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le horla

Publié le 25/03/2015

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horla
Nicolas Raverdy Travail de recherche sur «Le Horla» de Guy de Maupassant Selon moi, le texte est une nouvelle. En effet, il y a peu de personnages et un seul trait de caractère est développé chez le personnage principal. Ensuite, l'action est basée sur la fin, la chute, qui est ma foi très surprenante ! a) Le personnage principal vient à Rouen, dans une maison avec vue sur la Seine. Il salue les bateaux qui passent, notamment un bateau brésilien ... b) Le personnage principal se met à avoir de la fièvre et se sentir triste. c) Sa quête est de trouver un moyen de se débarrasser du Horla. d) les connaissances du personnage principal, sa cousine(Mme Sablé), le docteur parent, le voyage (en général, car il en fait plusieurs pour se relaxer), le moine d...
horla

« de se rendre dans son jardin.

À la fin du récit, c'est dans son jardin qu'il contemplera sa maison bruler et le Horla «mourir».

Troisièmement, la chambre du héros laisse présager des évènements à venir.

En effet, au début du récit, avant qu'il ne se rende compte de ce qu'est le Horla, il ressent un malaise lorsqu'il entre dans sa chambre.

Ensuite, il cherche partout dans sa chambre, sans vraiment chercher quelque chose, car il sent une présence dans sa chambre ...

5.

Afin de démontrer qu'il a très peur, le héros décrit les jours du 9, 10 et 11 août en répétant qu'il ne se passe rien et que cela le tracasse.

Au contraire, il lorsqu'il décrit ses nuits, le héros prend souvent plusieurs pages afin de montrer à quel point il est stressé.

6.«la maison, maintenant, n'était plus qu'un bûcher horrible et magnifique» oxymore qui montre les deux points de vue du narrateur.

D'un coté, il trouve la scène horrible, car ses domestiques sont morts.

II la trouve aussi magnifique, car la source de ses problèmes est morte.

«certain comme l'alternance des jours et des nuits, qu'il existe près de moi un être invisible...» comparaison entre la raison du héros et une évidence générale.

Le héros est certain que la bête est réelle, même si plusieurs choses lui font porter à croire qu'il n'existe pas.

«mon siège adhère au sol» Hyperbole qui montre que le siège du héros est collé au sol et qu'il ne peut pas bouger.

«J'ai pu m'échapper [...], comme un prisonnier qui trouve ouverte, par hasard, la porte de son cachot.» Le héros se compare à un prisonnier, il se sent enfermé par le Horla, qu'il compare a une prison.. »

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