Baudelaire et le romantisme
Publié le 07/03/2015
Extrait du document
«
très élevé au début puis se retrouve à un taux faible voir quasi nul.
Quand au cas b, dans
lequel le taux de testostérone est nul, on assiste à une hypersécrétion de l’hormone LH dont
le taux arrive jusqu’à 50 ng.ml -1
.
Tandis que le cas c, qui présente un taux de testostérone
quasi constant, révèle une sécrétion régulière de l’hormone LH avec un taux ne dépassant pas
les 10 ng.ml -1
.
.
On peut donc en conclure que la testostérone joue également un rôle en ce qui concerne le
taux de LH dans le sang.
Il existe alors une influence réciproque entre la production de
l’hormone LH et celle de la testostérone.
Chez l’homme, le fonctionnement des testicules est contrôlé par un dispositif
neuroendocrinien.
L’hypothalamus, grâce à la GnRH, stimule la sécrétion par l’hypophyse de
deux hormones : la FSH et la LH.
Ces hormones stimulant les testicules : on les appelle
gonadostimulines.
En réponse, les testicules sécrètent de la testostérone et produisent des
spermatozoïdes.
Les testicules via la testostérone exercent une action en retour sur leur
propre système de commande : on parle de rétrocontrôle.
Cette action étant inhibitrice, le
rétrocontrôle est qualifié de négatif et permet ainsi une autorégulation du dispositif..
»
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