsi, rapporté à la personne, le concept d'identité peut être associé à un principe d'individuation, que Locke assimile à « l'existence elle-même, qui détermine un être, quel qu'il soit, en un temps et en un lieu particuliers, incommunicables à deux êtres de même nature «. Il y a unicité du même, au sens où il n'existe pas deux êtres identiques. Mais on pourrait considérer que l'identité du sujet se réfère plutôt à la propriété qu'ont les individus de rester les mêmes tout au long de leur vie. Il n'en est rien non plus. En effet, le sujet évolue en permanence, dans toutes les composantes de son entité physique et psychologique. Considérée d'un court moment à l'autre, cette évolution demeure pourtant imperceptible, au moins pour le profane et bien souvent pour le sujet lui-même. En définitive, le sujet, au mieux, croit rester le même aux différents moments de son existence. Pour peu qu'on puisse la circonscrire sciemment, ne serait-ce qu'à un niveau ontogénétique, l'identité semble devoir en fait être considérée comme un processus dynamique et sans doute dialectique, plutôt que comme un état. Dès la plus jeune enfance, l'identité du sujet, c'est-à-dire l'identité du moi, soit ce qui a fortiori le rend semblable à lui-même et différent des autres en toutes circonstances, s'élabore d'abord sous forme d'investissement sur la personne des parents. Ce n'est que progressivement, sous l'effet du complexe d'OEdipe, que ceux-ci sont abandonnés et remplacés par des identifications à l'extérieur de la cellule familiale, donc sociales. Parmi les mécanismes de l'identité sociale les plus importants, comme le fait remarquer le psychosociologue Gustave Nicolas Fischer, figurent l'identification, l'influence des référents sociaux et les processus d'évaluation personnelle et d'improvisation. De toute évidence, la construction de l'identité sociale est assimilable à un processus interactionnel. D'ailleurs, selon Ronald Laing, on ne saurait réaliser une description fidèle de l'individu sans décrire également ses rapports à autrui, c'est-à-dire sans l'envisager pleinement dans son contexte. Si l'on en croit Pierre Tap, de l'enfance à l'âge adulte, la construction de l'identité progresse selon trois étapes relativement distinctes. Ainsi, l'individuation primaire, période au cours de laquelle l'enfant acquiert progressivement dans l'action sur autrui et grâce à autrui une certaine capacité d'intériorisation - aptitude à se nommer, puis à dire « je « - et de représentation, occupe les trois premières années de la vie. L'identification à soi-même ayant pu se réaliser par dérivation de l'identification à autrui, évolue alors un processus d'identification catégorielle qui fait accéder l'individu à la maîtrise des dimensions cognitive et sociale. De l'identification à des groupes à l'identification à des projets de vie plus ou moins structurés, le sujet accède enfin à l'identification personnalisante, mais le processus de construction de son identité n'est pas clos pour autant. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats adolescence changement déviance différence - 1.PHILOSOPHIE Goffman Erving habitus m onozygote profession 2. DROIT : ensemble des éléments qui font qu'une personne a une existence juridique établie : ces éléments sont l'état civil de cette personne, son signalement, sa photographie, qui, en France, sont portés sur sa carte nationale d'identité, pièce officielle délivrée dans les commissariats de police ou dans les mairies ; il existe d'autres pièces d'identité : passeport, permis de conduire, livret militaire, carte d'électeur, etc., qui permettent de prouver l'identité d'une personne. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats état civil passeport personne - 1.DROIT 3. MATHÉMATIQUES : égalité valable pour tout un ensemble de valeurs des variables qui y apparaissent. Par exemple, on appelle identités remarquables les égalités vraies pour tous nombres a et b réels : (a + b)2 = a2 + 2ab + b2 (a - b)2 = a2 - 2ab + b2 (a + b)(a - b) = a2 - b2. Aujourd'hui, dans un espace dont on étudie les transformations, on appelle transformation identique (ou « identité «), et on note Id, l'application x _ x. Elle est neutre pour la composition des applications. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats égalité neutre (élément) Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats rites

« Goffman Erving habitus monozygote profession 2.

DROIT : ensemble des éléments qui font qu'une personne a une existence juridique établie : ces éléments sont l'état civil de cette personne, son signalement, sa photographie, qui, en France, sont portés sur sa carte nationale d'identité, pièce officielle délivrée dans les commissariats de police ou dans les mairies ; il existe d'autres pièces d'identité : passeport, permis de conduire, livret militaire, carte d'électeur, etc., qui permettent de prouver l'identité d'une personne. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats état civil passeport personne - 1.DROIT 3.

MATHÉMATIQUES : égalité valable pour tout un ensemble de valeurs des variables qui y apparaissent.

Par exemple, on appelle identités remarquables les égalités vraies pour tous nombres a et b réels : (a + b )2 = a2 + 2 ab + b 2 (a - b )2 = a2 - 2 ab + b 2 (a + b)(a - b ) = a2 - b2. Aujourd'hui, dans un espace dont on étudie les transformations, on appelle transformation identique (ou « identité »), et on note Id, l'application x _ x.

Elle est neutre pour la composition des applications. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats égalité neutre (élément) Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats rites. »

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