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Qu’est-ce qu’une analogie? quel rôle joue l'analogie dans les sciences ? PLAN

Publié le 07/02/2016

Extrait du document

3e partie. .— Rôle de ce raisonnement.

 

A. — En mathématiques, il peut donner lieu à des opérations précises.

 

B. — Dans les sciences expérimentales, il est à l’origine

 

a) des hypothèses précédant toute recherche ;

 

b) des théories générales qui réalisent l’unité de la science

 

C. — Dans les sciences dites morales, c’est-à-dire ayant l’homme pour objet, notamment en

 

a) psychologie (compréhension des états d’âme d’autrui)  ;

 

4) histoire (interprétation des documents).

« Luche élémentaire, selon M.

Cresson, qui voit dans l'esprit une « machine à raisonnements analogiques s n) exemples chez les animaux, chez qui ce raisonnement, permet tant une certaine privision, a une utilité vitale b) exemples chez l'homme 1 B.

- Raisonnement conscient ; synthèse de jugements par laquelle l'esprit, constatant certaines ressemblances, suppose d'autres ressemblances 2.

C.

-- Certains y ont vu une ébauche d'induction suivie de déduction 3 .

D.

- D'autres, citiquant cette réduction, ont fait reposer ce raisonnement sur le principe de finalité i.

3e partie.

- Rôle de ce raisonnement.

A.

- En mathématiques, il peut donner lieu à des opéra- tions prè4iseS 5.

B.

- Dans les sciences expérimentales, il est à l'origine a) des hypothèses précédant toute recherche b) des théories générales qui réalisent l'unité de la science '.

C.

- Dans les sciences dites morales, c'est-à-dire ayant l'homme pour objet notamment en a) psychologie (compréhension des états d'âme d'autrui) b) histoire (interprétation des documents) 9 .

Conclusion.

- Ainsi l'analogie joue dans toutes les sciences un rôle utile.

Mais dès que ce mot désigne une ressemblance 1.

Ps.

M., pp.

547-54S.

2.

P$.

M., P.

548.

3.

Ps.

M., pp.

548-549.

4, Ps.

M., pp.

549-550.

5.

Ps.

M., p.

547, note I.

fi.

Ph.

S.

et M., pp.

89-91.

7.

Ph.

S.

et M., pp.

112 et suiv.; exemple de NEWTON, p.

1l.

8.

Ph.

S.

e! M., pp.

165-166.

.

Ph.

S.

et M., p.

187; pp.

192-193.. »

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